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Maison Fabre a perdu sa plus belle inspiratrice

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la maison fabre

Rose Fabre, la deuxième génération de la ganterie Maison Fabre, s'est éteinte le 22 juin à Millau, à l'âge de 95 ans.

[caption id="attachment_6144" align="alignnone" width="326"]la maison fabre la maison fabre[/caption]

« C'était une femme moderne avant l’heure comprenant mieux que personnes les sensibilités de « ses filles » dans la manufacture, écrit d'elle Olivier, son petit-fils. Une femme intuitive qui a su positionner le gants dans le luxe et travailler à l’international très tôt. Une femme de grande valeur très attachée à sa ville, à sa maison, à son métier. Et bien sûr une femme aimante, éperdument amoureuse de son mari et qui a placé sa famille avant tout. »

C’est à 16 ans que Rose quitte son Levezou natal et arrive avec sa sœur à Millau. Et c’est à ce moment-là que se dessine son avenir. ​Elle découvre la ganterie chez Lauret et se prend de passion pour ce métier. Très rapidement, elle apprend à coudre à la main et à la machine puis crée les modèles et reste fidèle à cette maison jusqu’à sa rencontre avec Denis Fabre, son futur mari qu’elle ne quittera jamais.

​En 1942, Rose commence alors une nouvelle vie aux cotés de Denis, dans la ganterie crée dix huit ans plus tôt par son beau père Etienne Fabre et située dans la maison de famille sur les berges du Tarn.

​Multipliant les voyages, afin de faire connaître ses gants à travers le monde, Rose, dynamique et entreprenante, transforme très vite l’entreprise familiale artisanale en une belle industrie florissante. Elle crée des modèles pour les maisons de haute couture et fait preuve de beaucoup d’imagination en transformant cet accessoire de nécessité en un produit raffiné. Elle déménage la manufacture et l’installe définitivement dans le coeur de Millau, lieu ou elle est toujours, et compte alors jusqu’à 250 couturières et 40 coupeurs.

​C’est dans ces nouveaux locaux, que son fils Louis viendra se joindre à ses parents, puis ce sera au tour de ses petits enfants de poursuivre cette belle histoire familiale.

Elle a su monter à Paris très tôt pour rencontrer les clients, les grandes maisons, les grands magasins parisiens mais aussi étrangers. Elle a visité toute l'Europe et implanté sa marque de gants dans tous les points de vente important dans la mode.

Elle fut durant des années ambassadrice discrète de Millau et de l'Aveyron. Elle a su développer son entreprise et souder sa famille.

« Rose était une fleur, Maison Fabre son jardin », dit Olivier. Il y a encore 3 ans, elle acceptait toutes les interviewes, même ces dernières années, elle voulait savoir ce qui se passait, elle lisait les articles dans les journaux, commentait et surtout était contente et fière que perdure le rêve de sa vie.

Sur Tv5 Monde, on peut encore la voir et l’entendre dire « une vie est si vite passée » (http://www.tv5monde.com/cms/chaine-francophone/publications/Sur-mesures/Video/p-14517-Episode-16-Olivier-Fabre-gantier.htm)

Aujourd'hui la Maison Fabre est toujours liée à sa Rose avec la création en 2013 des gants parfumés de Marie-Antoinette au parfum de rose vanillé comme les portaient la reine, avec les gants de La Belle et la Bête, une histoire qui démarre autour d'une rose, les gants parfumés de Josephine sur un parfum de rose de printemps... Rose a laissé à jamais son parfum dans la Cité du Gant.

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L’association L’Outil En Main au service des Jeunes Castonétois

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L'Outil En Main est une association ayant pour objet l'initiation des jeunes aux métiers du patrimoine et aux métiers manuels, par des gens de métier, artisans ou ouvriers qualifiés, généralement à la retraite, dans un atelier ou tout autre lieu équivalent avec de vrais outils.

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L'association est un lieu de rassemblement et d'échanges entre les jeunes et les adultes autour des métiers manuels, dont la finalité est la transmission d'un savoir-faire aux jeunes générations. Les membres de l'Outil En Main offrent de leur temps, les mercredis après-midis de 14h à 16h, en contribuant à l'épanouissement des enfants et en leur faisant découvrir concrètement leur activité. Il s'agit également d'une relation intergénérationnelle qui permet à chacun de donner, de recevoir et d'échanger. Une expérience humaine et pédagogique très enrichissante. La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Aveyron, installée à Onet-le-Château, a apporté tout son soutien à l'Outil En main. La présidente, Christine Sahuet a d'abord accueilli le siège social de l'association en mettant à disposition un local administratif pour ses membres, puis en sollicitant la mairie pour trouver un lieu afin d'y installer leur nouvelle activité pédagogique. La mairie a répondu favorablement à cette demande. Considérant que ce projet était source de découverte et d'enrichissement pour les jeunes Castonétoises et les jeunes Castonétois, le Maire, Jean-Philippe Keroslian, a proposé le local de l'ancienne Poste situé place des Rosiers. Celui-ci sera mis gracieusement à la disposition de l'association. Les membres de l'association l'Outil En main travaillent actuellement à l'aménagement des lieux et à l'accueil des premiers jeunes. Tout sera fin prêt pour la rentrée scolaire de septembre 2015. L'association invite également les anciens artisans (hommes et femmes) et les Compagnons du Devoir à venir la rejoindre pour proposer leur savoir-faire dans de nombreuses disciplines, de la couture aux métiers de bouche en passant par le bâtiment et le travail du bois, par exemple.

Pour plus de renseignements et pour les inscriptions, contacter le Président, Gérard Marty, au 05 65 42 23 61 ou 06 37 51 03 50 ou sur : mariethe-gege@sfr.fr

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Tout le monde chante à Villefranche

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"Tout le monde chante contre le cancer", c'est plus de 50 artistes réunis sur scène pour chanter bénévolement contre le cancer les vendredi 3 et samedi 4 juillet !

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Chanteurs, comédiens, animateurs, sportifs, tous se mobilisent à Villefranche de Rouergue pour offrir deux concerts exceptionnels, rassemblant plus de 15 000 spectateurs aux invités d’honneur de l’association, les enfants malades et leur famille !

Parmi les derniers artistes à avoir confirmé leur présence figure M. Pokora qui se produira vendredi 3 juillet. Alors qu'il fait une tournée triomphante partout en France, qu'il remplit les Zéniths et même le Palais omnisports de Bercy à Paris cet automne, M. Pokora a tenu personnellement à être de la fête, lui l'Ange Gardien si fidèle à l'association.

Les artistes et personnalités présentes à Villefranche :

Vendredi 3 juillet : M.Pokora, Michel Fugain & Pluribus, Tina Arena, Marina Kaye, Julie Zenatti,  Anaïs Delva (« La Reine des Neiges »), les candidats de The Voice 4, Amaury Vassili, Damien Sargue, Les comédiens de Plus Belle La Vie, Christelle Chollet, Frédéric Lopez, Christophe Beaugrand, Jérôme Anthony, Marc Emmanuel, Karima & Hedia Charni, Sandra Lou. Samedi 4 juillet : Fréro Delavega, Daniel Guichard, La Compagnie Créole, Tina Arena, Amaury Vassili, les candidats de The Voice 4, Damien Sargue, Luce, les comédiens de Plus Belle La Vie, Jérôme Anthony, Marc Emmanuel, Karima & Hedia Charni, Sandra Lou.

Les galas Tout le monde chante, ce sont deux soirées de concert avec une programmation différente chaque soir; 10 000 à 15 000 spectateurs présents chaque année; plus de 3h de show pour chaque concert; 650 bénévoles mobilisés; des centaines d’enfants malades et leur famille invités d’honneur; des places à partir de 17€, qui financent directement la lutte contre le cancer.

Pour réserver, rien de plus simple : Sur le site Internet de l’association www.toutlemondechante.net et à l’office de tourisme de Villefranche de Rouergue.

Les tarifs : place debout : à partir de 17 € ; place assise numérotée en gradins : à partir de 27 € ; place privilégiée en carré or (chaise devant la scène) : à partir de 45 € ; Pack VIP (accès au cocktail VIP, visite des coulisses, dîner au restaurant VIP, place privilégiées en carré or) : à partir de 120 €.

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Terres d’Aubrac, le magazine qui explore l’Aubrac

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Le magazine Terres d'Aubrac poursuit son exploration de l'Aubrac, à la rencontre de ses figures, à l'écoute de ses histoires, à la découverte de son patrimoine et à la recherche du mystère qui fait de ce haut plateau un territoire à nulle autre pareil. Le numéro 3 en kiosque le 2 juillet.

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En 140 pages toujours plus riches en récits et en images, la troisième édition du hors série du Bulletin d'Espalion est une invitation à découvrir les aspects les plus étonnants de la vie de l'Aubrac où peuvent se côtoyer l'exubérance des pratiquants de snow-kite et la ferveur secrète des moniales de l'abbaye de Bonneval. C'est sur l'Aubrac et nulle part ailleurs que la famille Conquet a constitué une dynastie de bouchers aussi efficaces dans le commerce que dans la promotion du territoire. C'est à Nasbinals et nulle part ailleurs que Bébert Bergounhon a inventé la Rosée du Matin, cet incroyable cabaret que la famille Bastide compte faire revivre. C'est à Saint-Urcize ou à Cassuéjouls que s'exprime la liberté d'esprit d'habitants prêts à braver toutes les conventions. C'est dans les paysages infinis de l'Aubrac que naissent les fantasmes autour d'un loup qui aurait fait son retour. C'est dans les burons que, l'été, se recueillent des moines venus de tous les pays. Ce sont des hommes de l'Aubrac qui ont inventé la cabrette, cette cornemuse qui a fait danser aux bals musette tous les Auvergnats de Paris. C'est l'Aubrac, enfin, qui annonçait officiellement au petit Philippe Meyer qu'il arrivait en vacances au pays de ses grands-mères chéries.

Savoir plus : bulletindespalion.fr

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La voie royale du groupe Ruban Bleu

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L'entreprise ruthénoise de transport de voyageurs est devenue un groupe prospère où la qualité du service, l'épanouissement des personnels, la responsabilité environnementale et l'attachement au territoire passent avant le profit pur et dur.

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La route que se trace le groupe Ruban Bleu est large, droite et belle. Elle est jalonnée de valeurs telles que l'ancrage familial et local, la qualité du service assuré par des personnels formés et des matériels performants, la responsabilité sociale et la responsabilité environnementale. Ainsi clairement matérialisée, les salariés n'ont aucune peine à suivre la voie choisie par l'entreprise créée à Rodez par la famille Bouyssou et la tête de laquelle la quatrième génération est en train de s'installer.

Combien de passagers vont-ils s'en apercevoir ? Pourtant Ruban Bleu vient de changer de logo. Il est toujours bleu et rouge, mais il s'est épuré. Bien sûr, c'est là le moindre détail de l'évolution de cette entreprise qui ne cesse de se développer. Le groupe Ruban Bleu, aujourd'hui, exerce trois métiers : transport de voyageurs, agence de tourisme et hôtellerie et réunit huit entreprises.

La SATAR est l'entreprise spécialisée dans le transport urbain. Depuis 43 ans, elle exploite en délégation de service public le réseau de bus du Grand Rodez, Agglobus, et transporte chaque année plus de 1,5 million de passagers sur les 14 lignes urbaines.

Les entreprises Ruban Bleu (Rodez), Cars Coulom (Albi, Cordes, Gaillac), Cars Constant (Marvejols) et Cars Maurel (Rieupeyroux) sont les quatre unités du groupe spécialisées dans le transport de voyageurs. Elles exploitent sur leurs territoires respectifs des lignes départementales et régionales, effectuent les transports scolaires et proposent des voyages touristiques en autocars.

Les agences Ruban Bleu Voyages sont présentes à Rodez, Albi et Mende. L'agence de Rodez, qui commercialise la marque haut de gamme Thomas Cook, conçoit et propose tous types de voyages sur mesure pour les groupes et les individuels. L'agence d'Albi propose des voyages pour les groupes ; elle est spécialisée dans les voyages culturels, à travers la marque Culture au Cœur.

Le groupe compte enfin l'hôtel Mercure de Rodez, classé 4 étoiles, avec 36 chambres en plein centre-ville. « Après six ans d'exploitation, nous allons réaliser des travaux dans cet établissement dont une partie de l'architecture est classée, explique Jean-Paul Bouyssou, PDG du groupe. Nous allons faire cela dans le respect du caractère particulier des lieux. »

Pour Jean-Paul Bouyssou, qui a donné au groupe la dimension qu'il a aujourd'hui, et pour l'équipe de direction qui doit prendre le relai, l'entreprise doit encore se développer, afin d'atteindre la taille critique (elle n'en est pas loin) qui lui permettra de résister à tous les soubresauts de l'économie et à l'appétit des concurrents. « Notre ambition n'est pas d'être les plus puissants, mais les meilleurs, avec une histoire, un territoire et des pratiques respectueuses des hommes et de l'environnement, pour assurer notre pérennité », résume le PDG. Afin d'atteindre cet objectif, le groupe Ruban Bleu reste très attentif aux appels d'offres, aux possibilités de rachats d'entreprises de transport ou d'hôtels situés dans un rayon raisonnable autour de Rodez. « Pour rester réactifs en toutes circonstances », glisse Jean-Paul Bouyssou. Le groupe parie aussi sur le développement du transport à la demande, avec un réseau de sous-traitants.

Le groupe Ruban Bleu aujourd'hui, c'est 250 personnes, 200 véhicules et un chiffre d'affaires global de 15 M€. L'équipe de direction est ainsi composée : Jean-Paul Bouyssou, PDG, Julien Bouyssou (SATAR), Christophe Bouyssou (finances), Guillaume Bruneau (RH), Benjamin Gourdon (agences de voyages), Michèle et Marie Bouyssou (hôtel Mercure), Roland Bouyssou (directeur technique), Maxime Rey (transport interurbain) et Liliane Salgade (interurbain Tarn).

Savoir plus : www.groupe-rubanbleu.com

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RN88 : Rodez un peu plus près de Toulouse

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Cinq ans après le lancement du chantier, le tronçon de la RN88 entre La Baraque Saint-Jean et La Mothe (13,7 km) vient d'être inauguré en présence du préfet de Région, Pascal Mailhol, de son homologue aveyronnais Jean-Luc Combes, du président de la Région, Martin Malvy, du président du Conseil départemental, Jean-Claude Luche et de nombreux élus et personnalités aveyronnaises.

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Lors de cette inauguration, Martin Malvy a rappelé l’engagement majeur et sans précédent des collectivités territoriales sur cette route nationale, et en particulier celui de l’institution régionale, pour raccourcir le temps de parcours entre Toulouse et Rodez et aménager l’axe en 2x2 voies :

« Depuis 1998, plus de 400 M€ ont été investis sur la RN88 par l'Etat et les collectivités locales dont, à ce stade des travaux, près de 158 M€ de la Région Midi-Pyrénées, premier financeur avant l'achèvement des projets en cours qui seront pris intégralement en charge par le ministère des Transports comme convenu il y a deux ans. Nous avons fait de la RN88 une de nos priorités régionales en y consacrant le quart de des investissements routiers en Midi-Pyrénées pendant cette même période. La liaison que nous inaugurons aujourd'hui situe maintenant Naucelle à environ une heure de Toulouse alors que l'ensemble des chantiers réalisés dans le Tarn et l'Aveyron depuis le Contrat de Plan Etat Région 2000-2006  améliorent déjà le temps des trajets  entre Toulouse et Rodez, de 30  à 40 minutes selon les heures, gain de temps qui sera encore accru avec la déviation de Baraqueville en cours de chantier ».

Comme il s’y était engagé il y a quelques semaines en Aveyron, Martin Malvy a également indiqué à cette occasion que la Région interviendrait pour des travaux sur la RN 88, pour lesquels il n'était pas prévu qu'elle intervienne : « Nous avons fait inscrire 10 M€ au CPER pour l’aménagement de plusieurs carrefours giratoires de la rocade de Rodez. Les Régions qui ont en charge le ferroviaire ne financent plus d'opérations routières nouvelles. Toutefois, je proposerai prochainement au vote des élus, une subvention exceptionnelle de 2 M€ hors CPER dans le cadre du contrat d’agglomération du Grand Rodez sur ces travaux, le Conseil départemental et l'Agglomération intervenant chacun à cette même hauteur, et l'Etat pour 4 M€ ».

Le contournement de Baraqueville, qui terminera l'aménagement à 2x2 voies de la RN88 entre Rodez et Toulouse, est attendu pour 2020.

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Transmission de pouvoir à la tête de la CCI Aveyron

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Guy Combret, le directeur général de la CCI Aveyron, fait valoir ses droits à la retraite et sera remplacé dans ses fonctions par Patricia Fontanié, jusqu'alors directrice adjointe.

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« Parmi ses grands faits d’armes il a grandement participé et avec succès à la fusion des deux CCI du département, nous lui en sommes tous très reconnaissants car c’était un challenge ambitieux. » Ainsi le président Manuel Cantos a-t-il salué le travail de son plus proche collaborateur, « travailleur infatigable, sérieux, respectueux, doté de nerfs solides… » A ces qualités, le président de la CCI ajoute aussi au portrait de son ancien directeur : « Erudit, courtois, habillé avec goût, le sourire désarmant, il cultive cette élégance dans les bonnes relations qu’il entretient avec les élus, ses collègues, ses collaborateurs, son entourage. »

Du Conseil général où il est entré en 1977 en qualité d'attaché de préfecture et où il a travaillé à la décentralisation de 1982, à la CCI qu'il a rejoint en 2001, Guy Combret a effectué toute sa carrière au service de la chose publique, 38 ans durant. « Avec une part de chance, ces 38 années m’ont permis de vivre ma passion de l’Aveyron, de m’imprégner de la force et des exigences de la chose publique, de plonger avec délectation dans toute la sphère du développement économique et de l’aménagement. Avec parfois, je l’avoue, le parfum agréable et le sentiment enivrant de participer à des choix stratégiques. »

Avec la volonté de transmettre dans les meilleures conditions les doubles rênes de la chambre de commerce à une nouvelle équipe de direction et à une nouvelle équipe d'élus, le directeur et le président ont fait le choix de ne pas partir au même moment. Stratégie saluée par Guy Combret : « Tu as pris, cher Manu, la sage et pertinente décision de proposer à Patricia Fontanié de prendre le relais à la Direction Générale. Avec Cécile Arondel à ses côtés, avec l’équipe de direction, de cadres et de collaborateurs qui composent les services, elle va t’accompagner sur la période qui s’ouvre et elle sera ainsi, le moment venu, en capacité d’apporter une continuité technique éclairée à ton successeur et aux élus de la prochaine mandature. Patricia deviendra alors à son tour un passeur, dans le respect des cycles de vie d’entreprise. Peut-on d’ailleurs, en tant que CCI, s’investir sur le sujet majeur de la transmission d’entreprise, sans se l’appliquer à soi-même. »

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Billet d’humeur économique de Manuel CANTOS

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manuC

Le  travail : rendez-vous de la réussite !

Il n’est pas un jour, dans notre quotidien, sans que ne soit prononcé le mot travail !

Mais je suis surpris de constater qu’il est toujours évoqué en termes dévalorisants : conditions de travail difficiles ou anormales, pénibilité, souffrance……

Pourtant, un job, une occupation prenante sont des médicaments souvent efficaces pour des personnes traversant un contexte difficile.

Pourquoi ne jamais parler du travail en termes positifs ?

  • Du plaisir à bien réaliser son travail,
  • De l’épanouissement dans une mission,
  • Du bien être dans une fonction valorisante,
  • Du regard élogieux de son environnement ou de sa famille sur une promotion,
  • De la réussite professionnelle… parmi d’autres satisfactions, nous ne pouvons les citer toutes.

Le travail  est  vraiment une valeur essentielle qui est transmise de génération en génération.

Hélas, aujourd’hui il semble être  totalement déconsidéré.

Il est inquiétant de noter qu’autant d’entreprises ne trouvent pas de candidats pour occuper un poste alors que le nombre de chômeurs est en augmentation constante.

Ne détournons pas la tête : nous sommes allés trop loin dans l’assistanat en tuant ainsi le goût de l’effort.

Ne sommes-nous pas au sommet de l’incohérence en constatant que l’on peut, dans certains cas, être gagnant de ne pas travailler plutôt qu’en occupant un emploi si l’on a un salaire modeste ?

Est-on vraiment en situation de jouissance si l’on ne travaille pas ?

Le gouffre est énorme entre ceux qui sont de véritables chercheurs d’emploi et ceux qui estiment pouvoir vivre au crochet de la société.

J’encourage vivement ceux qui ne trouvent pas d’emploi et qui ont une vraie volonté et une sincère motivation de créer leur entreprise pour retrouver ainsi une activité passionnante.

Le monde appartient à ceux qui entreprennent, qui s’investissent et qui ne regardent jamais leurs horaires. Mieux vaut être acteur que spectateur.

Comment une ministre peut-elle rêver d’une semaine de 32 heures en étant aussi déconnectée des réalités ? À tout prendre, j’aurais une préférence pour un rêve érotique… moins dévastateur pour notre économie !

Si le travail est un mal, c’est un mal nécessaire car il permet de vivre et de faire vivre un territoire, son environnement ou, tout simplement, sa famille.

Soixante-quatre ans de travail derrière moi me permettent, je l’espère, de livrer  ces quelques sentiments.

Si le bonheur n’est pas toujours dans le pré… il est souvent dans le travail !

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Une 10ème édition exceptionnelle et un nouveau record battu avec près de 16 000 spectateurs !

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Au lendemain de la 10ème édition des Galas « Tout le monde chante contre le cancer », les bénévoles font le bilan avec le sourire !

– Ce sont près de 16 000 personnes qui ont foulé le sol de la place Fontanges durant ces 2 derniers jours : un record de fréquentation malgré la chaleur !

– Une programmation variée saluée par toutes les générations et des artistes engagés, solidaires et motivés qui n’ont pas manqué de jouer le jeu. Tous l’ont clamé : « les stars, à Tout le monde chante contre le cancer, ce sont les enfants malades et leur famille ! »

– 4h00 de show exceptionnel chaque soir avec M Pokora,  Fréro Delavega, Tina Arena, Michel Fugain & Pluribus,  La Compagnie Créole,  Daniel Guichard, Marina Kaye, Luce, Julie Zenatti, Anaïs Delva, la « Reine des neiges », Les candidats de The Voice 4, Damien Sargue, les comédiens de Plus Belle La Vie, Frédéric Lopez, Christophe Beaugrand, Jérôme Anthony, Marc Emmanuel, Karima Charni, Sandra Lou…et d’autres surprises !

600 bénévoles mobilisés pour donner vie à l’évènement, qui ne relâchent rien pour réserver encore de belles journées de bonheur aux familles d’enfants malades invités pour la semaine de vacances !

Hélicoptère, baptême d’ULM, balade en poney, jet ski, visite de la caserne de pompier… la troupe des « polos roses » continue d’offrir le meilleur pour les familles, les véritables stars des événements « Tout le monde chante contre le cancer ».

– En coulisses… des regards, des sourires, des rires, des échanges, de la complicité avec les familles invitées d’honneur… Du bonheur et de la vie, tout simplement.

Un anniversaire plus que réussi pour l’association qui n’a pas seulement célébré ses 10mes galas d’été, mais aussi et surtout ses 10 ans d’actions :

– des milliers de malades et leur famille accompagnés,

– plus de 10 000 rêves réalisés,

– un million de cadeaux distribués..

En 10 ans, « Tout le monde chante contre le cancer » est devenue une véritable industrie du rêve et du bonheur, précurseur dans le paysage associatif :

– création du 1er événement contre le cancer,

– créateur de la plus grande opération de Noël en France… et même d’un « Noël en été » !

– création de l’opération Fête des mères/pères dans les hôpitaux,
– création de nouvelles opérations chaque année : fêtes de carnavals, corbeilles de fruits dans les hôpitaux, des dizaines de semaines de vacances offertes pour des familles, des invitations à des évènements VIP…


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Tourisme en Aveyron : du chiffre d’affaires, de l’emploi et de l’image

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Lors de son assemblée générale, le Comité Départemental du Tourisme de l’Aveyron a rappelé la place importante que le tourisme occupe dans la richesse et la notoriété du département.

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Le secteur touristique en Aveyron, représente plus de 330 millions d’€ de chiffre d’affaires et 3500 emplois directs pour une population départementale de 280 000 habitants. Soit un peu plus de 3% du chiffre d’affaires « industrie et services ». C'est là une activité qu'il faut d'autant moins sous-estimer qu'elle apporte, en outre, une large contribution à l'image et à l'attractivité du territoire.

Quelques actions visant à conforter ce rôle dans l’économie aveyronnaise ont été présentées lors de l'assemblée générale qui s'est déroulée fin juin. Il en est ainsi de la démarche d’attractivité « Aveyron Vivre Vrai », lancée avec le Conseil Départemental, Aveyron Expansion et autres partenaires, les actions autour du Musée Soulages, une présence de plus en plus marquée sur les réseaux sociaux, l’accompagnement des offices de tourisme et de filières touristiques… « Nous sommes sur un champ concurrentiel, il faut que nous soyons meilleurs que les autres », a déclaré Jean-Claude Luche, réélu Président du CDT de l’Aveyron lors du renouvellement du bureau de l’association. Le directeur du CDT (Jean-François Gavalda, qui succède à Francis Castan) a rappelé l’importance du Système d’Information Touristique de l’Aveyron (SITA), colonne vertébrale du travail collectif avec les acteurs touristiques du département qui permet de mettre en valeur l’offre désormais thématisée et segmentée. La valorisation du chemin de Saint-Jacques de Compostelle sur sa portion aveyronnaise, d’Aubrac à Conques, est un exemple de positionnement segmenté et de chantier collaboratif, mené avec le pays Haut Rouergue dans le cadre de la labellisation Pôle d’excellence rurale et qui a donné lieu au site www.st-jacques-aveyron.com. Le guide gastronomique « déguster en Aveyron » est aussi le résultat d’un travail en collaboration avec les OTSI.

En matière d'exposition médiatique, le département a été plutôt gâté au cours des derniers mois, avec 7 millions de téléspectateurs pour l’émission des Racines et des Ailes lors de ses diffusions le 1er octobre 2014 et le 10 juin 2015. Le Tour de France devrait lui aussi porter l'Aveyron dans le cœur des Français.

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La boulangerie Galzin va travailler en Chine

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Lors de la visite à Toulouse du Premier ministre chinois, Li Keqiang, dans le cadre du sommet économique franco-chinois, d’importants protocoles d’accords ont été signés devant  les représentants de plus de deux cents entreprises des deux pays. Parmi elles la boulangerie Galzin de Millau.

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Martin Malvy, ancien ministre et président de la Région Midi-Pyrénées, hôte de ce sommet économique, s’est félicité de la conclusion de ces accords entre grandes entreprises. « Mais les échanges économiques entre la France et la Chine sont aussi le fait des petites et moyennes entreprises », a poursuivi Martin Malvy. « En Midi-Pyrénées, 344 entreprises sont exportatrices en Chine. La mission de la Région est de faciliter les échanges et les investissements entre entreprises, dans les deux sens. Nos outils de soutien à l’internationalisation des entreprises sont mobilisés en ce sens ». Le président de la Région Midi-Pyrénées est revenu sur les retombées concrètes de la mission pluridisciplinaire qu’il a conduite en Chine en octobre dernier, « qui a fait franchir une nouvelle étape à nos collaborations économiques, mais aussi scientifiques, universitaires, culturelles ou encore dans le domaine de la santé. Ce sont des échanges gagnant-gagnant qu’il faut démultiplier ».

Parmi les nombreux contacts noués lors de cette mission économique régionale, ceux établis par la société Galzin ont débouché sur deux accords de partenariat, signés à l’occasion du sommet franco-chinois, à l’Hôtel de Région. Galzin est une grande boulangerie, implantée à Creissels près de Millau et comptant plusieurs dizaines de points de vente en Aveyron et Hérault. L'entreprise, dirigée par William Galzin, emploie 140 personnes. Elle élabore depuis trois générations des pains et viennoiseries surgelés de très haute qualité répondant aux besoins de la boulangerie, de l’hôtellerie, de la restauration. Invitée par la Région à se joindre à la mission en Chine en octobre dernier, Galzin a rencontré à Chengdu deux entreprises chinoises : la société Jiahe, avec laquelle elle ouvrira à Suzhou deux magasins et une école de formation ; le groupe Senyu que lui a présenté la Région lors de la soirée d’inauguration de la Maison Sud-Ouest France de Chengdu. Galzin prépare avec Senyu l’ouverture à Chengdu de magasins sous la marque « Victoire » et d’une école de formation.

En parrainant la signature de ces accords, Martin Malvy a souligné le fort potentiel à l’exportation de l’agroalimentaire de Midi-Pyrénées - et demain de la grande Région qu’elle formera avec le Languedoc-Roussillon - en matière de produits de qualité, de semences et de vignobles, notamment. Le président de la Région Midi-Pyrénées a par ailleurs annoncé qu’il souhaite conduire une prochaine mission en Chine « avant la fin de l’année ».

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Rodez agglomération au côté d’Unicor pour Oviboost

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La coopérative Unicor, avec ses partenaires Arterris innovation, Deltavit, le laboratoire Phode, l'institut de l’élevage Adele et l'INRA, lancent leprogramme de recherche Oviboost et reçoit l'aide de la communauté d'agglomération de Rodez.

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Le projet que porte la société coopérative agricole Unicor consiste en une conduite d’élevage innovante permettant de « booster » les performances technico-économiques de production d’agneaux sevrés tout en réduisant le recours aux antibiotiques. Un programme de recherche qui traite de deux problématiques : une filière de production ovine en perte de vitesse et en manque de compétitivité par rapport à la production étrangère. Toutefois, grâce à sa filière de production des agneaux sevrés, la production française a quelques avantages ; la réduction de l’utilisation des antibiotiques avec en parallèle amélioration des performances technico-économiques de production dans le cadre du plan Ecoantibio (Ministère de l’Agriculture, plan national de réduction des risques d’antibiorésistance en médecine vétérinaire).

Le projet aura un impact direct pour les entreprises partenaires, pour les sous-traitants et fournisseurs de vaccins, d’outil informatique et de machinisme et pour les clients abatteurs-transformateurs, qui grâce aux meilleures performances technico-économiques de production bénéficieront d’un gisement de viande exploitable plus important (moins de taux de mortalité et de saisies, meilleurs rendements…).

Le coût global du projet s’élève à 3,1 millions d’euros dont près de 450 000 euros pour le Groupe Unicor. Dans le cadre de ce programme de recherche Oviboost, la Communauté d’agglomération soutient l’entreprise Unicor à hauteur de 46 273 euros.

A travers sa compétence obligatoire sur l'économie, le Grand Rodez s'affirme comme moteur du développement économique de son territoire, avec une action dynamique de proximité. Ainsi, grâce à son Fonds d'Intervention Economique (FIE), la Communauté d’agglomération vient-elle accompagner et soutenir les entreprises de toutes tailles qui souhaitent s’implanter ou se développer sur son territoire. Elle travaille en étroite collaboration avec le pôle de compétitivité AgrimipSud-Ouest Innovation et soutient, à partir de son Fonds d’Intervention Economique, les projets de recherche engagés par les entreprises sur son territoire et notamment, dans le secteur des agro-ressources et de l’agroalimentaire.

Depuis 2008, le Grand Rodez a ainsi soutenu 7 dossiers de recherche qui représentent un investissement global de 3 577 376 euros par les entreprises locales et un financement propre de la CAGR à hauteur de 278 673 euros : Oléosol, Innov’herba et Genomic Breeding avec Ragt, Roquefort’in avec Ovitest, Unotec et l'Upra Lacaune, Végépack avec Arcadie, Oviboost avec Unicor et Le Trône avec la société Le Trône.

La filière agroalimentaire et agro-ressource sur le Grand Rodez représente 1 milliard d’euros de CA, plus de 3 500 emplois, une plateforme (La Roque) et de nombreuses formations de Bac à Bac + 2.

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Ce divin chocolat de l’abbaye de Bonneval

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L'abbaye Notre-Dame de Bonneval est un endroit extraordinaire, hors du temps mais en lien avec l'humanité, où vit une petite communauté de moniales cisterciennes qui, entre prière et communion, fabrique un chocolat d'exception à destination des plus gourmands des mortels.

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Avant même d'avoir franchi le porche surmonté d'une magnifique Vierge romane, on se surprend à baisser la voix, à faire son pas plus léger. Malgré soi. Le lieu est tellement plein de paix que cette sérénité en devient consistante et, comme une ouate, étouffe les bruits, ralentit les mouvements. L'abbaye de Bonneval semble enchâssée dans la forêt qui couvre cette boralde de Flaujac, à quelques minutes d'Espalion. Cela ressemble à un paradoxe : depuis le fond de cette vallée si profonde, le ciel semble si haut, si loin. Faut-il, pour lui parvenir, que les prières des moniales qui vivent ici soient pleines de ferveur! Et faut-il, aussi, qu'il soit bon, ce chocolat fait dans ces murs, pour que sa réputation ait quitté cet endroit secret pour parcourir le monde! Depuis le renouveau de l'abbaye cistercienne, à la fin du XIXe siècle, les moniales de Bonneval fabriquent du chocolat qu'elles vendent pour subvenir aux besoins de leur communauté.

«La fabrication du chocolat n'est qu'un moyen de subsistance, précise sœur Anne-Claire, adjointe de la Supérieure. L'objectif premier de notre communauté, c'est la vie monastique, autrement dit la recherche de Dieu.» Est-ce Lui qui inspire de si divines recettes ? Chocolat noir, chocolat praliné, chocolat au café, au thé d'Aubrac, aux éclats de noisettes, au thé fumé, au gingembre, aux pétales de rose, à la bergamote, aux oranges confites, à la crème confiseur... Des tablettes, des malakoffs, des bouchées, des bonbons, des bouteilles à la liqueur... La chocolaterie de Bonneval doit être parmi les toutes dernières, en France, à fabriquer encore son chocolat à partir des fèves de cacao. Tous les autres chocolatiers, y compris les plus renommés, transforment un chocolat qui leur est livré en tablettes. Il y a quelques années encore, l'abbaye de Bonneval achetait même les cabosses du cacaoyer, dont les moniales tiraient les fèves et en torréfiaient les amandes. Aujourd'hui, la chocolaterie de Bonneval travaille à partir d'éclats de fèves torréfiées. «Travailler à partir de la matière première et non d'un produit déjà transformé nous permet de faire un chocolat qui nous est propre, celui que nous aimons; c'est un grand privilège que m'envie bon nombre de mes confrères chocolatiers», s'amuse Xavier Piton, responsable de la fabrication.

Les éclats de fèves sont malaxés jusqu'à former une pâte qui, chauffée, donnera la liqueur de cacao puis le beurre de cacao. Du sucre est ajouté, ainsi que divers ingrédients, selon le type de chocolat en préparation : lait en poudre, café moulu, beurre, noisettes broyées... Cette préparation passe ensuite dans une broyeuse pour atteindre une finesse extrême, avant de rejoindre la conche où elle est malaxée pour gagner en onctuosité et arôme. «Ici, nous doublons le temps de conchage par rapport à ce qui se fait généralement dans l'industrie», précise soeur Anne-Claire. De la conche, le chocolat est ensuite acheminé vers la tempéreuse par une canalisation chauffée. C'est l'une des phases les plus délicates de la fabrication, qui impose un subtil jeu de changements successifs de températures, afin d'amener le chocolat à son état idéal de cristallisation, avant le moulage en tablettes, en napolitains ou en bonbons. C'est de cette phase de tempérage, où intervient toute la science du chocolatier, que dépendent l'aspect lisse et brillant du chocolat une fois refroidi, sa dureté et son fondant.

Il y a aussi le mystère des bouteilles à la liqueur. Comment fait-on entrer le spiritueux dans ce bonbon de chocolat hermétique ? En réalité, ce n'est pas la liqueur qui entre dans le chocolat mais le chocolat qui drape la liqueur. Pour ce faire, les empreintes des bouteilles (ou de tout autre bouchée) sont formées en creux dans de grands châssis pleins à ras-bord d'amidon. Ces empreintes sont ensuite remplies de liqueur (rhum, poire ou triple-sec). L'amidon absorbe alors une partie de l'eau contenue dans la liqueur et cristallise en formant une mince pellicule de sucre solide autour du liquide. Ces délicates ampoules sont ensuite napées de chocolat noir.

Autrefois, seules des religieuses travaillaient à la chocolaterie, entretenant ce savoir-faire légué au XIXe siècle par leurs aînées, elles mêmes formées par l'abbaye-mère d'Aiguebelle. Mais la communauté vieillissante a dû se résoudre à recruter des chocolatiers professionnels pour les épauler. Trois hommes heureux de travailler dans un environnement où l'humain et l'éthique passent avant toute autre considération. Les moniales sont désormais affectées, pour la plupart, à l'emballage des chocolats. Il y a un an seulement, la production était encore supervisée par sœur Anne qui, malgré un corps voûté sous le poids des années, manipulait toujours les bidons de fèves, grimpait au pétrin et gardait un œil vigilant sur toutes les phases de fabrication. «Elle était extraordinaire !, évoquent d'une même voix sœur Anne-Claire et Xavier Piton. Elle avait tout assimilé des évolutions technologiques qui ont jalonné sa carrière et travaillait avec entrain et bonne humeur.» Son âge faisait d'elle la doyenne des chocolatières dans le monde, comme on aimait à l'indiquer à l'abbaye. Sœur Anne est décédée en janvier 2015 à l'âge de 94 ans. «Rappelée à Dieu», indique un portrait souriant, affiché au mur de la salle du pétrin.

Les moniales ont recruté des chocolatiers, mais n'ont changé ni les méthodes de fabrication ni la rigueur apportée au choix des matières premières. Ni le matériel. A l'abri de toute tentation de rentabilité ou de productivisme, les religieuses n'ont pas jugé utile d'investir dans des lignes de fabrication modernes. La chocolaterie fonctionne toujours avec du matériel qui a souvent plus de cinquante ans d'âge. Mais c'est aussi ce qui lui assure une certaine pérennité. «Ce sont des machines éprouvées, très résistantes et dont nous pouvons assurer la maintenance sans difficulté»,explique sœur Anne-Claire en technicienne avertie. «Certains fabricants de matériel professionnel rêvent même de nous les acheter pour s'en inspirer», rigole Xavier Piton.

Détentrice d'un savoir-faire historique, la chocolaterie de Bonneval a récemment obtenu le label Entreprise du Patrimoine Vivant. Par ailleurs, ses produits portent tous le label Monastic, qui garantit une fabrication en milieu monastique. La gamme des chocolats de Bonneval, garantis pur beurre de cacao, sans autre matière grasse végétale, ni arôme artificiel, ni colorant, ni conservateur, est distribuée partout en France, essentiellement dans des monastères et abbayes. En Midi-Pyrénées, on trouve aussi les chocolats de Bonneval dans de nombreux commerces traditionnels, boulangeries, épiceries, confiseries et grandes surfaces.

Savoir plus : www.abbaye-bonneval.com

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Mescladis, ou l’espace de travail partagé en bonne intelligence

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Mescladis, c'est un espace de coworking qui s'ouvre en plein centre de Rodez pour les métiers de conseil et de prestations intellectuelles. Une nouvelle manière de travailler pleine de bon sens, qui favorise l'échange et coûte moins cher.

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Adeline Daoudal (communication graphique et rédactionnelle), Maxime Cantaloube (dessinateur projeteur industriel) et Sabine Ehrhart (confection sur mesure et robes de mariées) ont trouvé un lieu de travail idéal, au pied de la cathédrale de Rodez (4, boulevard Gambetta). Les locaux sont fonctionnels et vastes. Trop vastes. C'est pourquoi les trois jeunes entrepreneurs ont décidé de les partager. Ils ont ainsi créé Mescladis, le premier espace de coworking du département, qui peut d'ores et déjà accueillir des activités de conseil, de prestations intellectuelles et tout autre métier qui s'exerce avec un simple ordinateur. « Mescladis offre une situation centrale, peut créer des synergies entre les occupants et propose, sans engagement, des tarifs plus avantageux que la location traditionnelle », résume Adeline Daoudal. Cela permet en outre aux trois coworkers de rentabiliser l'espace qu'ils n'utilisent pas.

Situés au premier étage, les locaux de Mescladis comptent un open space qui peut accueillir jusqu'à douze postes de travail, une grande salle de réunion où peuvent être données des conférences ou dispensées des formations, une petite salle de réunion, un espace convivial de détente et de restauration et une terrasse qui sera prochainement aménagée. Le tout est couvert par une connexion internet wifi. A terme, Mescladis pourrait aussi proposer un service de reprographie. L'offre s'adresse plutôt aux activités individuelles, en phase de démarrage ou de développement. « Mais c'est aussi parfaitement adapté aux besoins des entreprises qui souhaitent détacher un ou plusieurs salariés en centre-ville, ou qui font appel au télétravail », ajoute Adeline Daoudal.

Au-delà de la fonctionnalité des locaux, Mescladis se caractérise par une offre extrêmement souple, sous forme d'abonnements mensuels de 20 jours (250 € TTC), 10 jours (150 € TTC) ou 5 jours (85 € TTC). On peut aussi utiliser l'espace de coworking plus ponctuellement : à la journée (18 €) ou par demi-journées (100 € les dix). Il est également possible de louer seulement les salles de réunion (120 € la journée pour la grande, 40 € pour la petite).

Savoir plus : www.coworking-rodez.fr ou 05 65 68 76 50

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Le laboratoire Nutergia en grande forme

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D’ici quelques semaines le laboratoire Nutergia, 4ème laboratoire français de compléments alimentaires,déposera le permis de construire de son nouveau site de production à Causse et Diège, près de Capdenac.

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Ce projet d’envergure, devenu nécessaire pour accompagner la croissance soutenue de l’entreprise, représente un investissement estimé à 9 millions €.

Les bâtiments, autour de 6 000 m2, accueillerons une unité de production respectant les normes de l’industrie pharmaceutique, une zone de stockage des matières premières et produits finis et une plateforme logistique de distribution. L'ensemble a été dessiné par les cabinets Casadepax et Cérès Lacombe, lauréats du concours lancé par le laboratoire avec l’appui du CAUE ; une première dans le département.

Les travaux débuteront en 2016 et le site devrait être opérationnel fin 2017.

Nutergia, qui se place depuis de nombreuses années comme un acteur de croissance durable, se montre soucieux de limiter l'impact environnemental de son activité. Cette responsabilité, qui engage le laboratoire dans toutes les phases du projet, se manifeste par une volonté forte d’optimiser les ressources. Concrètement, cela se traduit par la mise en place d’un éco-chantier, l’utilisation de la géothermie, de matériaux sobres, d’isolants naturels, la souscription à des contrats d’énergies renouvelables, la construction de toits végétalisés, la plantation d’espaces arborés…

Le laboratoire Nutergia poursuit une croissance à deux chiffres et les prévisions pour 2015 s’élèvent à 35 millions d’euros de chiffre d’affaires. Sa réussite s’appuie une dynamique managériale et l’engagement des équipes, sur la priorité donnée à l’innovation, et enfin sur un réseau de distribution partenaires formé au conseil : les pharmacies et les professionnels de santé.

Le déménagement de l'entreprise sur son nouveau site devrait être accompagné d'un plan de recrutement de 50 à 70 personnes sur 3 ans, lancé avec l’appui de l’Etat.

Nutergia a été créé en 1989 par Claude Lagarde, pharmacien, qui se passionne pour les oligoéléments, les huiles essentielles et leurs effets sur la cellule. Claude Lagarde crée ansi le concept de Nutrition Cellulaire Active qui consiste à apporter des compléments alimentaires adaptés aux besoins de chaque organisme. Dès lors, Nutergia n'a cessé de se développer et de lancer des programmes de recherche et d'innovation pour de nouveaux produits. Le dernier grand développement en date est le lancement, en 2006, de la gamme Ergysport, première gamme sportive de micronutrition certifiée antidopage.

Le laboratoire Nutergia, désormais dirigé par Antoine Lagarde, fils du fondateur, fête ses 25 ans cette année et se place au 4e rang des fabricants de compléments alimentaires en France. En 2014, le laboratoire a vendu 3,8 millions d'unités (+22,4%) dont un tiers à l'international. Nutergia emploie aujourd'hui 186 personnes.

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Le Crédit Agricole soutient le LEGTA de La Roque

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Dans le cadre de son accompagnement des projets d’installation, le Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées renouvelle son soutien auprès des étudiants du lycée agricole de La Roque.

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Au sein des différentes formations proposées par cet établissement de renom, nombreuses ont été les actions pédagogiques menées en 2015 par ces élèves : tables rondes sur les réseaux sociaux, la sexualité, l’altérité, la prévention contre les problèmes d’audition, ou encore organisation de journée «prévention routière» et d’actions en faveur de l’environnement avec, par exemple, la plantation d’une double haie autour de l’établissement. «D’autres projets concernaient l’organisation de voyages et de stages d’études en lien avec leur futur métier d’agriculteur», précise Noël Boissonnade, le proviseur. Le Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées, en la personne de Pascal Garibal, directeur adjoint, et de Cédric Lamy, chargé de marché du service agriculture, se sont donc rendus dernièrement au lycée pour réaffirmer, lors de la remise du chèque, le rôle clef de la banque lors du parcours d’installation d’un jeune agriculteur. Ce parcours, aidé par des formules de financement adaptées au jeune exploitant, est ponctué régulièrement de visites sur l’exploitation, d’un suivi approfondi en liaison avec les différents partenaires agricoles et de bilans complets pour accompagner les besoins du futur exploitant.

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Complémentaire santé obligatoire : Aveyron Conseil Assurances en partenaire

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A compter du 1er janvier 2016, toutes les entreprises seront dans l'obligation de proposer à leurs salariés une couverture santé complémentaire, dont elles devront prendre en charge, au minimum, la moitié du coût.

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C'est là une réglementation nouvelle et complexe, qui vient s'ajouter à d'autres nouveautés réglementaires et qui interroge encore bon nombre de chefs d'entreprises de toutes tailles, autant que leurs salariés. Dans le concert des offres commerciales qui se fait entendre depuis quelques mois, Dominique Costes (Aveyron Conseil Assurances — ACA) tente de jouer une partition un peu différente, dans laquelle le conseil juridique trouve une juste place auprès de l'offre de produits. En sa qualité de courtier indépendant, travaillant avec une quinzaine de compagnies différentes, Dominique Costes est en mesure de proposer au chef d'entreprise « des solutions 100% modulables », conformes à la réglementation et adaptées à la fois aux besoins de l'entreprise et aux souhaits du dirigeant. « La question est : quelle enveloppe le chef d'entreprise est-il prêt à consacrer à la complémentaire santé de ses salariés ? », résume le courtier. Car l'entreprise peut se contenter du minimum légal fixé par barème (« Dans ce cas, la prise en charge est relativement réduite », explique Dominique Costes) ou elle peut faire le choix de proposer des contrats plus complets et intéressants pour les salariés, offrant des garanties supérieures ou intégrant les besoins de toute la famille. « C'est un très bon moyen de motiver et de fidéliser ses salariés », ajoute le courtier. Dans tous les cas, ACA a des solutions à proposer.

Mais au-delà des seuls contrats d'assurance complémentaire santé, les entreprises auront aussi obligation de rédiger un règlement qui fixe les modalités du contrat ainsi que les droits et les devoirs de chaque partie. « C'est là que je me propose de conseiller et d'accompagner le chef d'entreprise dans cette démarche purement juridique et fastidieuse, mais obligatoire », explique Dominique Costes. A défaut de ce règlement, en cas de contrôle, l'Urssaf peut procéder à une régularisation sur trois ans, avec assujettissement à charges sociales. Outre l'accompagnement du chef d'entreprise, ACA se propose aussi de répondre aux interrogations des salariés, « pour qu'ils n'aient pas de mauvaises surprises. »

Dominique Costes exerce le métier de courtier expert en protection sociale depuis plusieurs années en Aveyron et départements limitrophes, essentiellement sur recommandations de ses clients ou des cabinets d'expertise comptable.

Savoir plus : dominiquecostes.aca@orange.fr ou 06 82 53 66 18

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Villeneuve aux couleurs des Yéyés

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La Maison de la Photo Jean-Marie Périer vient d'être inaugurée à Villeneuve, où le public peut se rafraîchir l'esprit en allant voir les portraits légers des vedettes de la chanson et du rock des années soixante et soixante-dix

Media12-Photo villeneuve

Au commencement de cette aventure culturelle, il y a eu la découverte de l'Aveyron et des « vrais gens » qui le peuplent par le photographe Jean-Marie Périer. Puis il y a eu l'amitié entre le Parisien installé près de Villeneuve et son « meilleur amis aveyronnais », Michel Heuillet, l'ancien directeur de l'hebdomadaire le Villefranchois, disparu en janvier dernier. Et il y a aujourd'hui cette Maison de la Photo, élégamment logée dans un ancien hôtel renaissance au coeur de la bastide de Villeneuve d'Aveyron. Ce nouveau lieu de culture populaire aveyronnais, « qui compte beaucoup plus de couleurs que le musée Soulages », plaisante Jean-Marie Périer, vient d'être inauguré en grandes pompes en présence de tous les élus et officiels de la région.

Aménagées en sept salles, la Maison de la Photo présente quelque 180 tirages originaux de Jean-Marie Périer qui, dans les années soixante et soixante-dix, a photographié la plupart des vedettes de la chanson françaises et internationales de l'époque. Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Johnny Halliday, Sheila, Jacques Dutronc, les Rolling Stones, les Beatles, Miles Davis, Count Basie, Dizzy Gillespie... Tous se sont prêtés aux facéties de Jean-Marie Périer, que Daniel Filipacchi  avait entraîné avec lui dans la grande aventure du magazine Salut les copains !

Au-delà de l'exposition permanente consacrée à la collection donnée par Jean-Marie Périer, ce lieu devrait également être ouvert à d'autres artistes ainsi qu'à des activités conduites par des associations locales.

La Maison de la photo est ouverte de 10 heures à 12h30 et 15 heures à 18h30 (excepté le lundi). Tarifs: 5€; 3,5€ pour un groupe de 20 personnes et plus, gratuit pour les moins de 12 ans.

Cette réalisation, gérée par une association créée spécialement pour la circonstance, a été cofinancée par la commune de Villeneuve, le Conseil départemental, le Conseil régional, l'Etat.

Savoir plus : www.maisonphotovilleneuve.com

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Le Tour de France fait grimper l’activité économique

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Deux jours durant, Rodez va vivre à l'heure du cyclisme avec le passage du Tour de France. Au-delà des inconvénients que provoque le déplacement de cette gigantesque caravane sportive et publicitaire, une étape du Tour, c'est aussi de l'activité économique en plus.

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Le maire de Rodez, Christian Teyssèdre, entend faire taire les grincheux en assurant que l'accueil du Tour de France cycliste, les 17 et 18 juillet dans sa ville, ne coûtera pas un centime au contribuable ruthénois. Le budget est pourtant considérable : 520 000 euros pour recevoir la Grande Boucle. Mais le premier magistrat explique qu'une grande partie de ce budget est financé par le fonds de la taxe de séjour. Car la caravane du Tour, ce sont 4500 personnes qui, chaque soir, doivent être logées tout au long du parcours. Ainsi, la seule société Amaury Sport Organisation (l'organisateur du Tour) a-t-elle réservé plus de 1600 lits d'hôtel pour l'étape ruthénoise, dans une quarantaine d'établissements situés dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour de l'agglomération.

Selon une étude réalisée à la demande de l'organisateur, le Tour de France rapporterait 150 M€ aux régions traversées. Le rapport irait de 1 à 6, par euro dépensé, selon les régions.

Une autre étude d’impact économique indique que 94% des entreprises locales interrogées estiment que le Tour a eu un impact positif sur l’image de leur région, 84% d’entre elles sont favorables à un retour de l’épreuve et 74% des spectateurs ont l’intention de revenir dans la localité concernée. Cette édition 2015 fera l'objet d'un nouvel audit afin de mieux mesurer les retombées économiques locales. Ainsi, on en saura un peu plus sur l'effet du Tour à Rodez puisque le chef lieu aveyronnais figure parmi les lieux sélectionnés (avec Arras, Le Havre, Rennes, Muret et La Toussuire) pour servir de support à cette enquête.

A cet impact économique direct, il faut ajouter l'impact médiatique. Le Tour de France, en effet, est suivi par 2 milliards de téléspectateurs !

Les commerçants de la ville ne sont pas insensibles aux charmes de la Grande Boucle puisque leur association, Cassiopée, est à l'origine de plusieurs animations à l'occasion du passage de l'épreuve : concours de vitrines, opération La musette du coureur avec le Vélo Club Ruthénois et l'APC, un marché gourmand en soirée... Pour ne citer qu'une autre initiative, on signalera que, vendredi 17 Juillet, à l’occasion de l’arrivée du Tour de France à Bourran, l’agence de voyages Thomas Cook-Voyages Ruban Bleu et ses partenaires « Go Sport » et « Cuisine et Comptoir » proposent une tombola gratuite destinée au grand public.

Sans oublier, bien entendu, l'engagement de RAGT Semences auprès d'ASO, la présence de l'entreprise ruthénoise dans la caravane publicitaire et les différentes opérations spéciales qu'elle a prévu pour l'étape aveyronnaise.

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Meljac se place à Londres sur le marché britannique

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Suite à la signature officielle avec deux revendeurs agréés à Londres, Meljac, leader français des interrupteurs haut de gamme, présente pour la 1ère fois ses collections à l’occasion du salon Decorex. Ce rendez-vous incontournable pour les architectes et décorateurs se tiendra du 20 au 23 septembre 2015 au Syon Park London.

Media12-Meljac GB

La marque créé par André Bousquet se distingue sur le marché britannique par la qualité des matériaux utilisés et la précision du travail fait main permettant ainsi de réaliser de nombreuses créations sur-mesure. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir l’entreprise et ses produits fabriqués en France, dont un large éventail sera exposé : plus de 10 collections, des modèles en laiton traité (25 finitions possibles), d’autres en porcelaine de Limoges, en bronze incrusté de pierres semi-précieuses, en verre trempé… mais aussi des exemples de combinaisons de mécanismes et d’habillages domotiques.

Après 5 ans de commercialisation en Angleterre, l’entreprise a choisi d’officialiser son partenariat avec deux domoticiens londoniens, afin de privilégier le service, le conseil et l’échange avec les clients, valeurs chères à Meljac. La première participation à ce salon traduit l’expansion de la marque qui réalise localement un chiffre d’affaires de 70 000 € et vise une croissance de 20 à 30% par an.

Créée en 1995 par André Bousquet, l’entreprise conçoit des appareillages électriques de luxe à partir de matériaux nobles. Au cœur de son développement, l’innovation et les méthodes de travail garantissant une qualité optimale, lui ont permis d’exporter ses produits et de devenir leader sur son marché. Actuellement, Meljac travaille au développement d’une vingtaine de nouveaux produits. La marque est vendue dans 60 pays, présente chez 35 revendeurs agréés en France et 20 à l’étranger.

Avec une dizaine de collections, Meljac offre aux architectes, décorateurs, électriciens, particuliers… un large éventail de solutions : interrupteurs, prises de courant, lampes à poser, liseuses, thermostats, systèmes domotiques, etc. La marque est également réputée pour ses réalisations sur-mesure. Historiquement installée en région parisienne, l'entreprise cherche à installer en Aveyron, département d'origine d'André Bousquet, un nouveau site de production pour répondre à ses besoins de développement.

Meljac a équipé des établissements prestigieux tels que le Château de Versailles, le Musée du Louvre, le musée Horta à Bruxelles… et de nombreux palaces et hôtels réputés : l’hôtel Four Seasons George V, le Meurice, le Royal Monceau, le Royal Mansour et le Mandarin Oriental à Marrakech, l’Intercontinental de Genève, l’hôtel Danieli à Venise…

La marque obtient en 2012 le label « Origine France Garantie » pour ses produits en laiton et ses liseuses, et réalise un chiffre d’affaires de 6,5 M€. Le label EPV est en cours d’instruction.

Savoir plus : www.meljac.fr

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