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Renforcée par son haut niveau de performance en matière de sécurité et de protection de l’environnement, la SNAM (Société Nouvelle d’Affinage des Métaux) assoit sa position de leader européen du recyclage des batteries rechargeables et devient un acteur majeur de l’économie circulaire.
Cette entreprise employant 100 personnes, spécialiste européen du traitement des accumulateurs, notamment automobiles (batteries des véhicules hybrides et électriques), renforce ses capacités financières de près de 12 M€ au moyen d'une augmentation de capital souscrite par le groupe Floridienne coté à la Bourse de Bruxelles avec le concours d'un investisseur privé (8.7 M€) et de financements publics (3.3 M€) destinés à accompagner des projets industriels et de recherche et développement (Commissariat aux Investissements d’Avenir, BPI France, ADEME, Collectivités régionales et locales). Disposant de deux sites industriels, en Aveyron et en Isère, certifiés ISO14001 et modernisés à la suite d’un plan d’investissements, en matière de sécurité et de performance environnementale, de plus de 6 M€, SNAM multiplie par cinq ses capacités de traitement autorisées à environ 25 000 tonnes annuelles. Forte de ses savoir-faire techniques en matière de métallurgie et plus largement de chimie des métaux, l’entreprise avait déjà concrétisé plusieurs programmes de recherche et développement, notamment avec le CEA de Toulouse et Grenoble. Grâce à ces investissements, SNAM est depuis cette année 2015 en capacité d’extraire et de raffiner les « terres rares » issues des accumulateurs usagés. L’entreprise va maintenant poursuivre ses développements dans le domaine de l’extraction et de la purification des métaux nobles issus des batteries « lithium ion ». SNAM a étendu progressivement son périmètre d’action géographique à travers tout le continent, en recyclant les batteries usagées provenant d’éco-organismes renommés à travers toute l’Europe. Poursuivant son développement international, SNAM a également passé des accords avec plusieurs constructeurs automobiles de premier plan (Toyota, Honda, Volkswagen Group, Peugeot, Citroën, BMW,…) dont elle collecte et recycle depuis 2012 les batteries usagées des véhicules hybrides et électriques. L’an dernier, la société a importé en provenance de près de 35 pays plus de 80% des batteries traitées et a exporté près de 90% des alliages et spécialités métallurgiques qu’elle a produit.
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Lire le communiqué : DP INAUGURATION ATELIER SOLIDAIRE
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Lire le communiqué : Communiqué de presse soirée théâtre Illam
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Lors de l'assemblée générale de la Chambre de Matiers de l'Aveyron, sa présidente ne s'est pas contentée de rappeler devant le président national que l'artisanat est l'incarnation de l'excellence, elle l'a démontré par le bilan de son action, les prix Stars et Métiers attribués à trois entreprises et la remise de sa Légion d'honneur.
« C’est bien l’excellence des savoir-faire, des réalisations, des innovations, qui préside à nos travaux, et celle qui est la nature même de l’artisanat, et de la préoccupation permanente de nos entreprises artisanales, et que nous n’avons de cesse d’insuffler au sein de la CMA 12. » Ainsi Christine Sahuet fixe-t-elle le cap de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat (CMA) de l'Aveyron. Elle l'a redit lors de l'assemblée générale de la chambre consulaire, en présence d'Alain Griset, président de l'assemblée permanente des CMA, venu aussi en Aveyron pour remettre à sa collègue l'insigne de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur.
Au-delà des divers rapports d'activité statutaires, qui démontre que la CMA de l'Aveyron s'est engagée avec succès dans un vaste chantier de modernisation et de rapprochement avec les artisans du territoire, cette assemblée générale a aussi mis en lumière le dynamisme des entreprises artisanales. Trois d'entre elles ont, en effet, été récompensées par le prix Stars et Métiers, créé en partenariat avec la Banque Populaire Occitane. Les trois entreprises lauréates sont : la Compagnie des Elfes, l'Artisan du Fruit et la Sellerie Gaston Mercier.
Créée en 2006 par Laurence Lacombe et Anne Enjalbert, la Compagnie des Elfes conçoit et réalise des décors originaux et personnalisés à une entreprise ou un évènement.
Fabriqués de manière artisanale localement, les décors contemporains imaginés sont réalisés en bois en 3 D. Le process et les dessins sont déposés auprès de l’INPI.
Outre la qualité de la conception des décors, l’utilisation de la 3 D permet un stockage et un rangement facilités des décors. Les deux passionnées de décoration sont récompensées aujourd’hui pour leur dynamisme et leur créativité.
www.compagniedeselfes.fr
Créé à Rodez en 2006 par Bernard Salinier, l'atelier l’Artisan du Fruit se développe et ouvre un atelier de production en 2014. Recettes gourmandes ou diététiques autour du fruit et du végétal, le fruit est décliné sous toutes ses formes par Bernard Salinier, qui a fait ses armes de cuisinier pâtissier dans différents établissements, en veillant à transmettre son savoir faire.
A ce titre, il est récompensé du titre de Maître d’Apprentissage de Midi Pyrénées en 2005.
Bernard Salinier est honoré du Prix Stars & Métiers 2015 dans la catégorie « Dynamique commerciale ».
Il intervient à tous les niveaux de l’achat ou la cueillette des fruits, la fabrication des produits jusqu’à la livraison.
www.artisandufruit.com
La sellerie familiale créée en 1970 par Gaston Mercier a été reprise par Manuel, son fils, en 2000. Spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de selles et accessoires pour l’équitation, l’entreprise se caractérise par sa capacité d’innovation dans un secteur traditionnel. Plusieurs modèles d’étriers ont été déposés auprès de l’INPI. Dans une quête d’innovation permanente, l’entreprise travaille aujourd’hui sur une nouvelle selle de cheval pour optimiser l’équilibre du couple cavalier/cheval (recul de la selle sur la 13° dorsale) en intégrant de nouveaux matériaux en composite modulable.
L’entreprise diffuse ces produits auprès d’une clientèle de particuliers exigeants (90 %) sur un marché national 75 %, international 20 % et régional 5 %. L’entreprise est récompensée aujourd’hui pour sa stratégie globale d’innovation dans un marché de « niche ».
www.gaston-mercier.com
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Les Dirigeants Commerciaux de France (DCF) de l'Aveyron ont profité d'une soirée exceptionnelle et très conviviale pour célébrer le 25e anniversaire de leur association départementale et pour mettre en lumière les succès de quatre entreprises aveyronnaises.
Pour cette soirée anniversaire organisée au Golf du Grand Rodez en présence de nombreux invités de marque (député, président du Conseil départemental, maire d'Onet-Le-Château, adjointe au maire de Rodez, président de la CCI...), les DCF s'étaient aussi offert la présence d'André Valadier, venu présenter sa vision de la performance commerciale, à travers l'expérience particulière de la coopérative fromagère Jeune Montagne. Le « professeur » Valadier, passionné comme au premier jour, n'a eu aucune peine à captiver son auditoire.
Est ensuite venu le temps, pour les DCF, de remettre quatre Trophées de la Performance Commerciale à quatre entreprises modestes par la taille, mais exemplaires par leur dynamisme et leur inventivité. Jimmy Hantz, le jeune patron de Vias Alu à Laissac, a reçu le trophée de la performance globale pour avoir eu l'audace de spécialiser son entreprise dans la fabrication d'un seul type de produit, la véranda aluminium, et d'avoir conçu un double réseau de distribution avec, d'une part, la conception et la vente directe aux particuliers et, d'autre part, la fourniture de vérandas pour les professionnels du bâtiments, distributeurs de matériaux et artisans. Grâce à ce réseau de distributeurs, Vias Alu élargit son marché à tout le pays et plus seulement au sud-ouest de la France.
Benoît Sabrié-Fabre, au nom de CMF à Cassuéjouls, a reçu le trophée de l'export. Le spécialiste du coffrage bois, dont le savoir-faire est recherché par tous les grands groupes internationaux du BTP, réussit régulièrement à s'imposer sur de grands chantiers à travers le monde : DOM, Afrique, Panama... CMF continue à vendre son expertise un peu partout et vise maintenant des chantiers au Moyen Orient.
Autre entreprise du Nord-Aveyron, la coutellerie d'Albrac à Laguiole a elle aussi reçu un trophée pour son utilisation d'internet et des réseaux sociaux dans sa démarche commerciale. Nicolas Julvé a expliqué comment, grâce à Facebook ou à Twitter, des dizaines de milliers de personnes étaient informées de l'arrivée de nouveaux produits et comment cette multitude invisible contribue à asseoir l'image de la marque en particulier et celle du couteau de Laguiole en général.
Enfin, Frédéric Boissière a reçu un trophée pour ses méthodes de management au sein de l'entreprise familiale de fabrication de maisons à ossature bois. Grâce à l'intéressement de ses salariés, à leur implication et à la recherche permanente de leur bien-être au travail, l'entreprise Boissière vole de succès en succès avec ses maisons à ossature bois haut de gamme, à très hautes performances énergétiques et environnementales. Depuis Saint-Beauzély, l'entreprise Boissière nourrit de nombreux et ambitieux projets, sur le marché national et international.
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Concepteur de sites internet et développeur de logiciels de gestion pour les entreprises, Linov a aussi mis au point un produit inédit au service des collectivités : la réservation en ligne des équipements publics.
« Tout au long de mon expérience professionnelle, expliqueVincent Laury, j'ai été amené à faire deux constats, dans le domaine de l'offre de logiciels de gestion pour les professionnels : soit on ne trouve pas le programme adapté à un besoin particulier, soit l'offre standard est surdimensionnée par rapport à ses besoins et on n'en utilise qu'une infime partie. Nous avons donc décidé soit de créer ce qui manque, soit de simplifier ce qui existe. »
Telle est le positionnement de Linov, petite entreprise créé par Vincent Laury, à La Loubière, aux portes de Rodez. Linov conçoit des sites internet pour les professionnels et les collectivités. A partir d'une vingtaine de modèles thématiques (pour l'optimisation des coûts) et personnalisables, Linov propose des sites vitrines ou marchands, simples d'utilisation, modifiables à volonté et adaptés aux tablettes et smartphones.
Linov développe également une gamme de logiciels adaptés aux besoins des entreprises, des commerces et des collectivités. Pour ces dernières, en particulier, Linov vient de mettre sur le marché un logiciel de pré-réservation d'équipements publics pour les mairies et établissements de coopération intercommunale. Combien de salles des fêtes vides en basse saison ? Combien de salles de réunion inoccupées ? Combien de chapiteaux en attente d'être montés ? Combien de sonos muettes ? Le logiciel LC Salle permet de donner de la visibilité à tous ces équipements publics et aux particuliers ou entreprises d'en profiter pour les louer. Le programme s'installe sur le site internet de la collectivité, sous la forme d'un bouton et les personnes intéressées peuvent voir en ligne les images et les données techniques de l'équipement avant de le réserver. La collectivité valide ensuite la réservation, établit le contrat puis la facturation. « C'est le meilleur moyen de rentabiliser des équipements publics qui coûtent à la collectivité », résume Vincent Laury.
Linov propose également un système similaire pour la réservation des tables de restaurant en ligne.
Par ailleurs, l'entreprise de Vincent Laury développe toute une gamme de logiciels de gestion simples d'utilisation et adaptés aux petites entreprises : devis et facturation, caisse, relations clients, pointeuse horaire, gestion du parc automobile...
En savoir plus : www.lc-gestion.fr
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Le cabinet conseil de Pascal Plantier profite de son indépendance par rapport aux fournisseurs de produits financiers et de sa proximité avec ses clients pour préconiser les solutions patrimoniales les plus adaptées à chaque situation, dans le respect de la réglementation.
« Le socle de mon métier, c'est d'abord écoute et empathie, explique Pascal Plantier, qui a créé Lybellis en 2003. Je prends le temps nécessaire pour étudier la situation personnelle de chaque client, avant d'établir un diagnostic qui révèle les manques ou les besoins en matière de protection, de placement, de fiscalité, de succession... A partir de là, je préconise un traitement générique. Ce n'est qu'ensuite que je peux, à sa demande, lui fournir tel ou tel type de produits financiers. » En la matière, le statut de professionnel indépendant de Pascal Plantier lui permet d'accéder à un vaste choix de solutions. « J'ai compté que je travaille avec une soixantaine de fournisseurs différents, que je considère, pour la plupart, comme des partenaires, explique le conseiller en patrimoine. Je les choisis pour la qualité de leurs produits et non pour la rémunération qu'ils peuvent m'offrir. »
Outre le diagnostic établi à un moment donné, Pascal Plantier peut aussi proposer une prestation à long terme, « pour rester en phase avec l'évolution de la réglementation, des produits et de la situation personnelle du client. »
Fort de ces singularités, le cabinet Lybellis propose un conseil, un accompagnement et une offre sur mesure. Pour les particuliers (70% de sa clientèle), Pascal Plantier peut intervenir sur le régime matrimonial, l'assurance vie, les plans d'épargne en actions, les comptes titres, l'épargne, le montage d'une SCI, la fiscalité, la prévoyance, la retraite, la transmission et les donations. Lybellis peut aussi proposer des investissements dans les grands vins, la vigne, la forêt, le foncier aux USA. Pascal Plantier conseille également les professionnels dans le choix d'un statut, l'optimisation de la rémunération, la protection sociale des salariés comme du chef d'entreprise, l'épargne salariale, la retraite, la fiscalité des entreprises, le placement de la trésorerie, la transmission de l'entreprise...
« Dans le cas de dossiers très spécifiques ou très complexes, je peux faire appels à une expertise extérieure grâce au groupement de conseillers en gestion de patrimoine indépendants dont je suis adhérent, Sérénalys, et qui me donne également accès à certains produits auxquels un indépendant isolé ne pourrait prétendre. »
Lybellis est aussi en capacité d'apporter un conseil en protection du patrimoine des personnes vulnérables, qui font l'objet d'une protection juridique, en situation de handicap ou de dépendance.
Au-delà des produits qu'il peut proposer, des certifications qui garantissent son professionnalisme et des contrôles réguliers dont sa profession fait l'objet, Pascal Plantier insiste : « La relation avec un conseiller indépendant est d'une autre nature et d'une autre qualité que celle avec le conseiller lié à un établissement. Cette relation s'installe dans la durée et l'on a toujours affaire avec la même personne. »
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Lire le communiqué : HOP! BIODIVERSITÉ une association pour un transport aérien mieux intégré à son environnement
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On vient de l'apprendre, M.POKORA vient de confirmer sa présence sur scène le vendredi 3 juillet à Villefranche de Rouergue pour le 10ème Gala "Tout le monde chante contre le cancer" !
Alors qu'il fait une tournée triomphante partout en France, qu'il remplit les Zéniths et même le Palais omnisports de Bercy à Paris cet automne, M. POKORA a tenu personnellement à être de la fête, lui l'Ange Gardien si fidèle à l'association.
Il a réservé sa soirée exclusivement pour fêter cet anniversaire auprès des enfants invités d'honneur de l'association, avec tous les bénévoles et avec tout le public fidèle !
Nul doute que les places vont partir très vite, alors un conseil : foncez à l'office de tourisme de Villefranche-de-Rouergue ou sur le site www.toutlemondechante.net pour réserver vos places… merci à cet artiste si généreux, si fidèle, de venir gracieusement et bénévolement soutenir cette si noble cause.
Depuis des années, aux côtés de "Tout le monde chante contre le cancer", il réalise des rêves d'enfants malades, il accueille lors de tous ses spectacles des centaines d'enfants et de famille soutenus par l'association, il nous avait même offert une surprise grandeur nature, souvenez-vous, dans un avion reliant Paris à Rodez, en improvisant un concert en plein ciel pour réaliser le rêve d'une petite fille !
Sur scène, M. POKORA vous réserve un show incroyable, des surprises et une ambiance de folie... aux côtés de dizaines d'autres artistes ! Places à partir de 17 euros !
"Tout le monde chante contre le cancer", c'est plus de 50 artistes réunis sur scène pour chanter bénévolement contre le cancer les vendredi 3 et samedi 4 juillet !
Chanteurs, comédiens, animateurs, sportifs, tous se mobilisent à Villefranche de Rouergue pour offrir deux concerts exceptionnels, rassemblant plus de 15 000 spectateurs aux invités d’honneur de l’association, les enfants malades et leur famille !
Une programmation prometteuse vous attend :
Vendredi 3 juillet
- M.POKORA
- Michel Fugain & Pluribus
- Tina Arena
- Marina Kaye
- Julie Zenatti
- Anaïs Delva, « La Reine des Neiges »
- Les candidats de The Voice 4
- Amaury Vassili
- Damien Sargue
- Les comédiens de Plus Belle La Vie
- Christelle Chollet
- Frédéric Lopez
- Christophe Beaugrand
- Jérôme Anthony
- Marc Emmanuel
- Karima & Hedia Charni
- Sandra Lou
Samedi 4 juillet
- Fréro Delavega
- Daniel Guichard
- La Compagnie Créole
- Tina Arena
- Amaury Vassili
- Les candidats de The Voice 4
- Damien Sargue
- Luce
- Les comédiens de Plus Belle La Vie
- Jérôme Anthony
- Marc Emmanuel
- Karima & Hedia Charni
- Sandra Lou
Les Galas en quelques chiffres :
- 2 soirées de concert avec une programmation différente chaque soir;
- 10 000 à 15 000 spectateurs présents chaque année;
- plus de 3h de show pour chaque concert;
- 650 bénévoles mobilisés;
- des centaines d’enfants malades et leur famille invités d’honneur;
- des places à partir de 17€, qui financent directement la lutte contre le cancer.
Comment réserver vos places ?
Pour réserver, rien de plus simple : Sur le site Internet de l’association www.toutlemondechante.net : simple, rapide et sécurisé et à l’office de tourisme de Villefranche de Rouergue.
Les tarifs :
- Place debout : à partir de 17 €
- Place assise numérotée en gradins : à partir de 27 €
- Place privilégiée en carré or (chaise devant la scène) : à partir de 45 €
- Pack VIP (accès au cocktail VIP, visite des coulisses, dîner au restaurant VIP, place privilégiées en carré or) : à partir de 120 €
Pour plus d'informations sur l'association, rendez-vous sur le site Internet de l'association : www.toutlemondechante.net
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La première journée de la Mobilité Verte se tient à Rodez, le 25 juin, sous l'égide d'EDF, du Commissariat général à l'égalité des territoires, du Grand Rodez, du groupe La Poste, de la Chambre de commerce et de la Chambre de métiers.
Cette journée a pour objectif d'informer les entreprises et les institutions aveyronnaises de la viabilité des solutions de mobilité non carbonée (véhicules électriques, véhicules hydrogène, etc...). Elle doit également permettre de donner des perspectives sur les technologies et les modes d'organisation de la mobilité de demain. La mobilité décarbonée est au cœur des enjeux énergétiques de demain. « C'est aussi bon pour la balance commerciale car on peut produire localement de l'hydrogène consommé localement, ajoute Alain Picasso, directeur de l'agence EDF Une Rivière Un Territoire Développement. De plus, l'hydrogène est une source d'énergie dont le prix n'est pas soumis aux aléas géopolitiques. »
Les transports représentent 27% de la consommation mondiale d'énergie et sont responsables de 23% des émissions de CO2. Cette journée de la Mobilité Verte en Aveyron est ainsi née de la volonté de démontrer que des solutions alternatives existent et que la fédération des acteurs locaux peut contribuer à l'émergence d'actions vertueuses.
Parmi les exemples valorisés lors de cette journée, les véhicules électriques mais également les solutions complémentaires autour du gaz hydrogène, qui apparaît aujourd'hui comme une solution efficace pour élargir les possibilités en gamme et autonomie des véhicules électriques. Cette démarche est déjà largement explorée en Aveyron puisque EDF, l'institut de recherche Eifer et l'entreprise Braley ont lancé un projet de mobilité hydrogène. Il s'agit de produire localement de l'hydrogène par électrolyse de l'eau, hydrogène qui serait distribué par une station-service installée dans le Grand Rodez pour une flotte de véhicules utilisés par des entreprises et collectivités partenaires. Le coût d'utilisation de cet hydrogène serait similaire à celui du gazole, les émissions de gaz et de particules en moins.
La journée de la Mobilité Verte s'articulera autour de conférences dédiées aux professionnels (sur inscription) le matin et de démonstrations et d'essais de véhicules l'après-midi.
Inscriptions obligatoires sur http://rodez.developpement-edf.com
Cet article La Mobilité Verte est en marche en Aveyron est apparu en premier sur Media12.
Installé dans la zone commerciale des Moutiers, le magasin propose une invraisemblable diversité de produits de marque, en provenance de liquidations, saisies, fins de séries et autres aubaines pour les clients qui ont la curiosité de pousser la porte.
Le Dénicheur, c'est une enseigne indépendante de solderie et deux magasins, l'un à Narbonne et un autre à Rodez, créé en 2007 et aujourd'hui installé sur 600 m2 dans le parc commercial des Moutiers. Clément Cransac y vend toutes sortes de produits, depuis le matériel professionnel jusqu'à la confiserie, en passant par les meubles ou les cosmétiques, l'électroménager, les vêtements ou le vin. Le tout à des prix très nettement plus bas que dans le circuit des commerces traditionnels (jusqu'à -75%). L'approvisionnement des magasins, aléatoire, est fonction de la nature des lots que trouve le commerçant. Il s'agit de fins de séries, de lots ayant subit une avarie de transport, de stocks provenant d'une liquidation ou d'une opération de déstockage, d'une annulation de commande, d'une date limite d'utilisation optimale trop courte... Clément Cransac travaille en liaison avec un réseau de fabricants, transporteurs, salles de ventes dans toute la France.
« J'ai toujours aimé vendre et acheter, justifie-t-il. On achète des palettes entières, voire des camions pleins sans voir la marchandise. Il faut avoir un sens particulier pour pouvoir en faire une bonne estimation. Il m'est arrivé, un jour, de trouver un carton de Chateau Latour, un premier grand crû classé de Pauillac, qui avait été glissé par erreur dans un lot de toner pour imprimantes. » Une fois livré, le commerçant doit également faire preuve d'une certaine expérience pour mettre en avant, dans le magasin, des produits aussi disparates que possible. « Il faut pouvoir être réactif pour reconsidérer la présentation des produits en fonction de la surface disponible, de l'estimation du temps nécessaire pour écouler le stock... » Dans le cas de produits spécifiques, de matériels professionnels ou de gros volumes, Clément Cransac utilise aussi le web (E-Bay, Le Bon Coin) et les réseaux sociaux (Facebook) pour écouler sa marchandise. Le Dénicheur, pour se différencier d'autres soldeurs, a fait le choix de ne pas vendre des produits de piètre qualité, fabriqués spécialement en Asie. La grande majorité de ce qu'il propose à la vente sont des produits de marque.
« En ce moment, j'ai cinq semi-remorques de tables et meubles en bois et fer forgé, provenant d'une usine qui a fermé, annonce-t-il. Dans quelques semaines ce sera autre chose. La bonne méthode, pour faire des affaires chez moi, c'est de venir faire un tour toutes les deux semaines. »
Depuis son installation aux Moutiers, le Dénicheur profite de la proximité des autres enseignes qui l'entourent. « Et puis il y a la rocade avec ses 30 000 voitures qui passent chaue jour devant le magasin », se réjouit Clément Cransac. Le magasin de Rodez est placé sous la responsabilité d'Estelle Geffroy, manager, épaulée par les vendeurs Olivier et Samuel. Clément Cransac, lui, gère les deux magasins de Rodez et Narbonne, dont il assure, en particulier, tous les achats.
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La pépinière d'entreprises Grand Rodez Développement accompagne depuis vingt ans les porteurs de projets de création d'entreprise, augmentant sensiblement leurs chances de survie, voire de succès à l'âge de la maturité.
Depuis 1997, soit l'année de son agrément, quarante-cinq entreprises sont nées et se sont développées à la pépinière d'entreprise du Grand Rodez. La grande majorité de ces jeunes pousses ont aujourd'hui pris racines économiques sur le territoire de l'agglomération et y ont créé un total de 147 emplois. Quelques unes d'entre elles connaissent des succès exemplaires, telles Innovep qui fabrique et commercialise des véhicules électriques pour l'industrie, Syrès Télécom, installateur en téléphonie et réseaux de télécom, Saveurs, qui prépare et commercialise des produits surgelés à base de veau ou encore Charles s'en charge, un pionnier du service à domicile. « Dans certains cas, l'intervention de la pépinière a été essentielle, voire nécessaire », assure-t-on à la communauté d'agglomération. La pépinière, bien qu'un peu excentrée dans la zone d'Arsac, crée un écosystème particulièrement favorable au développement des entreprises, grâce à l'échange d'expérience, au soutien mutuel et à la mise en réseau qu'elle génère naturellement.
Ainsi, la pépinière d'entreprise du Grand Rodez accompagne-t-elle les créateurs d'activité, depuis la conception du projet et les études de marché préalables jusqu'à son développement, en passant par sa création et son hébergement. La pépinière propose une expertise, un immobilier fonctionnel, des services mutualisés (secrétariat et accueil téléphonique, internet à haut débit, information, formation, gestion courrier, reprographie, salle de réunion équipée, bases documentaires), un accompagnement individuel et collectif des porteurs de projets et entreprises. L’offre de locaux comprend 9 bureaux de 15 à 35 m² et 4 ateliers de 110 à 148 m². Les porteurs de projet peuvent prétendre aux services de la pépinière pour une durée limitée à deux fois 23 mois. Passé cette période, elles rejoignent une zone d'activité ou s'installent dans le parc privé de locaux professionnels. « Quand nous accueillons une entreprise en devenir, nous demandons en contrepartie qu'elle s'installe ensuite sur le territoire de l'agglomération », précise-t-on au Grand Rodez.
La pépinière Grand Rodez Développement est membre du Réseau régional Midi-Pyrénées des pépinières d’entreprises. L’appartenance au réseau bénéficie aux entreprises résidentes, en leur permettant de participer à des salons régionaux, nationaux grâce à des stands collectifs, de participer aux conventions d’affaires organisées par le réseau ou les réseaux voisins.
La pépinière abrite actuellement dix entreprises : Cotratech (bureau d'études de maîtrise d'oeuvre du bâtiment pour professionnels et particuliers), 12&Nous (recherche et développement de produits de terroirs innovants), Solutio2 (agence de développement commercial), Abahia (drones et applications techniques de l'image aérienne), BV Conseil (bureau d'études environnementales), TAP Concept (études et fabrication d'équipements pour personnes handicapées), Protech System (étude, réalisation et maintenance de systèmes de surveillance), Le Trône (toilettes sèches écologiques), Terres Fromagères (commercialisation sur les marchés de fromages de pays), AVMB (installation et maintenance de blanchisseries collectives), SOMAS (maintenance d'ascenseurs et monte-charges).
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Entretien avec Jean-Philippe Sadoul, 2e vice-président de la communauté d'agglomération, chargé du développement économique, de l'investissement, de l'aménagement et de la politique contractuelle.
Quelle place le développement économique occupe-t-il dans l'action du Grand Rodez ?
Jean-Philippe Sadoul : C'est le premier des enjeux stratégiques de l'agglomération.
Quelle est la partie la plus visible de cette action ?
C'est la création, l'extension et l'entretien des parcs d'activités. L'agglomération en compte aujourd'hui une dizaine, chacune ayant une vocation particulière : Cantarane pour l'industrie et le commerce de gros, Bel Air, Malan-Gazet, Naujac pour l'artisanat et l'industrie, Arsac pour l'agroalimentaire, Montvert pour l'artisanat et la petite logistique, le Comtal et les Balquières pour le commerce, La Gineste pour le tertiaire. La collectivité a investi 12 M€ dans leur entretien et leur rénovation, comme à Cantarane et à Bel Air, et 20 M€ dans l'extension des parcs existants ou la création de nouveaux espaces. Montvert, La Gineste, le Comtal Nord ou le pôle auto sont des créations ; Bel Air, Naujac, Malan-Gazet et Arsac ont été étendus. Les parcs de Cantarane et de Bel Airt sont classés d'intérêt régional.
La collectivité bénéficie-t-elle d'un retour sur investissement avec ces parcs d'activité ?
La vente de terrains a rapporté environ 14 M€ à la collectivité, mais nous ne vendons pas du terrain pour vendre du terrain. C'est une politique volontariste qui a des effets plus larges que cela. Pour un terrain vendu 100 euros, l'entreprise qui s'y installe investit 450 euros. Les 18 dernières entreprises arrivées ont dépensé au total 30M€ pour leur installation. Tout cela va à l'économie locale, apporte de l'activité au BTP et dynamise le résidentiel. Au cours des huit dernières années, les entreprises présentes sur les parcs d'activité de l'agglomération ont aussi créé 8000 emplois. C'est à ce genre d'indicateur que l'on peut mesurer l'impact d'une politique.
Le Grand Rodez dispose-t-il encore de réserves foncières ?
Grâce à une politique tarifaire adaptée, qui prévoit des prix au mètre carré différents selon l'activité et la situation géographique, la collectivité commercialise les parcs d'activité au rythme moyen de 4,5 hectares chaque année et il nous reste aujourd'hui une quinzaine d'hectares disponibles ; cela représente environ 4 ans de réserve.
Les parcs d'activités constituent-ils la seule action économique du Grand Rodez ?
Non, bien sûr. Les entreprises peuvent aussi prétendre à diverses aides : prêts d’honneur à 0% de la plateforme Initiative Aveyron, dispositif NACRE, Fonds de Garantie pour l'Initiative des Femmes, exonérations ZRR suivant zonage et localisation sur le Grand Rodez... De plus, la collectivité a créé un fonds d'intervention économique qui se concrétise sous forme de subventions ou avances remboursables pour l'immobilier, l'outil de production ou la R&D. Nous pouvons apporter jusqu'à 100 000 euros, contre l'engagement écrit de créations d'emplois.
D'autres formes de soutien moins direct à l'économie ?
Par son adhésion à trois pôles de compétitivité (Agrimip Innovation Sud Ouest, Aerospace Valley et Cancer Bio Santé), la collectivité soutien l'innovation et la recherche. A travers Agrimip, le Grand Rodez aide plusieurs projets : Oléosol (développement des cultures et utilisation des oléagineux), Innov'Herba (semences fourragères adaptées au changement climatique), Roquefort'in (méthodes d'élevage et sélection des ovins lait)...
Cet article L’économie, premier enjeu stratégique du Grand Rodez est apparu en premier sur Media12.
A partir du 6 juillet, la concession BMW et Mini de Rodez va déménager dans de nouveaux locaux plus vastes, plus pratiques, plus accueillants et, surtout, plus en adéquation avec l'image de ces deux marques automobiles.
Les show-rooms, l'atelier, le magasin, les véhicules d'occasion et les services administratifs... Toute la concession Escat Rodez va déménager en un lieu unique, à quelques centaines de mètres de ses deux sites actuels, dans la nouvelle extension du parc d'activités de Bel-Air. Les nouveaux locaux de 2000 m2, plus vastes, plus modernes, plus lumineux et plus accessibles, permettront de rassembler toutes les activités de l'entreprise et de mieux mettre en valeur les modèles des gammes BMW et Mini. Les dix-neuf personnes de la concession pourront en outre travailler dans de meilleures conditions pour un meilleur accueil des clients.
A l'occasion de l'ouverture de la nouvelle concession, les équipes d'Escat proposeront des offres exceptionnelles sur le stock de voitures neuves des deux marques. Ce sera aussi l'occasion de découvrir le Grand Tourer, le monospace compact 7 places de BMW, présenté le 4 juin, ou encore les futurs modèles de la série 3 (qui fête ses quarante ans), ceux de la série 7 ainsi que le nouveau X1 et, chez Mini, le nouveau Clubman, qui seront présentés à partir du mois d'octobre.
Jean-François Escat est concessionnaire de la marque BMW à Rodez depuis 1989. La marque Mini est arrivée en 2009. Une concession réunissant toutes les activités BMW et Mini a été ouverte en 2012 à Albi.
La nouvelle adresse : 556, rue des Enlumineurs, 12850 Onet-le-Château (nouvelle Zone Artisanale de Bel-Air).
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Née sous la forme d'une coopérative, travaillant dans une éthique éco-solidaire, TAP Concept comble les innombrables manques en matériels spécifiques pour les personnes handicapées.
C'est une entreprise originale qui est en train de grandir à l'abri de la pépinière d'entreprises du Grand Rodez. TAP Concept (comme Technologie d'Aide à la Personne) est née en octobre 2014 sous la forme d'une SCOP et a pour métier de concevoir, développer et fabriquer des produits innovant à destination des personnes handicapées. « L'idée est née à partir du constat que l'offre de produits pour le monde du handicap est constituée d'une gamme généraliste, alors que chaque handicap a ses spécificités et ses besoins propres, explique Cédric Grelon, patron de la SCOP. TAP Concept adapte les produits existants aux différents handicaps ou crée de nouveaux produits pour répondre à des besoins qui n'étaient pas pourvus jusqu'alors. » De plus, prenant le contre-pied des habitudes du marché, TAP Concept fait le choix de produire à des coûts raisonnables pour un prix de vente raisonné. « Chez nous, un bac + 5 qui fait de la R&D acceptera aussi de consacrer une partie de son temps à la finition d'un produit », explique Cédric Grelon. Par ailleurs, afin de rentabiliser le robot 6 axes qu'elle vient d'acquérir, l'entreprise propose aux industriels des prestations d'usinage de mousses, résines, bois, ainsi que le thermoformage de pièces de plastique ou la sublimation (l'insertion) d'images inaltérables dans des supports plastiques.
L'équipe de TAP Concept (bientôt six personnes) travaille en étroite relation avec les orthoprothésistes, kinés, ergothérapeutes et une multitude de partenaires industriels qui agglomèrent leurs compétences à celles de la SCOP afin de produire des matériels très spécifiques et parfois très complexes. « Nous ne sommes que six mais, avec nos partenaires, ce sont une trentaine de personnes qui travaillent sur nos produits », précise Cédric Grelon.
A ce jour, le produit phare de TAP Concept est un cocon multi-sports permettant à des personnes handicapées d'accéder à la pratique de différentes activités. A côté de ce produit standard, la SCOP développe des propositions plus spécifiques à la demande des personnes handicapées ou des professionnels du handicap : un siège pour quad, une selle pour équithérapie, un pédaleur sans électronique... « Nous pouvons concevoir aussi des éléments de cuisine articulés, des appareils contrôlés par la contraction musculaire, ajoute Cédric Grelon. Nous développons en ce moment un matelas spécifique pour le handicap, qui n'existe pas sur le marché, nous mettons au point un nouveau tissu à destination des orthoprothésistes... »
Positionné sur un marché européen, TAP Concept répond aussi bien aux besoins des établissements de soin que des professionnels du handicap et de la rééducation ou des particuliers. Outre l'activité de conception et de fabrication de matériels, la SCOP fait également du négoce de produits pour le monde du handicap.
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Innovation, recherche et développement, ou comment le laboratoire départemental remplit ses missions de services au public sur un marché concurrentiel, convoité par de nombreux laboratoires privés dont certains sont de dimension internationale .
Avec un million d'ovins, 450 000 bovins, la plus puissante industrie agroalimentaire de Midi-Pyrénées et un réseau hydrologique riche mais fragile, il y a déjà longtemps que ne pose plus la question de l'utilité d'Aveyron Labo dans le département. Le laboratoire d'analyse est aujourd'hui un formidable outil accrédité et multi-certifié au service de la santé animale, de l'agroalimentaire, de l'eau et de l'environnement. Fort d'un effectif de plus de 80 personnes, Aveyron Labo reçoit ou prélève chaque année quelque 450 000 échantillons en provenance du département et des départements voisins et effectue plus d'un million et demi d'analyses.
Dépistage, aide au diagnostic, suivi sanitaire des cheptels... La santé animale représente a elle seule la moitié de l'activité du laboratoire, qui répond aux grandes campagnes de protection de la santé animale et humaine obligatoires ou volontaires décidées par l'Etat ou les groupements professionnels d'éleveurs. L'activité santé animale fonctionne en trois pôles : la recherche des maladies à prion (ESB, tremblante du mouton...) ; la bactériologie vétérinaire, pour une aide au diagnostic ou l'autopsie d'animaux d'élevage autant que de la faune sauvage ; la sérologie et la biologie moléculaire pour la prophylaxie, l'aide au diagnostic, l'exportation ou l'importation d'animaux ; le génotypage.
« La biologie moléculaire et la génétique sont des techniques nouvelles que nous développons depuis quelques années et qui seront de plus en plus utilisées, explique Roland Brugidou, directeur d'Aveyron Labo. La biologie moléculaire nous permet d'aller chercher l'ADN ou l'ARN des bactéries pour affiner nos diagnostics ; c'est souvent exigé pour l'export des animaux vers certains pays. Quant à la génomique, elle nous permet de développer des outils d'aide à la sélection pour les filières d'élevage. Nous avons d'ailleurs créé une équipe de R&D qui travaille en particulier dans ce domaine-là. » Cette adaptation permanente aux techniques nouvelles, associée à une expertise historique, est la condition sine qua none de la pérennité d'Aveyron Labo, qui voit beaucoup de concurrents privés, dont de grands laboratoires européens, répondre aux appels d'offres. « Nous fonctionnons comme une entreprise privée, sur un marché très concurrentiel », résume le directeur.
L'agroalimentaire représente un quart de l'activité d'Aveyron Labo, au service des industriels ou des des abattoirs autant que des artisans. « Y compris les petits producteurs qui font de la vente directe », précise Roland Brugidou. Aveyron Labo fait la recherche et le dénombrement d'éventuels contaminants microbiologiques dans les produits destinés à l'alimentation humaine, que ce soit dans le cadre de contrôles officiels ou obligatoires ou d'auto-contrôles de production. « Nous pouvons aussi aider un industriel ou un artisan à valider une date limite de consommation de ses produits ; nous répondons aux besoins d'analyse chimique des aliments pour établir les étiquetages nutritionnels obligatoires ; nous faisons également, à la demande de l'Etat, la recherche de molécules interdites telles que les antibiotiques ou les hormones », ajoute le directeur d'Aveyron Labo.
Le laboratoire départemental, enfin, procède à l'analyse des eaux de consommation et de baignade : réseaux publics et privés d'eau potable, eaux des piscines et baignades, eaux des rivières, eaux souterraines à proximité d'installations classées, eaux usées de l'industrie et des stations d'épuration, eaux chaudes sanitaires, eaux thermales... Ces missions représentent 25% de l'activité du laboratoire.
Aveyron Labo, créé en 1967 par le Conseil général, est devenu en 2013 un Groupement d'Intérêt public (GIP) qui réunit le Conseil départemental, la Chambre d'agriculture, la FODSA, la fédération des coopératives agricoles et la fédération des négociants. Le GIP est présidé par Vincent Alazard, le conseiller départemental de Laguiole.
Savoir plus : www.aveyron-labo.com
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Installé dans la zone commerciale des Moutiers, le magasin propose une invraisemblable diversité de produits de marque, en provenance de liquidations, saisies, fins de séries et autres aubaines pour les clients qui ont la curiosité de pousser la porte.
Le Dénicheur, c'est une enseigne indépendante de solderie et deux magasins, l'un à Narbonne et un autre à Rodez, créé en 2007 et aujourd'hui installé sur 600 m2 dans le parc commercial des Moutiers. Clément Cransac y vend toutes sortes de produits, depuis le matériel professionnel jusqu'à la confiserie, en passant par les meubles ou les cosmétiques, l'électroménager, les vêtements ou le vin. Le tout à des prix très nettement plus bas que dans le circuit des commerces traditionnels (jusqu'à -75%). L'approvisionnement des magasins, aléatoire, est fonction de la nature des lots que trouve le commerçant. Il s'agit de fins de séries, de lots ayant subit une avarie de transport, de stocks provenant d'une liquidation ou d'une opération de déstockage, d'une annulation de commande, d'une date limite d'utilisation optimale trop courte... Clément Cransac travaille en liaison avec un réseau de fabricants, transporteurs, salles de ventes dans toute la France.
« J'ai toujours aimé vendre et acheter, justifie-t-il. On achète des palettes entières, voire des camions pleins sans voir la marchandise. Il faut avoir un sens particulier pour pouvoir en faire une bonne estimation. Il m'est arrivé, un jour, de trouver un carton de Chateau Latour, un premier grand crû classé de Pauillac, qui avait été glissé par erreur dans un lot de toner pour imprimantes. » Une fois livré, le commerçant doit également faire preuve d'une certaine expérience pour mettre en avant, dans le magasin, des produits aussi disparates que possible. « Il faut pouvoir être réactif pour reconsidérer la présentation des produits en fonction de la surface disponible, de l'estimation du temps nécessaire pour écouler le stock... » Dans le cas de produits spécifiques, de matériels professionnels ou de gros volumes, Clément Cransac utilise aussi le web (E-Bay, Le Bon Coin) et les réseaux sociaux (Facebook) pour écouler sa marchandise. Le Dénicheur, pour se différencier d'autres soldeurs, a fait le choix de ne pas vendre des produits de piètre qualité, fabriqués spécialement en Asie. La grande majorité de ce qu'il propose à la vente sont des produits de marque.
« En ce moment, j'ai cinq semi-remorques de tables et meubles en bois et fer forgé, provenant d'une usine qui a fermé, annonce-t-il. Dans quelques semaines ce sera autre chose. La bonne méthode, pour faire des affaires chez moi, c'est de venir faire un tour toutes les deux semaines. »
Depuis son installation aux Moutiers, le Dénicheur profite de la proximité des autres enseignes qui l'entourent. « Et puis il y a la rocade avec ses 30 000 voitures qui passent chaue jour devant le magasin », se réjouit Clément Cransac. Le magasin de Rodez est placé sous la responsabilité d'Estelle Geffroy, manager, épaulée par les vendeurs Olivier et Samuel. Clément Cransac, lui, gère les deux magasins de Rodez et Narbonne, dont il assure, en particulier, tous les achats.
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Pour accompagner la forte croissance de son activité, L'Artisan du Fruit s'est doté d'une nouvel atelier de fabrication à La Primaube et nourrit toujours d'ambitieux projets pour la diffusion de ses innombrables recettes à base de fruits et de végétaux.
Il y a encore, au-dessus de la porte, l'enseigne de la boulangerie qui l'a précédé. Mais ce sont bien des fruits que Bernard Salinier transforme ici, et non de la farine. L'Artisan du Fruit a établi son laboratoire dans ces locaux de l'avenue du Stade, à La Primaube, voilà quelques mois. Il dispose ainsi d'un outil de travail rationnel et suffisamment spacieux pour faire face au développement de son activité : +30% au cours du précédent exercice ! Bernard Salinier se demande même s'il a prévu assez grand : « C'est déjà plein », constate-t-il avec le sourire, tout en terminant la préparation de cerises de Millau au marc de Marcillac. « Une de nos recettes 100% aveyronnaises », glisse-t-il au passage.
Un laboratoire à La Primaube (« au cœur de l'Aveyron et à proximité des principaux accès routiers ») et la boutique rue de Corbières à Rodez. L'Artisan du Fruit poursuit allègrement son aventure professionnelle originale de transformation des fruits et végétaux en compotes, confitures, salades, sirops, sorbets, pommades et autres crèmes. La boutique de Rodez, débarrassée de la partie fabrication (seules y sont confectionnées les préparations de fruits frais), a pu être réorganisée et enrichie d'une nouvelle gamme de produits d'aide à la cuisine (des épices, parmi lesquelles une centaine de poivres différents) et d'huiles végétales. « Et nous développons beaucoup les produits frais, salades, jus, corbeilles, cocktails pour le quotidien et l'événementiel », ajoute Bernard Salinier.
Au-delà du nouvel atelier, l'Artisan du Fruit nourrit d'autres projets. Il est ainsi toujours à la recherche d'un lieu, à Rodez, qui lui permettra un jour d'aménager une grande boutique où l'on pourra déguster sur place autour d'une verrière où s'épanouira un petit verger exotique. Bernard Salinier pense même au-delà de Rodez. « Notre ambition est de devenir une référence à l'échelle de la région », dit-il.
Grâce à la pertinence de son projet et à son dynamisme, Bernard Salinier obtient régulièrement des récompenses (le dernier en date est le trophée Stars et Métiers) et le soutien de partenaires institutionnels. « Grâce à des structures comme Aveyron Initiative, qui m'a accordé des prêts d'honneur, je peux anticiper les besoins d'outils de production ou de recrutement, insiste-t-il. C'est, pour nous, un encouragement très important. »
L'Artisan du Fruit compte aujourd'hui un effectif de cinq personnes. La dernière recrue en date est une responsable qualité.
Savoir plus : www.artisandufruit.com
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