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Le soutien de la Région aux entreprises aveyronnaises

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La commission permanente de la Région Occitanie a voté une nouvelle série d'aides aux territoires, dont plusieurs subventions pour des entreprises et projets aveyronnais. L'agriculture et l'agro-alimentaire représentent le 1er secteur d'activité en Occitanie. La Région soutient ce pilier de la dynamique économique régionale et accompagne les agriculteurs dans le développement de leurs activités, via notamment le soutien à l'investissement ou encore l'aide à la conversion bio. 750 000€ sont attribués à la société CV Prod à Flagnac, pour la création d'une unité de fabrication d'aligot surgelé (en lien avec le développement de la machine Aligot Express) et près de 150 000€ pour le point de vente collectif « Saveurs paysannes » à Villefranche-de-Rouergue, pour l'aménagement et des investissements matériels. Avec le « Pass Elevage », la Région mobilise une enveloppe globale de près de 270 000€ pour 81 exploitations aveyronnaises. Par ailleurs, 7 exploitants agricoles sont soutenus dans leur projet de conversion à l'agriculture biologique avec le Pass Expertise Bio. Chef de file en matière de développement économique, la Région a déployé un nouveau panel d'interventions adaptées aux différentes étapes de développement des entreprises. Au titre du « Contrat croissance entreprise », des projets d'investissement matériel et immobilier sont soutenus. Ainsi, elle mobilise 45 000€ pour le programme de développement de l'Eurl Sud Rectif Meca à Aubin, comprenant notamment l'acquisition d'une nouvelle machine de tournage. Dans le cadre du « Contrat croissance proximité » la Région favorise également le développement d'entreprises de proximité (TPE-PME). A ce titre, elle mobilise près de 30 000€ pour l'accompagnement de l'entreprise Bouvet Moules et Injections située à Brusque. Elle attribue également plus de 400 000€ pour la réalisation d'un programme immobilier à la SAS Pattyn Bakery Division à Savignac et 90 000€ à la SCI Ejel à Salles-la-Source. 35 000€ sont consacrés la transformation d'une friche industrielle en espace de coworking à Millau, Ping Pong Cowork. Enfin, une subvention globale de 60 000€ a été votée, dans le cadre de l'appel à projets « Tiers Lieux Occitanie », avec la création d'espaces de travail partagés à Rodez, Arvieu et Vabres-l'Abbaye.

Le billet d’humeur de Manuel Cantos

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PROFESSION : CASSEURS Cette activité aujourd’hui en plein essor a-t-elle encore de beaux jours devant elle ? C’est un sujet très chaud même en plein hiver…mais la question mérite d’être posée ! Surfant sur le terrain fertile des manifestations, des hordes de voyous, de délinquants, de pillards, ne sachant que faire de leur journée d’oisiveté n’ont qu’un but aujourd’hui, détruire et anéantir tous les symboles de notre République. Ils attendent impatiemment l‘opportunité de voir programmer un nouveau rassemblement pour pouvoir l’intégrer et faire l’étalage de leur violence. Il ne reste plus qu’aux citoyens de constater les ravages, les scènes de désolation et les notes à payer car si impossible n’est pas français, imposable l’est, nos concitoyens le savent. Ces séismes volontairement provoqués sont inacceptables dans un pays démocratique. Dans ce contexte douloureux, nos forces de l’ordre auxquelles nous sommes très attachés peuvent-elles lutter ? Les ordres venus du plus haut niveau demandent de ne pas répondre aux provocations, de rester calmes et sereins, de subir et surtout « de ne pas faire des vagues ». Encaisser encore et encore ; leur quotidien n’est vraiment pas ensoleillé. Saluons leur courage, leur dévouement et leur mérite. Et notre économie dans ce contexte terriblement préoccupant ? Notre économie sans laquelle la vie n’est pas possible dans un pays. Nous pouvons craindre le pire ce jour, pour nos PME, PMI, TPE, transporteurs, commerçants et tous les porteurs d’une véritable valeur ajoutée d’un territoire dont certains ont un revenu inférieur à un SMIC. Avec les magasins désertés, décimés, saccagés, pillés, vitrines brisées leur moral est « dans les chaussettes ». Même si notre département est relativement épargné par les violences, il est malgré tout frappé durement dans son économie dans une période de pointe et de fêtes assurant souvent la survie de leur structure. Des actes forts aujourd‘hui de nos gouvernants, depuis trop longtemps atteints de cécité sont impératifs. Il est urgent de sauver nos entrepreneurs, géniteurs de richesse et de vie, garant de la sauvegarde de très nombreux emplois. Cette volonté de réussir qui les élève doit leur permettre de surmonter une fois encore les obstacles beaucoup trop nombreux paralysant notre société actuelle. Leur passion est plus forte que leur désarroi : pour vivre heureux, ils resteront entrepreneurs.   Manuel CANTOS Citoyen de la République

La Caisse d’Epargne au côté des associations

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Deux associations aveyronnaises qui œuvrent contre l'exclusion ont récemment reçu des aides financières du fonds Ecureuil et Solidarité de la Caisse d'Epargne. [caption id="attachment_10284" align="alignnone" width="540"] OLYMPUS DIGITAL CAMERA[/caption] La Caisse d'Epargne de Midi-Pyrénées continue de lutter contre toutes les formes d’exclusion et vient de remettre un chèque de 7 500 euros à l’Association Trait d’Union à Millau. Centre d’hébergement et de réadaptation sociale, l’association prend en charge des personnes en situation de grande précarité, d’exclusion lourde ou de handicap, avec la volonté de les accompagner vers l’autonomie. Dans ce cadre, elle entend créer une maison relais pour favoriser l’insertion de ses bénéficiaires par le logement et la santé. La dotation Ecureuil et Solidarité de la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées a participé à l’équipement de ce lieu d’accueil (mobilier, literie, électroménager, vaisselle…) composé de 17 appartements dont 5 thérapeutiques. Quelques semaine auparavant, la Caisse d'Epargne avait remis un chèque de 2 500 euros à l’Association Home Familial Saint-François, à Espalion. Structure d’hébergement temporaire et d’accompagnement, l’association prend en charge des personnes âgées dépendantes et des personnes handicapées résidant habituellement à leur domicile. Elle apporte ainsi son soutien aux familles et aux aidants en préservant le lien social de ces personnes dépendantes, notamment à travers des sorties. En 2017, le dispositif Ecureuil et Solidarité de  la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées a permis de distribuer près de 665 300 € de dons, pour soutenir les investissements liés à 102 projets portés par les associations de Midi-Pyrénées. Les sociétaires de la Caisse d’Epargne, qui constituent un réseau dynamique et de proximité dans les 8 départements de la région, participent à l’évaluation et à la sélection des projets subventionnés.

Un nouveau siège et beaucoup de projets pour l’Udsma

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L'entreprise mutualiste aveyronnaise de soins, de services et d'hospitalisation à domicile vient d'emménager dans un nouveau siège, parc de la Gineste à Rodez, pour plus d'efficacité, de confort, de visibilité et pour accompagner ses nombreux projets. Arrivée en fin de bail avec ViaSanté qui lui louait des locaux dans le centre de Rodez, l'Udsma Mutualité Française a fait le choix de faire construire un nouveau siège neuf, où quelque 70 salariés de l'entreprise ont récemment déménagé. Sur 1500 m2 répartis en trois niveaux, les services administratifs, le service d'hospitalisation à domicile et le centre de formation de l'Udsma sont désormais réunis dans un bâtiment neuf construit dans le parc d'activités de la Gineste. Le service de soins à domicile, pour garder une certaine proximité avec son public, a été installé au centre de Rodez, derrière la cathédrale. Fin décembre, le centre d'optique mutualiste de la place de l'Olmet va déménager rue Marie, dans une boutique plus petite mais plus conviviale, où seront présentés les derniers modèles design de montures et lunettes. Bref, l'Udsma prend ses aises pour gagner en efficacité et rendre de meilleurs services. Les nouveaux locaux de la Gineste, en particulier, vont accompagner le développement du centre E-santé formation qui, chaque année, forme aux métiers du social, du sanitaire et du médico-social, plusieurs centaines de stagiaires venant des hôpitaux, maisons de retraites, EHPAD et opérateurs de services à domicile de tout le département et des départements limitrophes. Par ailleurs, l'Udsma va également s'installer prochainement sur un autre site actuellement en construction dans l'extension du parc de la Gineste. Là seront logés les services de l'hospitalisation à domicile, un centre de santé infirmier, un centre de santé dentaire et un cabinet pour des professionnels de santé. Ce site favorisera la création de services polyvalents d'aide et de soins à domicile (SPASAD), dans le cadre d'une convention signée avec l'agence régionale de santé et le conseil départemental de l'Aveyron. « Notre volonté est, de plus en plus, de faire travailler ensemble, de manière horizontale, les services à domicile et les soins infirmiers, afin d'apporter un meilleur service, plus efficace et plus confortable, à nos utilisateurs », explique Pierre Gigarel, directeur général. L'Udsma aujourd'hui est l'une des principales entreprises sanitaires et médico-sociales sur le territoire de l'Aveyron. Elle emploie plus de 550 salariés, gère sept EHPAD, compte quatre sites de services à domicile, onze fauteuils dentaires, douze centres de soins, quatre centres d'audition, treize centres d'optique, un laboratoire de prothèses dentaires et un centre de formation.

L’art en 3 dimensions pour célébrer la fin de l’année

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Pour sa traditionnelle exposition de fin d'année, à la chapelle Saint-Joseph de Rodez, Alain Fabre invite un collectif de quatre sculpteurs du sud-Aveyron. Du 27 décembre au 3 janvier, comme il le fait chaque année, Alain Fabre expose ses dernières peintures à la chapelle Saint-Joseph, rue Sarrus à Rodez. Seront présentées une quarantaine de toiles produites au cours de l'année, reprenant les thèmes chers à l'artiste : les géométries agraires et les paysages, ainsi que les techniques qu'il développe depuis ses débuts : l'acrylique et les résines épaisses qui lui permettent de travailler la matière et les reliefs. Alain Fabre présentera également huit toiles qu'ils a réalisées à la manière de... Georges Mathieu, Jackson Pollock, Olivier Debré, Mark Rothko... « Des peintres contemporains de Pierre Soulages, explique Alain Fabre, qui ont eu une grande influence sur la peinture et dont j'essaie de démontrer, en peignant à leur manière qu'ils ont un style non seulement reconnaissable mais également une démarche très structurée, réfléchie et riche de sens, où le hasard n'a que très peu de place. » Comme à son habitude, le peintre ruthénois a aussi invité d'autres artistes à se joindre à son exposition. Cette année, il fait appel à l'Atelier 12 Figures, un collectif de quatre sculpteurs : Boris Alexis (bronze), Vivien Lacueille (pierre), Abel Reis (fer) et Bernard Voytier (bois). L'exposition est visible tous les jours, du 27 décembre au 3 janvier, de 15h à 19h. Entrée par la rue Sarrus. Savoir plus : www.agriart.fr et www.atelier12figures.unblog.fr

Quinze ans de Malice au profit des entreprises

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L'agence ruthénoise de marketing et de communication vient de célébrer son quinzième anniversaire dans une atmosphère de fête, en présence de 150 de ses clients. A 15 ans, l'agence Malice est une adolescente pleine de vie, « un peu rebelle, toujours prête pour de nouvelles découvertes, des rencontres », selon les mots de Maguy Chayriguès, associée à la tête de l'entreprise avec Laurie Maillé-Rigal et Marie Chamaillard. Une adolescente qui a déjà beaucoup fait pour de très nombreuses et belles entreprises de différents secteurs d'activité (agroalimentaire, cosmétique, industrie, collectivités, commerce...), en Aveyron comme à Paris. Créée en 2003 par Joël Chamaillard, avec pour principal client RAGT, l'agence s'est fait un nom aujourd'hui reconnu dans les domaines du marketing et de la communication. Employant 12 personnes (bientôt 13), l'agence est organisée en deux pôles : un pôle management de projets de communication et marketing, qui accompagne les clients à l'année dans leurs stratégies de développement ; un pôle création et infographie chargé de la réalisation de tous les outils nécessaires à un plan de communication (papier, web, audiovisuel, événement...). L'équipe de Malice est en capacité d'accompagner les entreprises dans le positionnement et territoire de marques, stratégie marketing, commerciale et communication, segmentation de l'offre, recommandation produits, plans d'actions opérationnels. Elle crée des concepts, des noms, des identités de marque sur tous supports. Elle gère les projets marketing et communication de ses clients. « Mais, avant tout, Malice est une agence qui pense à ses clients avant de penser à elle », précise Laurie Maillé-Rigal. C'est d'ailleurs là l'une des signatures de l'agence et la première raison de ses succès. « Comprendre les enjeux de nos clients, leurs marchés, leur vision, leur langage, leur ton, entretenir la proximité, l'ouverture, l'écoute, le respect... Etre pragmatiques... Tout cela est pour nous une évidence », poursuit-elle. Pour conforter cette position et cette manière d'être, Malice a également négocié le virage du digital et, pour ce faire, enrichit encore ses équipes de nouvelles compétences dans ce domaine. Savoir Plus : www.agencemalice.fr  

L’école des startups de Rodez accueille ses premiers « élèves »

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Sept projets vont bénéficier des conseils, de l'appui technique et des formations de la CCI Aveyron, dans le cadre de l'école des startups créée conjointement par Rodez Agglomération et la chambre consulaire. L'école des startups de Rodez vient de voir le jour, quelques instants après que ses deux fondateurs, la communauté d'agglomération de Rodez et la Chambre de commerce et d'industrie de l'Aveyron, ont signé la convention de partenariat qui les lie dans ce projet. Cette école, préfigurant le futur incubateur d'entreprises, est logée dans l'une des ailes de la CCI à Rodez. Elle a pour vocation d'assister les porteurs de projets d'activités innovantes, grâce aux conseils et formations que vont leur apporter les techniciens de la chambre consulaire. « L'agglomération a la compétence économique sur le territoire ; nous, nous avons la connaissance de l'entreprise », a synthétisé le président de la CCI. Les premiers « élèves » de cette école, qui vont bénéficier de douze semaines de pré-incubation, sont les cinq lauréats du premier startup challenge qui s'est déroulé en septembre dernier à Rodez, ainsi que deux dossiers retenus dans le cadre de l'appel à projets lancé par Rodez Agglomération. Il s'agit du projet RéALi (réalité virtuelle au service du tourisme) porté par Christophe Dupré et le cabinet Bois Géomètre ; de FreeGo (livraison de produits frais via un réseau communautaire) porté par Lucas Gélis, Franck Majorel et Ignacio Calvelo ; du chariot électrique passe-partout pour les artisans du bâtiment, conçu par Jonathan Naquin ; de Holotech (l'hologramme au service de la formation des médecins) porté par Mickaël Charhon ; de QI Energie (système de recharge automatique et sans fil de véhicules électriques) porté par Fabien Devilliers ; de Filet Garni (vente en ligne de produits locaux et promotion de producteurs artisanaux ) porté par Sandrine Cluzel ; de Mon super planner (agence d'événementiel pour entreprises et particuliers) porté par Anaïs Blanc. Christian Teyssèdre, le président de Rodez Agglomération, se réjouit de l'ouverture de l'école des startups et compte sur le futur incubateur pour faire éclore de nouvelles entreprises, dont il espère qu'elles auront des idées neuves, en particulier pour développer le tourisme en Aveyron et pour rendre l'habitat plus attrayant, deux sujets à ses yeux prioritaires pour le développement du territoire.    

Le Club des Epicuriens poursuit sa quête de saveurs

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Conformément à sa volonté de mettre en lumière la gastronomie et la culture aveyronnaises, l'association vient de couronner le fromage de vache Simmental, une création de Serge et Elodie Bordes, producteurs à Marcillac. Début décembre, le Club des Epicuriens de l'Aveyron a encore mis à l’honneur l'un de ces nombreux producteurs de saveurs que compte le territoire. En l'occurence, ce sont Serge et Elodie Bordes, de la ferme des Bouteillous à Marcillac, qui ont reçu un diplôme pour l'une de leurs créations : le Simmental, fromage de vache. Après la visite de l’atelier du Liadou, autre artisan méritant, le certificat fut remis par l’orateur Grand Epicurien Jean-Marc Lacombe et Christine Boudes, Grande Epicurienne, en présence des membres du Club des Epicuriens. Au fil des rencontres du club, les membres se font découvrir mutuellement des artisans, des producteurs, des créateurs, des artistes, des restaurateurs aveyronnais. Selon des critères très sérieux de qualité, de recherche, de tradition, de créativité, mais aussi de gentillesse, d’accueil, d’enthousiasme, de convivialité, les membres votent à bulletin secret pour déterminer s’ils accordent leur certificat d’excellence et leur macaron de vitrine à leurs nouvelles découvertes. Le club des Epicuriens de l'Aveyron a pour objectifs de sauvegarder, valoriser et favoriser le développement de la culture Aveyronnaise au travers des régions de France et de Navarre. Pour le club, la culture englobe les produits agro-alimentaires, l’art culinaire, les créations artistiques sous toutes ses formes, l’artisanat d’art, les traditions. Les membres du club des Epicuriens s’engagent donc à rechercher, tester, apprécier et faire connaître aux autres membres d’abord, au grand public ensuite, les producteurs, les restaurants, traiteurs, cuisiniers, les artisans, les artistes, les lieux, les évènements, liés à la culture aveyronnaise. Le club organise à cet effet, régulièrement, des agapes entre les membres, mais aussi parfois avec des sympathisants, pendant lesquelles les découvertes sont présentées, dégustées, analysées, évaluées.

Le Pacte régional pour une alimentation durable en Occitanie a été adopté

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Avec ce Pacte, la Région Occitanie est la 1ère à s'engager dans une transition alimentaire durable et ambitieuse. Il se concrétise dès 2019 au travers d'une dizaine de mesures inspirées par les résultats d'une concertation citoyenne. Fruit d'une large concertation qui a recueilli plus de 100 000 contributions, le « Pacte régional pour une alimentation durable en Occitanie » vient d'être adopté. C'était un engagement fort de la présidente de Région Carole Delga qui a fait de l'alimentation la « grande cause régionale ». Dès 2019 ce pacte entrera dans sa phase opérationnelle avec la mise en œuvre des 10 actions prioritaires identifiées par les habitants d'Occitanie.  Construit autour de 6 orientations stratégiques, et adopté pour les 5 prochaines années, le Pacte montera en puissance dès 2019 à travers le lancement de 10 actions phares issues des contributions citoyennes. Conformément aux résultats de la consultation citoyenne, un budget de 5M€ sera spécifiquement alloué à la mise en œuvre du Pacte. Les 10 premières actions Accompagner les agriculteurs vers des pratiques visant à diminuer l'utilisation de pesticides et de traitements phytosanitaires de synthèse à travers des contrats de transition agricole durable. Organiser les assises régionales de la distribution alimentaire (grandes et moyennes surfaces, grossistes) pour soutenir les producteurs locaux dans leur droit à une juste rémunération. Développer et soutenir de nouveaux réseaux de distribution (magasins de producteurs, marchés, criées, e-commerce) pour augmenter l'achat de produits locaux au juste prix. Créer une centrale régionale alimentaire de produits locaux, bio et de qualité en partenariat avec les initiatives existantes. Initier les jeunes au bien manger et à l'utilisation de produits locaux, de qualité et de saison, par des cours de cuisine et des activités pédagogiques telles que la création d'un foodtruck pédagogique. Valoriser et former les jeunes aux métiers de demain en agriculture, agroalimentaire et restauration en multipliant les rencontres avec les professionnels pour sensibiliser et susciter des vocations, et en s'appuyant sur les Cités des métiers et de l'orientation. Récompenser les initiatives exemplaires de lutte contre le gaspillage alimentaire et de réduction des emballages en allant vers l'objectif « Zéro plastique en resto'co ». Création d'un « Printemps de l'alimentation durable », manifestation citoyenne et festive autour de la question alimentaire. Favoriser le développement d'épiceries sociales, solidaires et ménagères et des initiatives d'accompagnement permettant à tous d'accéder à une alimentation de qualité. Accompagner financièrement la transition pour une meilleure prise en compte du bien-être animal, durant l'élevage, le transport et l'abattage des animaux.

Le T-Shirt Propre : du style et de l’éthique

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En deux ans, la jeune marque aveyronnaise Le T-shirt Propre a réussi le pari d'une gamme de vêtements de style, de qualité, durables et respectueux de l'environnement. Les consommateurs en redemandent. En un peu plus de deux ans d'existence, le T-Shirt Propre s'est immiscé dans de très nombreuses garde-robes partout en France. Rien qu'en 2018, pas loin de 20 000 pièces ont été vendues par la startup aveyronnaise de Fabien et Odile Burguière. Et sans pour autant mettre la planète sens dessus-dessous. Car le T-Shirt Propre est comme son nom l'indique : il ne salit pas. Dès 2015, Fabien Burguière s'est interrogé sur la difficulté de trouver des vêtements alliant tout à la fois style et éthique environnementale. Et, plutôt que de continuer à se poser la question, il a choisi d'apporter sa propre réponse en créant une marque respectueuse de l'environnement, utilisant des produits bio et cherchant les circuits de production les plus courts. Ainsi est né le T-Shirt Propre, qui parcours seulement 3000 km avant d'arriver dans la garde-robe de son propriétaire, au lieu des 48 000 km parcourus en moyenne par un modèle conventionnel de T-shirt, depuis le champ de coton jusqu'à la boutique du détaillant. Un T-Shirt Propre est fait de coton bio cultivé et filé en Grèce. A son arrivée en France, ce fil de coton est tricoté et teint à Roquecourbe dans le Tarn, coupé et confectionné à Castres, cousu d'étiquettes brodées à Saint-Didier en Velay, en Haute-Loire, emballé avec des cartons et papiers recyclés et recyclables fabriqués à Colomiers, en Haute Garonne. Et, enfin, vendu en ligne à partir de Rodez et uniquement en France. Pour parvenir à ce tour de force, l'équipe du T-Shirt Propre a pris son bâton de pèlerin pour (re)trouver les derniers fabricants français encore survivants prêts à le suivre. En juin 2016, les premiers T-shirts Propre ont été proposés en pré-vente sur la plateforme de financement collaboratif Ulule. En un mois : 1100 commandes au lieu des 100 attendues ! Propre a battu le record d'Europe du financement le plus rapide sur Ulule. Fabien et Odile Burguière font ainsi la démonstration qu'écologie et économie ne sont pas incompatibles. D'autant que, en la matière, la startup va jusqu'au bout de la démarche. Au-delà de l'origine des matières et des fabrications locales, le T-shirt Propre prohibe l'usage des plastiques, refuse l'Elastane dans ses tissus, n'utilise que des teintures certifiées Oeko-tex 100 et recycle les eaux utilisées dans le process. Tout cela est parfaitement cohérent et contraint l'entreprise à certaines limites dans le choix du design et des matières. Le T-shirt Propre pourrait être en lin ou en chanvre bio, que l'on trouve en France, mais il serait alors trop cher. « Notre volonté est de proposer un vêtement basique, intemporel , durable et aussi accessible au plus grand nombre pour que chacun ait les moyens de faire un geste pour la planète », explique Fabien Burguière. Galvanisés par le succès quasi immédiat de leur entreprise, Fabien et Odile Burguière se sont fixé pour objectif de doubler les ventes chaque année. Les consommateurs adhèrent au principe d'un vêtement éthique (pas plus cher qu'un T-shirt de marque). Le frère et la sœur doivent maintenant aller au-delà du seul T-shirt et diversifier leur offre sans perdre de vue leurs principes fondateurs. C'est en cours. Savoir plus : www.le-tshirt-propre.fr

La Mandarelle, emblème de Rodez et pâtisserie des rois

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A l'occasion de l'Epiphanie, la pâtisserie conçue par la Jeune Chambre Economique revient sur le devant des étals en ajoutant des fèves de collection à ses saveurs aveyronnaises. Développée sur une initiative de la Jeune Chambre Economique (JCE) de Rodez, avec la volonté d'en faire le nouvel emblème gastronomique de la ville, le gâteau la Mandarelle a été officiellement lancé en septembre dernier. Après quelques semaines euphoriques d'un succès fulgurant, la pâtisserie est de nouveau l'objet de toutes les convoitises gourmandes en cette période d'Epiphanie. La JCE, en effet, avec la complicité des deux pâtissiers détenteurs de la recette (Clément Batut, rue d'Armagnac, et la Pyramide de Montagne, rue du Touat), a décidé de glisser des fèves de collection dans 1000 Mandarelles mises en vente à partir du 2 janvier. Le succès à répétition de cette pâtisserie originale (500 pièces vendues chaque semaine dans les trois points de vente) ne doit rien au hasard. Tout, dans la Mandarelle, a été conçu pour faire sens et donner envie aux Ruthénois (ainsi qu'aux autres). La recette est à base de farine 100% aveyronnaise, agrémentée de pommes de Pruines, de noisettes et de crème de marron issues du terroir. Et le gâteau reprend le dessin de la grande rosace de la cathédrale de Rodez. Quant au nom, il est emprunté à une petite cloche située au croisement de la nef et du transept de la cathédrale. Si elle continue sur cette dynamique de succès, la Mandarelle va devoir se trouver très vite de nouveaux pâtissiers pour la fabriquer en plus grande quantité.

Le salon Midinnov devient Occitanie Innov

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L’agence régionale de développement économique AD’OCC et ses partenaires organisent l’édition 2019 d’Occitanie Innov, les rencontres de l’innovation en Occitanie, le 31 janvier prochain au Centre de Congrès Diagora à Labège. Dédiées aux PME et PMI d’Occitanie, quels que soient leurs tailles et leur secteur d'activité, les rencontres pour innover en Occitanie ont pour objectif de faciliter l’innovation en aidant les entreprises à passer de l’idée au produit. Avec plus de 200 exposants, cette 12ème édition offrira une nouvelle fois un espace privilégié aux entreprises porteuses de projet pour rencontrer tous les partenaires de l’innovation et trouver un accompagnement adapté : des prédiagnostics, 2000m2 d’exposition et d’animations, un programme d’ateliers « Innovation & nouvelles énergies » et la remise des trophées des Inn’Ovations. Pour optimiser leur participation à cet événement, les entreprises peuvent bénéficier d’un Prédiag gratuit et personnalisé. Le Prédiag Occitanie Innov permet de rencontrer le même jour, en un même lieu, tous les partenaires de l’innovation : centres de compétences technologiques, laboratoires de recherche, accompagnateurs et financeurs de l'innovation, groupements d’entreprises... Après une inscription en ligne et une prise de contact personnalisée, un programme de rendez-vous adapté est organisé. Le 31 janvier 2019, en l’espace d’une seule journée, les porteurs de projets pourront rencontrer les accompagnateurs de l’innovation. Le salon accueille chaque année quelque 3000 participants et le concours de l'innovation est doté de 180 000 € que se partagent 10 lauréats répartis en 8 catégories. Depuis la première édition de Midinnov, en 2008, plus de 1000 porteurs de projet ont déjà bénéficié d’un Prédiag. L’inscription se fait gratuitement en ligne sur le site midinnov.fr, depuis début décembre 2018 jusqu’au 21 janvier 2019. Inscription en ligne sur www.occitanie-innov.com

Un concert pour soutenir le projet Station A

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Le collectif ouvert Station A, qui a pour ambition de recréer au centre de Rodez un espace où seraient expérimentés de nouveaux modes de travail et de vie, organise un concert ce vendredi 11 janvier, à partir de 19h, à Rodez. Patiemment et avec une constance imperturbable, le collectif Station A continue de faire mûrir son projet de tiers lieu où cohabiteraient, à l'instar de la place du village d’antan, des activités professionnelles, des services et des loisirs. Une sorte de réseau social « en vrai » qui, pour l'heure,  continue de chercher à convaincre des soutiens, des utilisateurs potentiels, des partenaires. Avec en tête l'idée que la convivialité est un argument de poids pour rallier les suffrages, le collectif  a sollicité la Déryves, La sourdoreille et la Diane Rouegate pour commencer l’année en beauté, sous la forme d'un concert. L'événement aura lieu vendredi 11 janvier, à 19h, à la salle des fêtes de Rodez. De quoi bien commencer l’année autour d’un verre ou d’un aligot, tout en soutenant un beau projet : celui d’une plateforme multidisciplinaire au cœur de Rodez permettant à tout un chacun de travailler, d'apprendre et de se détendre. Pour réaliser son projet, le collectif Station A est intéressé par l'achat de ce que l'on appelle le quadrilatère de l'ancien hôpital Combarel, en plein centre-ville. Il y a là un espace de 7000 m2, idéalement situé, qui ne demande qu'à être réhabilité et retrouver une nouvelle utilité. L'endroit idéal pour réunir un espace de coworking, un bar-restaurant, un magasin de producteurs, un atelier partagé, une micro-crèche, un espace bien-être, une salle de créativité, une maison de l'architecture, une galerie d'art, un jardin de maraîchage bio, comme le prévoit le projet. Inscriptions au concert sur: www.station-a.fr   Illustration : Atelier Tawla et Hugues Tournier architectes

La Région soutient l’attractivité de l’Aveyron

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La Région accompagne les collectivités dans leurs projets visant à soutenir la vitalité et l'attractivité des territoires, afin de faciliter notamment l'accessibilité à des services publics de proximité. Dans l'Aveyron, elle mobilise une enveloppe de près de 100 000€ pour accompagner la réalisation de travaux de mise en accessibilité de bâtiments publics, parmi lesquels l'école de Saint-Jean-du-Bruel et plusieurs bâtiments municipaux à Rieupeyroux. Elle intervient également à hauteur de 250 000€ pour soutenir 8 projets de rénovation énergétique dont les travaux de l'école Emile-Zola à Cransac et ceux de la salle des fêtes de Florentin-la-Capelle. De plus, la Région a également adopté des aides destinés aux logements communaux à vocation sociale. Elle soutient, à hauteur de 150 000€, trois projets de rénovation énergétique et de réhabilitation de logements à Belmont-sur-Rance, Saint-Rémy et Nauviale. La Région intervient par ailleurs sur des opérations visant au maintien, à la création ou au développement de commerces et d'artisanat de proximité grâce au « Pass commerce de proximité ». A ce titre, elle mobilise plus de 80 000€ pour la création d'une boucherie-charcuterie à Broquiès. Dans le cadre de sa politique bourgs-centre, la Région mobilise plus de 100 000€ pour divers aménagements d'espaces publics sur la commune de Marcillac-Vallon. Un montant global de 200 000€ est consacré au développement et à l'aménagement d'espaces publics dans plusieurs communes aveyronnaises dont Calmont, La Capelle-Balaguier et Montrozier. Avec pour volonté de devenir la 1ère Région à énergie positive d'Europe d'ici 2050, l'Occitanie  soutient la production d'énergies renouvelables et la réduction des besoins énergétiques. 52 000€ sont attribuées pour la réalisation d'un projet de production d'énergie hydroélectrique à Nant, dans le cadre de l'appel à projets « Energies coopératives et citoyennes ». Par ailleurs, avec l'appel à projets « Valorisons et restaurons les zones inondables », les élus régionaux ont voté une subvention de 150 000€ pour la restauration du méandre de Saint-Hilarin à Rivière-sur-Tarn. La Région se mobilise pour soutenir le tourisme social et solidaire, porteur d'une mission volontariste en termes de soutien à l'accès aux vacances pour tous, d'équité sociale, de citoyenneté et d'éducation populaire. Dans l'Aveyron, elle accompagne à hauteur de 300 000€ la modernisation du village de vacances à Najac. Dans le cadre de sa politique « Grands sites Occitanie », la Région mobilise 55 000€ pour l'aménagement de la Tour Polier et de la place des Pères à Villefranche-de-Rouergue et 50 000€ pour la mise en œuvre du programme d'actions de l'Office de tourisme de Conques-Marcillac.

Le sang neuf de la menuiserie Laussel et Fau

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Début 2018, la menuiserie de Sébazac a été reprise par un jeune entrepreneur de moins de 30 ans, Bastien Turlan. En plusieurs décennies d'existence, la menuiserie Laussel et Fau (elle conserve son nom historique) s'est bâti une solide réputation dans la conception, la fabrication et la pose d'agencements intérieurs de bars, magasins, hôtels, habitations... L'entreprise réalise également des menuiseries courantes, intérieures et extérieures (huisseries, escaliers, garde-corps, portes, châssis vitrés, bardages, volets...) pour la commande publique, les professionnels et les particuliers. La menuiserie travaille essentiellement en Aveyron et les zones limitrophes. C'est Laussel et Fau qui a réalisé, par exemple, les offices de tourisme de Millau et de Rodez, l'hôtel Mercure à Rodez ou encore le centre social polyvalent en cours de rénovation à Luc-La Primaube. Bref, l'entreprise jouit d'une belle réputation et d'un savoir-faire qu'il n'était pas question de voir disparaître. Fort heureusement, le hasard faisant bien les choses, il a fait se rencontrer un jour Jean-Luc Fau et Bastien Turlan. Le premier, patron de la menuiserie, aspirait à la retraite ; le second, âgé de 28 ans et après plusieurs expériences professionnelles salariées, cherchait une affaire à reprendre. Entre les deux, animés d'une passion commune pour le métier et le travail bien fait, le courant est vite passé. C'est ainsi que Jean-Luc Fau a cédé la menuiserie et ses 38 salariés à Bastien Turlan, début 2018. Pour le futur de l'entreprise, le nouveau jeune patron souhaite développer encore la spécialité de la maison, qui a fait sa réputation : l'agencement de magasin, les comptoirs et banques d'accueil, sans pour autant délaisser les fabrications plus traditionnelles ni la commande publique. Dans ses projets figure également le déménagement des ateliers qui, au fur et à mesure de l'urbanisation de Sébazac, se retrouvent aujourd'hui coincés entre les habitations, sans possibilité d'extension.

Aurore Market à l’aube d’une belle réussite

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La jeune entreprise de vente en ligne de produits bio connaît des débuts extrêmement prometteurs. Probablement une question de karma, pour cette startup aveyronnaise qui mêle business et solidarité Un chiffre d'affaires mensuel qui a triplé en dix mois, pour s'établir à 150 000 €, fin 2018. La perspective d'une nouvelle multiplication par trois d'ici fin 2019. Une offre de 3000 références actuellement, qui a presque doublé en un an. Une moyenne de 1600 colis expédiés chaque mois dans toute la France. Une levée de fonds de 500 000 euros en bonne voie sur la plateforme de financement participatif Lita (jusqu'au 31 mars). La perspective de trouver rapidement un million supplémentaire auprès d'investisseurs professionnels... Tout va très vite, chez Aurore Market, la plateforme de vente en ligne de produits bio, installée dans le parc d'activités des Calsades, à Bozouls. Sur le modèle de l'Américain Thrive Market, l'entreprise a été créée fin 2016 par Hicham Aïssou, Vincent Cotten, Roman Régis et Thomas Limbert, quatre anciens élèves de l'Ecole européenne des métiers de l'internet. Elle a démarré son activité en février 2018 et taille déjà des croupières aux enseignes historiques de la distribution de produits bio. Aurore Market propose en ligne une gamme de quelques 3000 produits d'épicerie, d'hygiène et de cosmétique fournis par les meilleurs fabricants français (70%) et européens et livrés en 24 ou 48 heures. Grâce à un système d'adhésion annuelle, Aurore Market peut faire l'économie de tous les coûts liés au marketing, ce qui lui permet de proposer ses produits de 25 à 30% moins cher que dans les réseaux spécialisés traditionnels. Par ailleurs, pour chaque adhésion souscrite, Aurore Market offre une adhésion gratuite à une famille à faible revenus. « Notre volonté, dès le début, a été de concevoir un modèle économique favorisant l'accès du plus grand nombre aux produits biologiques de qualité », résume Vincent Cotten. Les premiers mois d'activité ont conforté les quatre associés dans leurs objectifs de développement. C'est ainsi qu'Aurore Market a lancé avec Lita une nouvelle campagne de financement qui a démarré en décembre et se poursuit jusqu'en mars. Il s'agit là de trouver 500 000 €. En trois semaines, 160 nouveaux actionnaires particuliers ont déjà apporté la moitié de cette somme. Le reste ne saurait tarder à venir de business angels. « Par ailleurs, nous cherchons un million de plus auprès d'investisseurs professionnels », ajoute Vincent Cotten. Ces financements nouveaux permettront de soutenir le développement de l'entreprise : recruter de nouveaux collaborateurs (ils sont 16 aujourd'hui), augmenter l'offre (jusqu'à 4000 références) et les stocks, automatiser une partie du traitement des commandes. Aurore Market s'est donné trois ans pour dégager des marges lui permettant de gagner de l'argent. Il lui faut, pour cela, atteindre le seuil de 30 000 adhérents. Objectif que les jeunes entrepreneurs envisagent en toute sérénité. « A terme, nous souhaitons aussi développer une gamme de produits à notre marque et élargir notre marché à nos voisins européens », prévoit le quatuor d'associés. Savoir plus : auroremarket.fr

L’an 1 de la nouvelle CCI Aveyron

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Lors de ses traditionnels vœux aux personnels et aux entreprises, le président de la CCI de l'Aveyron a rappelé le grand projet de restructuration et de déménagement de l'institution. « Vous le savez, nous sommes désormais engagés dans un projet de transformation de notre CCI Aveyron, qui doit nous permettre, malgré la poursuite inexorable de la baisse de nos ressources fiscales, de poursuivre efficacement nos missions au bénéfice de nos entreprises et du territoire. Notre action de proximité leur est indispensable ! », a rappelé Dominique Costes. Ce projet consiste  à libérer son siège historique du centre-ville, vendu à la communauté d'agglomération de Rodez, pour gagner le pôle de formation de Bourran où sera construit une aile supplémentaire. « Je l’ai déjà évoqué, c’est un projet ambitieux mais capital pour l’avenir de notre CCI. Je sais que, tous ensemble, nous allons porter et défendre ce projet pour construire un bel avenir à notre Cité de l’Entreprise et de la Formation qui donnera aux entreprises aveyronnaises l’outil de leurs réussites ! » La confiance du président Costes est motivée par la quantité et la qualité des actions menées tout au long de l'année par ses équipes, au service des entreprises. Travail salué aussi par la directrice générale, Patricia Fontanié. Cet engagement en faveur des 13500 entreprises ressortissantes ne devra d'ailleurs pas faiblir dans les prochains mois, car la crise sociale et politique que traverse le pays depuis quelques mois n'est pas sans conséquence pour nombre d'entre elles. « L’étude que nous avons réalisée a montré qu’en raison des manifestations de fin 2018, 75 % des entreprises ont connu une baisse de fréquentation et 69 % une baisse de chiffre d’affaires ! », a relevé Dominique Costes. Et le président de poursuivre : « Le premier vœu que je formulerais pour 2019 serait de retrouver une forme de raison où les échanges constructifs redeviendraient possibles, où chacun pourrait être à l’écoute attentive de l’autre permettant, ainsi, de trouver des solutions équitables pour apporter les changements indispensables à notre société dont le monde économique est un pilier essentiel ! Le grand débat national annoncé doit nécessairement aboutir sur des décisions concrètes et attendues au bénéfice de l’ensemble de notre société. »

Le plan régional qui déplace les montagnes

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Étienne Guyot, préfet de région, et Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, ont récemment présenté un plan d'actions partenarial pour accompagner et soutenir le développement des territoires de massif : « Montagnes d'Occitanie, Terres de vie ». L’objectif d’une nouvelle attractivité des territoires de montagne est au cœur du programme d’action du plan montagne. Ce plan est une initiative portée conjointement par le conseil Régional et l’État, en lien avec les Départements. Le constat est partagé d’une nécessaire prise en compte des spécificités de ces territoires pour relever les défis de l’avenir en matière de développement économique, social et environnemental. Le plan montagne est issu d’une mobilisation importante des acteurs de terrain au travers du Parlement de la montagne, créé à l’initiative de la Région Occitanie il y a un an. Il réunit plus de 630 participants, reflets de la diversité des acteurs des montagnes d’Occitanie, qui se sont régulièrement réunis en séance plénière ou en ateliers. Suite à son adoption par l’Assemblée Plénière de la Région à l’unanimité le 20 décembre, ce plan permettra d’accompagner plus de 800 M€ d’investissement spécifiquement dédiés aux territoires de montagne jusqu’en 2025, financés en partenariat par la Région, l’État, la Caisse des Dépôts et Consignations, les Départements et l’ensemble des collectivités, avec le soutien de l’Europe. Le plan montagne est articulé autour de huit axes et quarante actions. Il est transversal et vise à accompagner l’attractivité et la qualité de vie en montagne et favoriser les initiatives locales. Une montagne fière de sa culture, accueillante et inclusive : logement, santé/accès aux soins, vie culturelle, services… Une montagne qui éduque, forme et emploie : formation développement, offre de proximité… Une montagne qui produit : valorisation des savoir-faire, transmission reprise des PME et TPE, élevage, pastoralisme, filière bois, filière pierre, industrie… Le soutien au pastoralisme constitue notamment un enjeu important, à la fois en termes de production agricole mais aussi de préservation des paysages, de biodiversité. Une montagne qui protège et valorise ses ressources : énergies renouvelables, ressource en eau, biodiversité adaptation au changement climatique. Une montagne qui encourage la mobilité et ses connexions : mobilités du quotidien, désenclavement de la montagne, développement du très haut débit. La question de la couverture numérique du territoire constitue notamment un enjeu majeur. Une montagne qui conforte son potentiel et son attractivité touristique : structuration des destinations touristiques, attractivité des territoires, marketing collectif. Une étude stratégique est d’ores et déjà engagée sur ce sujet. L’objet est de définir un nouveau cadre d’accompagnement des stations dans un contexte de perte de compétitivité comparativement à la concurrence. Une montagne qui rayonne, ouverte au monde : valorisation des produits de montagne d’Occitanie, tournages de films et images, sport de haut niveau Une montagne qui s’appuie sur ses territoires pour l’innovation : renforcer la connaissance des massifs en lien avec les universités, mettre en réseau les opérateurs… Le plan montagne promeut pour l’ensemble de ses axes l’innovation et l’expérimentation pour la recherche de solutions nouvelles répondant aux défis de ces territoires.

Plus de visibilité pour les Lunettes Méravilles

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L'opticien ruthénois Lunettes Méravilles est désormais installé place d'Armes, dans un nouvel espace art déco en adéquation avec l'architecture de son immeuble et pour un service toujours plus personnalisé. Tout à la fois monumentale et aérienne, la devanture de la nouvelle boutique des Lunettes Méravilles, place d'Armes, ne passe pas inaperçue, avec ses châssis vitrés, ses motifs, ses ornements et ses couleurs Art déco. C'est ce nouveau lieu que l'équipe de Pauline Sabin-Teyssèdre et Marion Sauveplane a choisi pour relever un nouveau challenge, abandonnant l'adresse historique du boulevard Gambetta. « Nous souhaitons nous recentrer sur notre métier d'opticiens », explique Pauline Sabin-Teyssèdre. C'est la raison pour laquelle l'activité d'audition conseil est restée boulevard Gambetta. Le métier de Lunettes Méravilles est donc d'accompagner, de conseiller les clients dans leurs choix, en leur garantissant les meilleurs produits créés par les meilleurs lunetiers français. Comme auparavant, l'opticien ruthénois continue de proposer les marques Théo, Anne et Valentin, Caroline Abram, Sabine Bé... Avec la volonté de pousser toujours plus loin la pertinence et la qualité du conseil, l'équipe souhaite également développer le service que lui apporte le réseau Opti Kid, spécialiste d'une offre particulièrement adaptée pour les enfants. Ainsi continue l'aventure des Lunettes Méravilles, commencée voilà 25 ans.

Comment travailler en Aubrac, Carladez et Viadène

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La Communauté de communes Aubrac Carladez Viadène organise, le 14 mars à Laguiole, des Rencontres vivre et travailler sur le territoire, à destination des collégiens, des demandeurs d'emploi et des entreprises. Convaincue de l'importance de sa mission de développement économique du territoire, la Communauté de communes Aubrac Carladez et Viadène s'est mise à l'œuvre pour concevoir et lancer plusieurs actions dans les domaines de l'immobilier d'entreprises, de l'emploi et du recrutement, de la sensibilisation des jeunes aux métiers disponibles sur le territoire. En ce domaine, la collectivité a imaginé les Rencontres vivre et travailler sur le territoire, un rendez-vous multiforme destiné, d'une part, aux collégiens et, d'autre part, aux demandeurs d'emplois et aux entreprises. « La volonté de la collectivité de placer l’économie au centre des préoccupations communautaires », souligne avec enthousiasme Annie Cazard, présidente de la Communauté de Communes. Quant à Jean Valadier, vice-président en charge du développement économique, il précise qu’il s’agit d’une démarche volontariste et transversale avec une finalité claire : stabiliser la démographie du territoire. L'opération a été présentée récemment par les élus de communauté à tous leurs partenaires : services publics de l’emploi, conseil départemental, PNR de l’Aubrac, collèges, chambres consulaires et associations locales pour l’emploi. Elle aura lieu jeudi 14 mars, à Laguiole, et se déclinera en deux événements distincts : un forum des métiers pour les 178 élèves de 3e et 4e des trois collèges de Laguiole, Saint Amans et Mur de Barrez ; un job dating pour mettre en relation recruteurs et candidats. Comme le rappelle le maire de Laguiole, il est impératif que tous les acteurs économiques se mobilisent pour déposer des offres d’emploi, faire connaître leurs différents métiers et savoir-faire, ainsi que les différentes filières afin de faire prendre conscience des multiples ressources dont dispose le territoire. En préambule à ces Rencontres vivre et travailler sur le territoire, quatre réunions appelées Chemin vers l'emploi sont programmées, avec la présence du service public de l’emploi (Mission locale, Cap Emploi, Pôle Emploi), mardi 22 Janvier, de 10 à 12h à Condom d’Aubrac et de 14 à 16h à Soulages Bonneval, ainsi que jeudi 24 Janvier, de10h à 12h à Mur de Barrez et de 14 à 16h à Saint Symphorien de Thénières.
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