Le concepteur et fabricant de mangeoires et salles de traite automatisées de Carcenac-Peyralès n'en finit pas de décrocher de nouveaux marchés partout dans le monde. Au point de se retrouver très l'étroit dans ses murs actuels.

Depuis quarante ans, l'entreprise créée par les frères Gérard et Christian Albouy, et dirigée aujourd'hui par Alexandre Albouy, conçoit et fabrique du matériel de contention pour les élevages de petits ruminants. Régulièrement, les équipes Albouy n'ont cessé de faire évoluer leurs produits et la société est devenue une spécialiste des mangeoires mécanisées, des distributeurs d'aliments et des stalles de traite linéaires ou rotatives pour moutons ou chèvres. Les systèmes Albouy intègrent toutes les fonctions de contention des animaux, lecture des puces électroniques des bêtes, distribution de rations spécifiques d'aliments, gestion des cadences et des temps de traite individualisés, etc... Les fabrications issues des ateliers de Carcenac-Peyralès sont aujourd'hui parmi les plus perforantes et reconnues dans le monde entier. On en trouve en Espagne, Portugal, Italie, Grèce, Suisse, Belgique, Suède, Pays Bas, Allemagne, Slovaquie, Etats Unis... Derniers marchés exports conquis en date : Canada, Nouvelle Zélande, Bulgarie.

Tant et si bien que l'entreprise recrute régulièrement. Près d'une dizaine de personnes ont été embauchées entre 2015 et 2016, portant les effectifs à une cinquantaine de salariés. Et Albouy Equipement se retrouve très à l'étroit dans des locaux qui, pourtant, ont été régulièrement agrandis  au cours de l'histoire de l'entreprise. Fort heureusement, Alexandre Albouy a fini par trouver les terrains nécessaires à l'extension qui est en projet depuis plus d'un an. Encore quelques formalités et l'entreprise pourra envisager la construction de 2500 m2 supplémentaires, dans le prolongement du site actuel. « Avec cette surface supplémentaire, nous allons pouvoir repenser entièrement une nouvelle organisation des fabrications et des flux de pièces plus rationnels qu'aujourd'hui », explique Alexandre Albouy. Le montant de l'investissement total n'a pas encore été calculé.

Savoir plus : www.albouyequipement.com

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L'entreprise du Fieu, près de Baraqueville, s'est dotée d'outils de production modernes et performants, qu'elle met au service d'une approche artisanale du métier de fabricant de cuisines et aménagements intérieurs.

Jérôme Mouysset souhaite être considéré comme un artisan, terme qui, selon lui, est porteur de valeurs qui lui son chères : amour du travail bien fait, sens de l'écoute, souplesse et personnalisation. Mais, dans le même temps, il ne voudrait pas que le public confonde artisanat avec rusticité. Car, de son usine sortent des cuisines, des dressings, des salles de bain et des agencements de magasins aussi créatifs et stylés que les modèles des grands fabricants. En mieux, même, puisque Jérôme Mouysset fait du sur-mesure adapté aux besoins du client. La plupart des fabrications réalisées par l'entreprise sont de style contemporain, proposant des solutions innovantes, de nombreuses astuces de rangement, des matériaux qui vont du bois massif au mélaminé ou au stratifié, avec des finitions originales d'aspect laqué, en granite, en inox ou à base de quartz. Le client a accès à une palette de couleurs quasi infinie.

Pour parvenir à une telle diversité de l'offre, Jérôme Mouysset a beaucoup et régulièrement investit dans des outils de production moderne, des machines à commande numérique, des systèmes de manutention intégrés, des flux de production élaborés, des moyens logistiques performants. En 26 ans d'existence, l'entreprise s'est également ouverte à des produits diversifiés, tels que l'agencement de magasin, ce qui lui a donné accès à des marchés nationaux auprès de grandes franchises.

Résultat : la menuiserie se développe avec une régularité de métronome et peut continuer à investir pour se maintenir à l'abri des difficultés que connaît ici ou là l'industrie de l'ameublement.

Les cuisines Mouysset réalisent un chiffre d'affaires de l'ordre de 2,5 M€ et font travailler aujourd'hui une quinzaine de salariés, dont certains sont là depuis le premier jour, autre preuve de la bonne gestion de Jérôme Mouysset.

Savoir plus: www.cuisines-mouysset.fr

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La boutique éphémère Le Petit Format, née de la rencontre de femmes artistes, met à l'honneur la mixité artistique pour une cohabitation joyeuse entre créations russes et rouergates, jusqu'aux fêtes de fin d'année, 2, rue Sergent-Bories à Villefranche-de-Rouergue.

Les ruelles de la Bastide villefranchoise accueillent une nouvelle boutique, galerie d'art et de décoration, à quelques petits pas de la Collégiale. Là où les parents chaussaient les pieds de leurs bambins, l'esprit des petits formats revient avec une nouvelle fonction, celle d'habiller, d'embellir sa décoration d'intérieur et d'offrir des pièces uniques.

Les objets d'art, peintures, photographies, dessins, gravures, céramiques, porcelaines sont inspirés d'ici et d'ailleurs, du soleil ardent et du givre blanc. Parmi les créations d'artistes du Sud, la boutique propose les tableaux de bois incrustés de céramiques de Martine Théron, les statuettes en céramique de Patricia Noero, les bijoux blancs de fine porcelaine de Nelly David, les grandes boules de terre cuite à texture brute et petits pots plissés de l'atelier LPX, ainsi que les méditations photographiques d'Hugues Tsouo. Deux femmes russes complètent la gamme : la peintre Katia Weyher expose ses peintures aux couleurs folkloriques vives de son pays d'origine et la sculptrice-photographe Ekaterina Terpigoreva présente sa toute nouvelle collection de céramiques et porcelaines, une série innovante de photos-collages digitaux, « Archétypes », ainsi que d'élégantes décorations à suspendre au sapin de Noël.

Les artistes tiennent la boutique à tour de rôle et transmettent la richesse de la création, de l'inspiration au process. Entre ces murs se dévoile l'univers de la craquelure, des huiles et des  pastels, du biscuit, du grès noir chamotté, des rubans de porcelaine, du sténopé, de la gomme laquée... Pour retrouver l'esprit originel de Noël, beau, rare et précieux.

La boutique est ouverte du mardi au dimanche inclus.

 Colette léger

Savoir plus : page facebook Le petit format

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Les élus de l’Aveyron, du Cantal et EDF viennent de co-signer la charte de la Route de l’énergie, réaffirmant ainsi  leur soutien au projet de valorisation touristique du patrimoine hydroélectrique des vallées Lot et Truyère au travers de la Route de l’énergie.

Le Président du Conseil départemental de l’Aveyron, Jean-Claude Luche, , la vice-présidente du Conseil départemental du Cantal, Céline,  les présidents du Syndicat mixte de préfiguration du Parc naturel régional de l’Aubrac, du Pôle d’équilibre et rural du Haut-Rouergue, André Valadier et Jean-François Albespy, les Présidents des Syndicats mixtes du lac de Garabit-Grandval et du lac de Sarrans et de ses territoires limitrophes, les Présidents des communautés de communes concernées, et Directeur de l’exploitation hydraulique d’EDF sur les vallées du Lot et de la Truyère, Monsieur Frédéric Corrégé, se sont retrouvés dans l’Espace EDF Truyère, au pied du barrage hydroélectrique de Couesques pour procéder à la signature de la Charte Route de l’énergie.

 La Route de l’énergie est une démarche collective de développement du tourisme sur le bassin versant du Lot, notamment à travers une offre de circuits inédits autour des barrages, des centrales hydroélectriques et des sites touristiques emblématiques des vallées. Ce projet fait écho aux attentes des élus et de leurs concitoyens en matière d’animation et de promotion d’un territoire dont la présence historique des ouvrages d’EDF constitue, au-delà  des retombées économiques directes et indirectes, un élément mémoriel, patrimonial et pédagogique à fort potentiel.

Initiée en 2010 dans le seul Nord-Aveyron, la Route de l’énergie a d’abord donné lieu à des aménagements de sites et points de vue permettant de découvrir les barrages et centrales hydroélectriques d’EDF sur le secteur (circuit extérieur de la centrale hydroélectrique de Cambeyrac, belvédère de Sarrans, espace découverte de l’hydroélectricité à Couesques…) Un nouveau circuit de visite de la centrale souterraine de Montézic est actuellement en préparation.

La collaboration exemplaire a suscité l’envie d’aller plus loin en proposant aux acteurs du Cantal, riverains notamment de la retenue de Garabit-Grandval, de participer pleinement au projet de tourisme industriel de la Route de l’énergie. L’émergence du Parc naturel régional de l’Aubrac, dont la chaîne hydroélectrique Lot-Truyère épouse le futur périmètre du parc, a fini de justifier que la Route de l’énergie s’étende à l’ensemble des vallées. En 2016, les acteurs touristiques des deux départements ont élaboré et proposé une carte de la Route de l’énergie permettant aux touristes de découvrir les barrages et centrales hydroélectriques et les sites emblématiques des vallées Lot-Truyère.

La Charte Route de l’énergie intègre à la fois cette évolution géographique et la volonté de pérenniser une relation partenariale entre les territoires et EDF autour d’un projet à forte valeur ajoutée.

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Jean-Claude Luche, le président du conseil départemental, a officiellement remis les clés de l'évêché de Rodez à Mathias Echène, qui doit y aménager Le E, un hôtel de grand luxe. La cérémonie, symbolique, s'est tenue en présence de nombreux élus et partenaires.

Il y avait là une foule d'invités réunis sous les augustes plafonds décorés du palais épiscopal : maire de Rodez, élus de l'agglomération ruthénoise et du département (dont le probable futur président Jean-François Galliard au côté de l'ancien, Jean Puech...), élus consulaires, partenaires du projet (dont Catherine Painvin, qui assurera la direction artistique du futur établissement) et amis de Mathias Echène. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours que se présente en Aveyron un tel projet : un hôtel 5 étoiles aménagé dans une ancienne demeure des évêques de Rodez, datant du XIIIe siècle, avec une trentaine de chambres, un restaurant gastronomique, un centre de remise en forme, un musée des arts religieux, une boutique, le tout dans un parc paysager en plein centre de Rodez. « Une expérience sensorielle, autant qu'un hébergement hôtelier », synthétise Mathias Echène, désormais propriétaire de ce qui s'appelle déjà Le E (comme épiscopal ou comme Echène).

Pour Jean-Claude Luche, futur ex-président du Département, il ne fait aucun doute que la collectivité fait là une bonne affaire en signant avec la société de Mathias Echène un bail à construction. La collectivité se débarrasse ainsi de la charge de ce monument dont elle était jusqu'alors propriétaire et elle encourage un projet hôtelier extrêmement ambitieux dont elle espère tirer des dividendes sous la forme de notoriété, d'image et de fréquentation touristique. Point de vue partagé « à 100% » par Christian Teyssèdre, le président de Rodez Agglomération.

A ce gain d'attractivité pour le territoire, Mathias Echène promet d'ajouter des retombées économiques pour les entreprises et prestataires aveyronnais, qui bénéficieront d'un « privilège » sur l'attribution des futurs travaux (annoncés autour de 5 millions d'euros), et du travail pour les habitants puisque le porteur du projet E estime les besoins en personnel à une cinquantaine de personnes recrutée en priorité en Aveyron.

Le E devrait ouvrir définitivement pour la saison estivale 2019. Toutefois, pour ne pas perdre de temps, quelques chambres pourraient être aménagées et décorées sans gros œuvre afin d'accueillir les premiers clients dès 2017.

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L'entreprise CLM, installée depuis une dizaine d'années à Najac, dans l'Ouest Aveyron, conçoit et fabrique les membranes qui constituent les voiles haut de gamme de croisière et de compétition. Quatre bateaux du Vendée Globe sont partis autour du monde avec ces voiles nées en Aveyron.

Thomas Ruyant sur Le Souffle du Nord pour le Projet Imagine, Kito de Pavant sur Bastide Otio, Stéphane le Diraison sur la Compagnie du Lit-BoulogneBillancourt naviguent actuellement quelque part entre le Cap de Bonne Espérance, au Sud de l'Afrique du Sud, et l'Australie. Thierry de Lamotte, sur Initiatives Coeur, n'a pas cette chance : il a abandonné au large de l'Afrique. Tous ces concurrents, engagés dans le tour du monde en solitaire Vendée Globe, ont pour point commun de naviguer avec des voiles dont le matériau a été conçu et fabriqué à quelques kilomètres de Najac, bien loin des embruns. « Vous savez, le numéro un mondial de ce genre de produit se trouve au beau milieu du désert d'Arizona », justifie Pascal Rossignol, le fondateur et patron de Custom Laminated Manufacturing (CLM), fournisseur des plus grandes voileries.

Cela fait plus de dix ans que l'ingénieur Pascal Rossignol et son équipe (six personnes au total) étudie, conçoit, développe et fabrique des tissus composites, techniques et innovants destinés essentiellement au nautisme. Ces membranes haut de gamme, sont destinées à la voile de plaisance, mais aussi et surtout de compétition. Entre autres brevets déposés par l'ingénieur figure le Trilam, une membrane faite d'une multitude de fibres entrecollées et orientées selon les efforts mécaniques subits. Cette technologie exclusive donne aux voiles dont elles sont confectionnées une moindre déformation pour de meilleures performances, une plus grande longévité, une plus grande légèreté et un grand choix de coloris.

Que les tissus de CLM se retrouvent aux mâts des bêtes de course engagées dans la compétition au large la plus difficile au monde n'est pas anodin. Seuls deux fournisseurs sont en capacité d'apporter les performances et la fiabilité nécessaires à des voiles soumises à de telles conditions : le leader mondial North et Custom Laminated Manufacturing. « Le Vendée Globe n'est pas une course comme les autres, insiste Pascal Rossignol. C'est un tour du monde en solitaire dans lequel l'engagement des navigateurs et du matériel est total ; il faut aller très vite et, en même temps déjouer en permanence tous les pièges de la mer, de la météo et de la mécanique. »

Dès sa mise au point, la technologie Trilam a convaincu les voileries et les navigateurs du monde entier. Les tissus imaginés à Najac et fabriqués sous forme de laizes se sont immédiatement retrouvés dans les grands rendez-vous planétaire de la voile : Transat Jacques Vabre, Route du Rhum, Québec Saint-Malo… avec de nombreuses places sur les podiums.

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A l'occasion du salon Oninnov, le promoteur immobilier ruthénois a expérimenté un outil particulièrement innovant pour aider les acquéreurs potentiels à se projeter vraiment dans un logement qui n'existe encore que sur plans : le casque de visite virtuelle.

La difficulté à se projeter dans un espace et un environnement qui n'existe qu'en deux dimensions est un écueils que rencontrent régulièrement les promoteurs immobiliers. Aussi, Franck-Alexandre Labit, le patron de Qualit'Immo, a-t-il fait appel à Franck Thibault, graphiste et créateur de l'agence Oxyzone à Laissac, pour proposer une solution donnant l'illusion de pénétrer réellement dans un appartement. Le graphiste a ainsi modélisé en 3D un logement du projet le One Combarel, qui doit voir le jour prochainement au cœur de Rodez, en respectant les cotes des architectes, les volumétries réelles, les choix de personnalisation proposés par Qualit'Immo, les meubles, la décoration... Il a ensuite créé une image photoréaliste représentant le lieu de vie à 360°. Puis les images finales ont été intégrées à un casque de vision virtuelle. Les curieux présents au salon de l'innovation d'Onet ont ainsi pu avoir l'illusion parfaite d'entrer dans le futur One Combarel.

Il s'agissait là d'une expérience unique, mais le promoteur envisage d'étendre à l'avenir l'utilisation de la réalité virtuelle pour quelques-uns de ses prochains programmes immobiliers.

En attendant, Qualit'Immo poursuit la commercialisation de ses projets en cours : Les Jardins de Rosalie à Onet-le-Château, le 1, François-Fabié sur le boulevard de Rodez et le One Combarel et ses 48 logements, sur le site de l'ancien hôpital. Sur ce même espace de Combarel, au cœur de la ville, le promoteur vient de décrocher l'autorisation de réaliser un second programme, qui devrait être dévoilé au printemps prochain.

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L’entreprise de Lioujas et ses fertilisants naturels convainquent de plus en plus d’utilisateurs, parmi lesquels les collectivités territoriales, qui peuvent trouver là d’intéressantes solutions à leurs obligations de réduction des produits phytosanitaires.

A partir du 1^er janvier 2017, la loi de transition énergétique pour la croissance verte va interdire aux services de l’Etat et aux collectivités territoriales d’utiliser des produits phytosanitaires sur les voiries, dans les espaces verts, les forêts et promenades ouvertes au public. Les villes devront donc trouver de nouveaux moyens pour entretenir leurs espaces verts. Parmi ces moyens respectueux de l’environnement, les produits fertilisants naturels conçus et commercialisés par l’entreprise aveyronnaise Sobac peuvent constituer des solutions efficaces.

Certaines collectivités aveyronnaises, comme les villes d’Onet-le-Château et du Monastère ont pris de l’avance dans ce domaine et expérimentent le Bactériosol, le produit phare de la Sobac, sur certains de leurs équipements. A Onet, cet amendement organique est utilisé depuis 2007. D’abord sur un terrain de sport puis sur les trois stades de la commune. Selon Laurent Noailles, des services techniques municipaux, les bénéfices sont importants : moins d’arrachage, meilleure résistance de la pelouse, plus grande souplesse et réduction de moitié des arrosages. La collectivité aurait ainsi réduit de plusieurs milliers d’euros sa facture d’eau sur l’arrosage d’un seul terrain.

Le constat est le même au Monastère, où le Bactériosol est utilisé depuis 2011 sur la pelouse du terrain de sport. «Le gazon est plus dense, on a moins de mauvaises herbes, c’est notamment lié à la densité du gazon, remarque Frédéric Durand, des services techniques. On constate également moins d’arrachage, c’est bien appréciable sur ce point car le terrain est très utilisé (environ 14h/semaine). Nous n’utilisons pas de produit fongicide sur le terrain et nous avons bien réduit nos coûts de fertilisation en engrais minéraux. »

Les représentants de plusieurs collectivités territoriales ont pu, eux aussi, faire ces constats lors de la matinée d’information organisée ce jeudi sur le thème de la  réduction des intrants chimiques pour la fertilisation des terrains sportifs et des espaces verts, grâce à la technologie développée par Marcel Mézy. Bactériosol et Bactériolit, sont des amendements organiques et des produits litières, composés de matières d'origine végétale, de matières minérales et d'un choix de végétaux naturels compostés.

Signalons également que, par ailleurs, Marcel Mézy a été invité à participer à la Cop 22 de Marrakech, en novembre dernier, dans le cadre du programme "4 pour 1000, les sols, pour la sécurité alimentaire et le climat", initié par le ministre français de l'Agriculture Stéphane le Le Foll. Ce programme, en concertation avec la communauté internationale, a pour but de diminuer le dioxyde de carbone de l'air via son stockage dans les sols.

Savoir plus : www.bacteriosol-sobac.com

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Le salon SISQA 2016, ouvre ses portes à partir d’aujourd’hui et jusqu’à dimanche, au Parc des expositions de Toulouse. Comme chaque année, plusieurs entreprises ou producteurs aveyronnais y font le déplacement.

Organisé par la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, en coproduction avec l'Institut régional de la qualité agroalimentaire (IRQUALIM), la Chambre régionale d'agriculture (CRA) et le Centre de Culture Scientifique « Science animation », SISQA est le plus grand marché de la région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et le rendez-vous incontournable pour les amateurs de produits de qualité.

Pour sa 14^ème édition, SISQA accueillera près de 200 producteurs venant de toute la région. Ils présenteront les 250 produits sous signe officiel de qualité et d'origine (SIQO) de la nouvelle région, la 1^ère région d'Europe dans ce domaine. A cette occasion, les visiteurs pourront découvrir et rencontrer 19 exposants aveyronnais qui présenteront leurs métiers et leurs produits :

 Sur le Marché des spécialités régionales : Maison Bouard, de Millau : fouace, flaune de Millau, sacristains, tortillons, sablés au Roquefort ; Brasserie d'Olt, de Saint-Geniez D'olt: bières artisanales, limonade ; Distillerie artisanale Gayral, de Savensa: apéritifs, liqueurs, Eau de Vie ; La Naucelloise, de Naucelle: tripoux, tripes, pâtés, jambonneaux ; la Brasserie de l'Aveyron, à Onet-le-Château: bières artisanales B12 ; Marius Bonal, d'Onet-le-Château : liqueurs, apéritifs.

Sur le Marché des Produits fermiers : Moulin Mejane, d'Espeyrac: huile de noix, huile de noisette, huile de colza bio, sachets de cernaux de noix et de noisettes, farine Bio ; Les fromages de la Besse, de Villefranche de Panat: fromages de brebis au lait cru, fromages de brebis au lait pasteurisé : bleu et briques, viande de bœuf Aubrac et Black Angus sous vide, charcuterie de bœuf, burgers Aubrac et Angus, sssiette de viande grillée ; Ferme de la Chataigneraie, de Saint-Hippolyte : produits à base de châtaigne (crèmes, farine, liqueur, soupes, gâteaux...) ; La Ferme de La Rivière, de Najac: Gâteaux à la broche.

Sur le Marché des Produits labellisés/ Qualité et Origine : Syndicat de défense du Bleu des Causses, d'Onet-le-Château: Bleu des Causses AOP ; Fromagerie Les saveurs de la tour, de Millau : Roquefort « Gabriel Coulet » AOP ; Association Perail, à Millau : Pérail AOP en cours ; Coopérative Jeune montagne, de Laguiole : Laguiole AOP, Aligot de l'Aubrac (IGP en cours) ; Fromages & terroirs, de Roquefort-sur-Soulzon : Roquefort « Société » AOP/AOC , Pérail AOC en cours ; Roquefort Carles, de Roquefort-sur-Soulzon : Roquefort CARLES Maître Artisan AOP ; Coopérative fromagère des bergers du Larzac, de La Cavalerie : Fromages de brebis AB ; Association boeuf fermier Aubrac, à Rodez : Boeuf fermier Aubrac Label Rouge ; Interprofession régionale du Veau d'Aveyron, de Rodez : Veau d'Aveyron et du Ségala Label Rouge.

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La sixième édition de JobsTIC Aveyron, le salon du recrutement dans le secteur numérique, s'est tenue récemment à la salle des fêtes de Rodez.

Cette édition, organisée par l’association SisMiC, avec le soutien de Rodez Agglomération, a vu 15 entreprises, proposant une 30 d’offres d’emploi, et autant d’offres de stages, accueillir près de 250 personnes en recherche de leur futur employeur ! Des chiffres d’affluence une nouvelle fois très importants, montrant ainsi le dynamisme de ce secteur économique qui recrute, mais également le grand intérêt qu’il suscite. 5 partenaires, organismes de formation, écoles, et accompagnateurs des personnes en recherche d’emplois étaient également présents comme la cellule Aveyron Vivre Vrai. Le secteur attire de plus en plus de personnes externes au département, et les accueillir au-delà de l’aspect professionnel devient alors un enjeu majeur, notamment dans le cadre du plan « 300 000 Aveyronnais en 2020 » ! Pour la première fois cette année, deux conférences ont également eu lieu dans le cadre du salon. Leur objectif était de sensibiliser les demandeurs d’emploi d’un côté, et les recruteurs de l’autre, à l’importance des technologies numériques pour favoriser le recrutement. Un vrai succès pour cette nouveauté avec une trentaine de participants sur ces deux animations. Au-delà du salon, et en attendant la prochaine édition en 2017, l’ensemble des personnes en recherche d’emploi dans le secteur sont invités à se rendre sur la page Facebook animée tout au long de l’année par l’association : https://www.facebook.com/JobsticAveyron

Par ailleurs, l’association SisMiC, en partenariat avec les CCI de l’Aveyron, du Lot et de la Lozère organise une grande enquête sur les usages du Très Haut Débit dans les entreprises.

Pour y participer, rendez-vous sur http://thd.sismic.org/

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Organisées pour la troisième fois en Aveyron, les Rencontres du Crédit Agricole ont récemment mis à l’honneur des acteurs de la transformation numérique : des entrepreneurs locaux, nationaux et internationaux venus témoigner de leur expérience devant un parterre d'invités.

Grâce à leur témoignage, ont été mises en évidence "les racines et les ailes" de nos territoires au travers de leur vision de l’entreprenariat et du numérique, au service de l’humain. En préambule, l’animatrice de la soirée, Emmanuelle Leneuf, a évoqué sa transformation personnelle de "gratte-papier" traditionnel (ancienne journaliste parisienne à la Lettre de l’Expansion) en éditorialiste digitale : elle diffuse tous les jours à 7h30 auprès de 24 000 abonnés, dix informations-clef en lien avec l’actualité sur son compte Twitter, baptisé FlashTweet.

Une table ronde qu’elle a animée par la suite, a fait se rencontrer André Valadier, acteur de la relance du fromage de Laguiole et fondateur de la coopérative Jeune Montagne et Julien Caplat, co-gérant de la société Bienmanger.com, installée à La Canourgue. Issus du même pays de l’Aubrac, la comparaison entre ces deux belles personnalités ne s’arrête pas là; tous deux s’accordent sur les propos d’André Valadier : "La tradition sans la modernité est stérile et la modernité sans la tradition est aveugle!" Unis par une même volonté –proposer au consommateur des produits de qualité façonnés par un territoire et des Hommes– ils ont échangé sur les atouts du numérique et du e-commerce valorisant des savoir-faire locaux. "Le terroir doit être acteur et non support du produit." Aujourd’hui, le panier moyen des produits issus de l’Aubrac est valorisé à 25 % de plus. Ce rapprochement n’est pas neutre lorsque Julien Caplat évoque les débuts de l’épicerie en ligne créée avec son frère, Laurent, en l’an 2000. BienManger.com est aujourd’hui devenu un groupe prospère qui compte trois entités distinctes : le site internet, la boutique Lozère Authentique en bordure de l’A75 et une agence de communication spécialisée en web design et dans les sites marchands. Julien Caplat rebondit sur l’intérêt du numérique pour nos campagnes : "Le digital est au service de la ruralité permettant de faire découvrir la gastronomie locale aux particuliers du monde entier." Cet homme, fervent amateur d’idées de développement à grande échelle (comme proposer prochainement du semi-gros aux professionnels et aux restaurateurs) s’adapte aussi à la demande des gens du pays lorsqu’il ouvre un "drive" à Séverac-le-Château pour desservir une clientèle locale et gourmande.

Le terroir et le e-commerce sont définitivement compatibles, les outils digitaux pouvant aisément diffuser, entretenir et préserver le lien entre un produit et son pays.
Autre moment fort de la soirée, le témoignage, via une communication vidéo Skype, d’Yseulys Costes, fondatrice et dirigeante de la société 1000Mercis. A la tête d’une "petite société de 500 personnes" spécialisée dans le marketing relationnel interactif aux Etats-Unis, cette aveyronnaise d’origine a su charmer l’auditoire avec un naturel émouvant. Livrant son expérience d’entrepreneuse, elle affirme : "On avait besoin d’aller se confronter, d’aller se frotter à la compétition internationale, et la bonne nouvelle, c’est qu’on voit qu’on est largement au niveau. Il y a beaucoup de talents en France, où il faut se désinhiber et ne pas douter de nos compétences." Enfin, elle encourage l’auditoire. "Il ne faut pas être dépendant des grands et du monopole que détiennent les Etats-Unis, mais oser s’expatrier et montrer notre savoir-faire à l’étranger."

En conclusion de ces rencontres nourrissant la problématique de la transformation numérique, Jean-Jacques Calcat, et Pierre Cambefort, respectivement, président et directeur général du Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées, ont fait le lien avec la rénovation actuelle des 110 agences d’une banque qui se veut "locale et digitale".

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Chaque année, les bijouteries Roux-Histoire d'or constatent à quel point le diamant reste une valeur sûre pour tous ceux qui recherchent un cadeau exceptionnel et durable.

Alors que les modes et tendances vont et viennent, le diamant, lui, est de toutes les collections et s'impose comme l'un des plus solides best-sellers à l'approche de Noël. « Ce n'est guère étonnant, explique Antoine Roux : le diamant, symbole de puissance et d'éternité, est la la pierre la plus brillante au monde. De plus, elle s'adapte à tous les styles de bijoux et traverse toutes les modes. Grâce à notre réseau, nous nous fournissons directement à Anvers, la capitale mondiale des diamantaires, ce qui nous permet de proposer tous types de pierres, qu'elles soient destinées à être montées en bijou ou qu'il s'agisse de placements. »

C'est ainsi que les bijouteries Roux ont peu à peu élargi leur gamme et proposent aujourd'hui une offre diversifiée et compétitive, avec des bijoux issus des collections Histoire d'Or ou des pièces uniques fabriquées dans l'atelier ruthénois. Mathieu et Mathieu, les bijoutiers-joaillers de l'entreprise, peuvent réaliser tous les rêves de bijoux exclusifs, grâce à un savoir-faire traditionnel associé à des outils ultra-modernes tels que la conception et l'impression 3D ou la soudure laser. « Selon la nature du projet, nous pouvons faire venir spécialement plusieurs pierres parmi lesquelles le client peut choisir exactement celles qui seront montées sur le bijou de ses rves et en feront une pièce exclusive », ajoute encore Antoine Roux.

Maryline Monroe, qui était loin d'être une sotte, avait parfaitement compris que le diamant est le meilleur ami de la femme. Et les bijouteries Roux-Histoire d'Or sont les meilleures amies du diamant...

Quatre boutiques à Rodez (rue Neuve), Onet-le-Château (galerie Géant), Villefranche-de Rouergue (galerie Leclerc) et Albi-Lescure (galerie Leclerc).

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Depuis sa création en 2005, le concept de Bernard Salinier n'en finit pas de séduire particuliers et professionnels, avec sa multitude de préparations et saveurs tirées du fruit et des végétaux.

Au début, il y a avait des salades, des compotes, des jus et des confitures. Puis s'est petit à petit ajoutée une myriade de saveurs nouvelles nées de l'esprit curieux et gourmand de Bernard Salinier : chutneys, crèmes de légumes, condiments, sirops, fruits secs... Des centaines de références. Tant et si bien que son concept, l'Artisan du Fruit, ne cesse de grandir et de convaincre de nouveaux clients. Parmi eux, les professionnels des métiers de bouche sont de plus en plus nombreux. Ils trouvent chez Bernard Salinier, des saveurs qui accompagnent leur cuisine ou complètent leurs propres gammes de produits.

L'Artisan du Fruit propose également aux entreprises des colis cadeaux qui, en cette fin d'année, sont autant d'ambassadeurs du bon goût auprès de leurs meilleurs clients, partenaires ou collaborateurs. « Nous confectionnons sans délai et sur-mesure des colis qui associent diverses saveurs, toutes végétales », confirme Bernard Salinier. Parmi les recettes qui surprennent et emballent, les crèmes salées pour l'apéritif baptisées Tartinelles : petit pois-wasabi, champignon de Paris-mousseron-persillade, asperge-ail des ours, pois chiche-sésame noir... Les fruits secs Grapille : fruits exotiques-noix de macadamia, gingembre-poivre de Timut, amande-vin de Marcillac-échalote, noix-miel-thé d'Aubrac... Pour accompagner le foie gras : chutney poire-coing-pain d'épices...

Il est possible d'obtenir le catalogue complet sur demande à contactpro@artisandufruit.com

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Même si le contact humain et la chaleur d'une conversation restent les valeurs les plus sûres (et la vraie plus-value) du commerce selon Magali Cros, la commerçante ruthénoise utilise de plus en plus les réseaux sociaux pour entretenir le lien avec les clients.

En 27 ans de présence dans le paysage commercial de Rodez et, au-delà, de tout l'Aveyron, la boutique Cactus s'est construit une solide réputation auprès d'une clientèle exigeante, à la recherche de décorations, petits meubles, luminaires et arts de table. L'enseigne est ainsi devenue une référence en matière de design créatif et pétillant, un refuge du bon goût joyeux.

Toutefois, même si Cactus est devenu une sorte d'institution, la somnolence n'est pas dans ses gènes. De même que l'enseigne ne cesse de rechercher toujours de nouvelles signatures, elle a aussi appris à utiliser les réseaux sociaux. Depuis quelque temps, Cactus, en effet, est présent sur Facebook et Instagram où la boutique présente et commente ses dernières trouvailles. « Ça marche bien, s'enthousiasme Magali Cros. Récemment, nous avons organisé un jeu sur Facebook, qui a été vu par 35000 personnes ! »

L'idée n'est pas tant de sacrifier à la mode ou de faire de la publicité à bon compte que d'entretenir le lien avec les clients et de donner du sens au choix des produits qu'elle propose. Ainsi, chaque message posté s'applique à présenter l'histoire des produits et la démarche du créateur. Grâce à Instagram, Cactus relaie également les images diffusées par les designers et les fabricants. « Aujourd'hui, les clients veulent voir avant de se déplacer pour, éventuellement, acheter, ajoute Magali Cros. Les réseaux sociaux nous permettent d'apporter un service complémentaire et un gain de confort à nos clients. »

Ce supplément d'efficacité vaut autant pour la boutique grand public Cactus, que pour l'activité Diversion par Cactus, qui propose d'accompagner les professionnels dans l'aménagement, l'ameublement et la décoration de bureaux et espaces de travail.

Facebook : cactusrodez
Instagram : cactuslegendary
Web : cactusrodez.com

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La vendange 2016 dans le vignoble de Marcillac se révèle exceptionnelle à tous points de vue. Une aubaine pour la cave coopérative qui prévoit de gros investissements pour les prochaines années.

Jusqu'au dernier moment, les vignerons seront restés dans l'expectative. Cette année 2016 s'est montrée particulièrement facétieuse pour eux : un printemps pourri, un bel été et un automne qui a tardé à apporter la dernière touche. Puis, au moment des vendanges qui ont eu lieu plus tard que d'ordinaire, un beau cadeau de la nature : du raisin de grande qualité et en abondance exceptionnelle. Le cru 2016 est promis à rester dans les mémoires des vignerons comme des amateurs de vin.

C'est là une bonne nouvelle pour la cave coopérative des Vignerons du Vallon, qui prévoit d'importants investissements pour les deux prochaines années. Poursuivant son essor vendange après vendange, la cave ne cesse de se développer et de gagner de nouveaux marchés. Tant et si bien qu'elle arrive désormais à un nouveau seuil qui lui impose une restructuration. « Il faudrait que nous puissions agrandir le caveau, explique Kasper Ibfelt, le directeur de la coopérative. Notre projet porte autant sur de nouveaux aménagements pour l'accueil des clients que sur le développement de notre outil de production. Il faudrait que nous puissions donner à nos vignerons de meilleures rémunérations et les moyens de travailler toujours plus proprement. Pour cela, il faut que trouvions de nouveaux moyens financiers ; il est donc nécessaire d'avoir plus de production à vendre et des réseaux de distribution qui nous garantissent de meilleures marges. Cette vendange 2016 arrive à point nommé. »

Savoir plus : www.vigneronsduvallon.com

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La librairie de Rodez propose une offre exceptionnelle d'ouvrages à l'occasion des fêtes de fin d'années et mobilise toutes ses équipes pour un conseil éclairé.

Chaque année, à l'approche des fêtes de fin d'année, la Maison du Livre s'anime d'une agitation toute particulière afin de répondre aux attentes des clients qui s'y précipitent à la recherche d'une valeur sûre du cadeau : le livre. A cette occasion, la plus grande librairie de la région fait entrer en rayon quelque 20000 références de plus qu'en temps ordinaire. Littérature, jeunesse, cuisine, sports et voyages, essais, beaux arts, sans oublier les innombrables livres sur l’Aveyron, CD, DVD : il y a forcément dans les différents univers de cette vénérable maison le cadeau qui fera mouche.

Et, parce que les libraires ruthénois savent que les livres racontent tous des histoires et que les histoires sont des objets vivants, ils ajoutent à leurs conseils des propositions d'animation : dédicaces presque chaque jour, débats, rencontres. Le programme ne faiblit pas, y compris à l'approche de Noël.

Dans ces jours précédant Noël, ce sont plusieurs milliers de livres qui sont vendus au quotidien. Pour le libraire ruthénois, le mois de décembre représente plus de 15% du chiffre d’affaires de l’année.

La Maison du Livre fournit aussi beaucoup d’entreprises aveyronnaises pour leurs cadeaux en livres destinés à leurs clients et leurs salariés. Elle propose également des chèques cadeaux.

Savoir plus : www.maisondulivre.fr

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La Chambre de Métiers et d'artisanat de l'Aveyron réunit de nouveau plusieurs artisans d'art du département dans une boutique éphémère, rue Neuve à Rodez. On peut encore en profiter quelques jours avant Noël.

La première expérience du genre avait beaucoup plu, autant aux artisans exposants qu'aux visiteurs et clients. Il était naturel, dès lors, que la Chambre de Métiers de l'Aveyron propose cette année encore une boutique éphémère à l'approche de Noël. Comme l'année dernière, au numéro 8, de la rue Neuve à Rodez, plusieurs artisans d'art du département (31, pour être précis) exposent leur savoir-faire. Bijoux, céramiques, poteries, papiers, coutellerie, maroquinerie, ébénisterie, vannerie, vêtements... Uniquement des objets créatifs qui font autant de cadeaux potentiels en cette période de fête.

Les artisans :  Anne-Laure Bérodier (Poterie, Valady), Eric Blanchard (Céramique, Peyrusse le Roc), Denys Bourdon (Forge et coutellerie,Espeyrac), Marie-Do Bourdon-Belin (Bijoux en métaux précieux, Espeyrac), Thierry Breuvart (Céramique, Rieupeyroux), Virginie Cannevelle (création de carnets, Aguessac), Catherine Cazes (Perle en verre, bijoux, Sainte-Eulalie-d’Olt), Bruno Chartier (Tourneur sur bois, Félix-de-Sorgues), Laurent Chuillet (Bois, plastique et design, Foissac), Françoise Clarion (Travail du verre, Onet-le-Château), Jane Galinier (Travail du carton, Nant), Nathalie Garin (Céramique, Onet-le-Château), Geneviève Gey (Articles Mohair, Saint-Rome-de-Cernon), Nicolas Goubioud (Ebénisterie, Sauveterre-de-Rouergue), Chantal Lafragette (Vannerie,

Asprières), Sébastien Lacam (Tourneur sur bois), Anne-Hélène Le Bras & Benoit Girault (Vitrail et peinture, Capdenac-Gare), Monika Line-Golz (Vêtements et accessoires, Sébrazac), Jean Marty (Ebéniste, Rieupeyroux), Julia Nègre (Maroquinerie, La Bastide-L’Evêque), Patricia Noéro (Céramique, Morlhon-le-haut), Florence Olmi (Mosaïque d’art, Cransac), Christian Poirier (Sculpture et bijoux, Muret-le-château), Mathilde Poulanges (Artiste bibliophage), Julie Quéroux (Céramique, Saint-Urcize), Perrine Puchoultres (Vêtements pour enfants, Onet-le-Château), Patrick Rames (Poterie Céramique, Coubisou), Eliane Regimbau (Céramique, Comprégnac), Xavier Rivoire (Tourneur sur bois, Saint-Izaire), Boris Alexis (Sculpture sur pierre, Laval-Roquecézière), Magali Vermeersch (Plasticienne).

Ouvert jusqu'au 24 décembre inclus, de 10h à 19h

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Ce vendredi 16 décembre, Pascal Mailhos, préfet de Région Occitanie, a procédé à l’installation des  86 membres de la nouvelle CCI de région, réunis en assemblée générale à Blagnac.

En étant élu, l’actuel Président de la CCI de Toulouse, Alain Di Crescenzo devient ainsi le premier président de la Chambre de Commerce et d’Industrie  de la région  Occitanie.

Le nouveau bureau se compose de 21 élus, parmi lesquels deux élus de la CCI Aveyron : le Président Dominique Costes  et Bernard Dalmon.

Président : Alain Di Crescenzo ; 1er vice-président : André Deljarry (Président CCI de l’Hérault) ;  sont de droit vice-présidents les présidents des CCI territoriales : Paul-Louis Maurat (CCI de l’Ariège),  Bernard Ballester (CCI de l’Aude),  Dominique Costes  (CCI Aveyron), Francis Cabanat (CCI du Gard), le futur Président de la CCI de Toulouse, Rémi Branet  (CCI du Gers), Thomas Chardard  (CCI du Lot),  Thierry Julier (CCI de Lozère), François-Xavier Brunet (CCI des Hautes-Pyrénées), Bernard Fourcade (CCI des Pyrénées-Orientales), Michel Bossi (CCI du Tarn) et Jean-Louis Marty (CCI du Tarn et Garonne) ; Trésorier : Didier Gardinal (81), Trésorier adjoint : Stéphane Mouton (34), Secrétaires : Eric Giraudier (30) et Martine Labadie (31) ; Membres : Nathalie Candalot (65), Jean Caizergues (11) et Bernard Dalmon (12).

Déjà très impliqué au niveau régional, au cours du précédent mandat, en tant que 1er Vice-Président de la CCI Midi-Pyrénées et Président de CCI International Midi-Pyrénées, Alain Di Crescenzo entend relever le défi de la transition, au côté des élus des 13 territoires qui composent désormais la nouvelle région Occitanie : « Nous devons bâtir une nouvelle CCI. Une CCI où toutes nos actions devront rimer, pour nos entreprises, avec simplification, compétitivité et croissance. Pour cela, nous devons connecter nos CCI à leurs entreprises et à leurs écosystèmes. Aussi, le mot d’ordre de notre mandature sera de faire de notre nouvelle CCI d’Occitanie, une CCIR connectée : à son temps, ses missions, ses CCI territoriales, ses entreprises, ses institutions régionales et à ses trois éléments naturels : l’Air, la Mer et la Terre. »

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La commission permanente du Conseil départemental, qui s’est réunie à Rodez vendredi 16 décembre,  a voté près de 2,5 M€ de crédits pour soutenir l’attractivité de l’Aveyron.

Cette démarche passe essentiellement par les programmes en direction des communes et des communautés de communes, en soutien à leurs équipements et actions pour l’amélioration des services de proximité et le cadre de vie.

De la création de multiservices aux aménagements de salles des fêtes et socioculturelles en passant par l’installation de distributeurs automatiques de billets, la construction d’espaces associatifs, les opérations «cœur de village », les travaux de voirie, les opérations culturelles ou touristiques ou  la formation, il s’agit pour le président du Conseil départemental, « de mettre en œuvre de façon très concrète  le projet de mandature qui se construit sur l’attractivité de l’Aveyron pour atteindre le cap des 300 000 habitants ».

L’adoption du principe d’un cadre (un groupement d’intérêt public) pour la mise en place d’un outil de mutualisation au bénéfice des politiques territoriales et départementales d’accompagnement de l’économie va dans ce sens, estime Jean-Claude Luche.

«Au 1er janvier prochain, la carte de l’intercommunalité sera redessinée… La plupart d’entre elles restent de taille modeste et bien souvent ne disposent pas de moyens logistiques nécessaires pour accompagner les acteurs territoriaux auxquels ils s’adressent. Le Département a également des besoins dans le domaine de l’attractivité territoriale et du marketing territorial, de l’insertion par l’activité économique et de l’emploi. La satisfaction de ces besoins rend nécessaire la construction d’un projet basé sur la mutualisation et les complémentarités de nos moyens existants», estime le président du Conseil départemental. Pour Jean-Claude Luche, cette initiative s’entend en «parfaite complémentarité des objectifs et des moyens » dont souhaite se doter la Région dans l’accompagnement des entreprises et en partenariat avec les chambres consulaires

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Daniel Faribeault et Jean-Christophe Vergne, ont respectivement écrit et dessiné une fiction historique conduisant le lecteur sur les pas d'un enquêteur qui doit fait la lumière sur un assassinat commis dans le Rodez du XIVe siècle.

Quand Daniel Faribeault ne dirige pas les concessions Citroën de Rodez et de Figeac, il écrit. Il a déjà publié un polar en 2004 et vient de signer le scénario d'une bande dessinée réalisée avec la complicité du dessinateur Jean-Christophe Vergne. « J'aime écrire, j'aime l'histoire, j'aime labande dessinée, mais j'ai un métier », glisse Daniel Faribeault, comme pour s'excuser de n'être pas plus prolifique.

In Vino Veritas, titre de la BD, est une fiction historique située à Rodez au début du XIVe siècle. Respectant à la lettre le contexte historique de l'époque, Daniel Faribeault déroule le fil d'une enquête policière à la suite de l'assassinat, à Rodez, de Bertrand de Got, neveu du pape Clément V, premier pape siégeant à Avignon. La capitale rouergate, comme bien d'autres villes en France, est alors sous le double contrôle des évêques, installés dans la Cité et des comtes, résidant au Bourg. Entre les deux : des murs d'enceintes et une rivalité qui se manifeste par des échauffourées fréquentes. Pendant ce temps, le roi Philippe le Bel fait régner l'ordre avec autorité, après avoir fait arrêter tous les Templiers, dont ceux de la région croupissent dans les geôles de la forteresse de Najac.

Dans ce contexte, l'enquêteur spécialement dépêché par le roi, Roger La Tronquière, doit trouver les auteurs du crime et comprendre leurs mobiles. En 48 pages d'une BD de facture classique, Faribeault et Vergne révèlent un Rouergue historique qui sert parfaitement les intérêts du suspense et de l'aventure de cette enquête.

« J'avais cette histoire dans mes tiroirs depuis quelque temps déjà, raconte Daniel Faribeault. Ma rencontre avec Jean-Christophe Vergne m'a encouragé à la reprendre en main et, avec l'aide de l'éditeur, nous avons travaillé dessus pendant plus d'un an. »

La BD est diffusée depuis quelques semaines et a déjà convaincu de nombreux lecteurs. A tel point qu'une traduction en occitan est en cours de préparation avec Jean-Louis Courtial. Par ailleurs, Daniel Faribeault, qui a clairement identifié le passe-temps qui accompagnera sa future retraite, a commencé l'écriture d'une nouvelle bande dessinée historico-policière, dont l'intrigue se situera en 1533, à l'occasion du passage à Rodez du roi François 1er.

In Vino Veritas, de Faribeault et Vergne, aux éditions YIL, 48 pages, 15€, en vente dans toutes les librairies.

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