A la suite des élections du 19 octobre dernier, les élus de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat se sont réunis pour constituer leur nouveau bureau et désigner ceux d'entre eux qui siégeront à la chambre régionale.

Le nouveau bureau des composé comme suit.

Présidente : Christine Sahuet ; 1er vice-président : Jacky Brossy ; 2e vice-président : Laure Soulie-Deltell ; 3e vice-président : Pierre Azemar ; trésorier : Véronique Druilhe ; trésorier-adjoint : Alexandre Saquet ; secrétaire : Bernard Flaugeac ; 1er secrétaire-adjoint : Josiane Mayrand ; 2e secrétaire-adjoint : Olivier Saleil ; 3e secrétaire-adjoint : Marie Jeanjean ; 4e secrétaire-adjoint : André Malaval ; 5e secrétaire-adjoint : Nicolas Artières.

Les 25 élus de la CMA de l'Aveyron sont Christine Sahuet (serrurerie) Espalion, Jacky Brossy (réparation auto), la Primaube, Laure Soulie-Deltell (esthétique) Druelle, André Malaval (électricité chauffage) Millau, Bernard Flaugeac (mécanique) Villeneuve, Véronique Druilhe (boulangerie) Rodez, Laurent Bon (chauffage), Flavin, Patrice Riviere (céramiste) Millau, Pierre Azemar (boucherie) Rodez, Josiane Mayran tp-carrière Espalion, Olivier Saleil (électricité chauffage) Luc la Primaube, Rolande Vidal (boucherie charcuterie) Saint Jean du Bruel, Alexandre Saquet (réparation auto) Nant, Marie-Christine Meyrieux (carrelage) Millau, Mathieu Regourd (fabrication plats cuisinés) Bruejouls, Patrick Blanc (couverture zinguerie) Saint-Geniez d’Olt, Marie Jeanjean (fleuriste) Millau, Cathy Capelle Blandinières (coutellerie) Espalion, Nicolas Artières (carrosserie) Millau, Nadine Couderc-Vernhes (taxi) Lioujas, Francis Cayron (travaux publics) Boisse-Penchot, Muriel Mazars (maçonnerie) Toulonjac, Philippe Marchandot (tapisserie) Rodez, Michel Frayssou (coutellerie) Laguiole, Corinne Lavernhe (optique) Decazeville.

Les 7 premiers de la liste siègent également à la Chambre régionale de Métiers et de l'Artisanat.

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L'établissement thermal aveyronnais a atteint cette saison l'objectif symbolique de 5000 curistes, justifiant les importants investissements qui y sont réalisés depuis une quinzaine d'années.

Depuis l'ouverture en 2003, du nouvel établissement, les thermes de Cransac ne cessaient de courir après l'objectif de fréquentation de 5000 curistes en une saison. C'est désormais chose faite avec la venue, en cette première semaine de novembre, d'une curiste en provenance du Tarn, la 5000e. Après avoir flirté plusieurs fois avec ce résultat, l'établissement est donc parvenu à ce chiffre symbolique, correspondant peu ou prou à la moyenne des curistes qui fréquentaient les thermes cransacois à la fin du XIXe siècle, au moment de leur apogée avant l'arrivée de la mine et de la sidérurgie.

Riche d’une histoire de près de 3 000 ans, le thermalisme cransacois a été réactivé en 1963, après plus de 60 ans d’interruption. Il aura donc fallu plus d'un demi siècle pour qu'il retrouve sa place sur les flancs de la Montagne qui brûle.

Afin de célébrer comme il se doit cet événement, la Chaîne Thermale du Soleil et la mairie de Cransac,en partenariat avec l’Office de Tourisme, organisent une cérémonie d’accueil de cette 5 000e curiste mi-novembre, en présence de Jean Puech, ancien Ministre, ancien Président du Conseil Général ayant œuvré à la réalisation de l’Etablissement Thermal avec Adrien Barthélémy, ancien PDG de la Chaîne Thermale du Soleil et Jean-Paul Linol, ancien Maire de Cransac.

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A l’issue du dépouillement qui s’est déroulé tout au long de la journée du 7 Novembre, les résultats des élections à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Aveyron sont désormais connus.

La liste « Pour une CCI Aveyron engagée, au service des entreprises et du territoire », menée par Dominique COSTES, est donc élue par 17,45 % des inscrits à ces élections qui ont eu lieu du 20 octobre au 2 novembre. Ce taux de 17,45 % est d'ailleurs le meilleur taux de participation des 8 CCI de Midi-Pyrénées.

Dans son collège (Services), la tête de liste Dominique Costes et sa suppléante à la CCI Régionale, Christiane Martin ont été élus avec 97,7 % des suffrages exprimés. Dans ce même collège Marc Sévigné et Marie-Paule Lacombe ont été élus avec 95,8 % des suffrages exprimés.

Dans le collège Commerce, Benoît Bougerol et Valérie Gay ont été élus avec 95,3 % des suffrages exprimés.

Et, dans le collège Industrie, Bernard Dalmon et Béatrice Veyrac ont été élus avec 95,4 % des suffrages exprimés.

Ces élus seront les représentants de la CCI Aveyron à la future CCI Régionale Occitanie.

L’Assemblée Générale d’installation de cette équipe de 40 élus, qui administrera la CCI Aveyron pour les 5 prochaines années, aura lieu le 21 novembre prochain.

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Demooz est une plateforme web inventée par l'Aveyronnais Geoffrey Vidal, qui permet aux personnes souhaitant acquérir un nouveau produit high-tech de l'essayer chez un particulier qui le possède déjà. Demooz sera bien sûr au salon Oninnov.

C'était en 2010 et le jeune castonétois était fraîchement diplômé de l'école d'ingénieurs informatiques de Rodez, 3IL. « Avec mon premier salaire, j'ai eu envie de m'offrir un vidéo projecteur de home cinema, raconte-t-il. Après avoir repéré sur le net le modèle qui me plaisais, j'ai cherché à voir comment cela fonctionnait en allant faire le tour des magasins. Impossible d'en trouver un en fonctionnement, jusqu'à ce que, par hasard, un ami m'apprenne qu'il venait d'en acheter un... ». Ainsi est née l'idée de Demooz. Quelques années plus tard, l'idée est devenue une startup pleine de promesse, qui a trouvé son modèle économique et convaincu des partenaires financiers, des marques internationales, des spécialistes reconnus (Demooz compte le fondateur de Yahoo ! parmi ses conseillers stratégiques) et quelques milliers d'utilisateurs. « Nous avons aujourd'hui un réseau de 30 000 « demoozers », les démonstrateurs volontaires, dans tout le pays, qui permettent aux intéressés d'essayer une centaine de produits différents », explique encore Geoffrey Vidal, qui a créé l'entreprise avec son père Régis et un jeune associé, Pierre Musso.

Parmi ces produits, il y a essentiellement des objets high-tech : tablettes, ordinateurs, matériel audio, vidéo, montres connectées, robots ménagers, jeux... Plus la valeur du produit est élevée, plus l'idée de l'essayer avant de l'acheter est pertinente. Demooz met donc en relation les acquéreurs potentiels et les possesseurs, gratuitement, afin qu'ils conviennent ensemble d'un rendez-vous à domicile ou dans un lieu public pour une démonstration ou un essai. C'est ce que l'on appelle le try and buy, forme de consommation collaborative appelée à un fort développement.

Pour l'heure, c'est surtout un public urbain qui utilise Demooz. La plupart des « demoozers » sont concentrés en Ile de France et dans les métropoles régionales. « « Notre objectif est d'atteindre 200 000 utilisateurs en France et en Europe, explique Geoffrey Vidal. Le marché du try and buy en est à ses balbutiements, tout est à inventer, mais il se développe à très grande vitesse. A nous d'y trouver notre place. » La plateforme pourrait également élargir la gamme des produits proposés à l'essai : bricolage, électroménager et même les automobiles. « Si vous souhaitez vous offrir une Lamborghini, mieux vaut vérifier avant si c'est vraiment la voiture qu'il vous faut », plaisante le jeune patron.

La plateforme Demooz n'intéresse pas que les particuliers. Depuis quelques mois, la startup a convaincu de grandes marques high-tech de signer des partenariats avec elle. « Nous leur faisons la promesse de disposer de show rooms chez des particuliers, qui sont équipés gratuitement de leurs produits en échange de leur accueil. Les marques nous rémunèrent sur les ventes réalisées à la suite de ces démonstrations. » Parmi ces partenaires, Demooz compte Devialet, fabricant français d'enceintes acoustiques très haut de gamme, les projecteurs, scanners et montres connectées Espson, l'entreprise Bleujour et son ordinateur le Kubb...

Demooz, dont la presse spécialisée et économique parle de plus en plus souvent, emploie aujourd'hui une dizaine de personnes. Le siège est à Bordeaux, mais l'équipe opérationnelle est basée à Toulouse.

Savoir plus : demooz.com

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Les coachs professionnels de l’Aveyron organisent une conférence pour promouvoir le coaching en Aveyron, lundi 21 novembre à 18h30, au Bowling du Rouergue à Rodez.

Si les premiers clients du coaching restent les grandes entreprises, nationales ou multinationales, les PME, comme les institutions publiques et les professions libérales commencent à y avoir recours, voire à intégrer le coaching dans leurs pratiques courantes. Car les PME se retrouvent bien souvent dans des valeurs communes et partagées avec l’approche de coaching et notamment le sens de l’opérationnel.

Toujours orienté solution, le coaching cherche à améliorer comportement et méthodes dans « l’ici et maintenant » et en partant de l’expérience. Tout comme la PME, il valorise l’opérationnel et le pragmatisme par rapport au politique. Mais le coaching reste encore peu utilisé en Aveyron…

Probablement parce que l’approche est encore méconnue et le terme souvent galvaudé. C’est en partie pour cette raison que les Coachs Professionnels de l’Aveyron se sont regroupés : promouvoir cette approche en Aveyron et montrer sa pertinence dans des situations diverses telles que transmission d’entreprise, restructuration, croissance, management pour lesquelles le coaching apporte une réponse rapide.

Après une première conférence qui s’est tenue en juin dernier, les Coachs Professionnels de l’Aveyron proposent une nouvelle conférence-échanges sur le thème « Le Coaching professionnel pour vous, entrepreneurs aveyronnais ». Cette conférence aura lieu le Lundi 21 novembre à 18h30 au Bowling à Rodez.

Une formule inter active pour présenter l’intérêt de cette approche, les bénéfices pour les entreprises et répondre à toutes les questions : qu’est-ce que c’est ? A quoi le coaching professionnel d’entreprise pourrait servir ? Comment ça fonctionne ? Combien ça coûte ?

Savoir plus : www.les-coachs-professionnels-aveyron.fr

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Le Salon international de la qualité alimentaire (SISQA) revient du 8 au 11 décembre prochains au Parc des expositions de Toulouse. Pour cette 14ème édition, SISQA s'agrandit et devient le plus grand marché de la région Occitanie, terre du bien vivre et du bien manger.

Près de 200 exposants seront répartis dans 3 nouveaux espaces pour présenter toute la richesse des produits issus des terroirs des 13 départements d'Occitanie Pyrénées-Méditerranée. Avec le Marché des Produits labellisés, SISQA offrira une vitrine exceptionnelle aux 250 produits officiels sous signe de qualité et d'origine que compte la région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, la 1ère région d'Europe dans ce domaine ! Chaque année, une vingtaine de producteurs aveyronnais font le déplacement au parc des expositions pour montrer et expliquer leur savoir-faire au grand public. Sur le « Marché des Produits fermiers », les producteurs amèneront eux-mêmes à la découverte des produits de leur ferme. Les gourmands pourront goûter le patrimoine gastronomique de l'Occitanie et découvrir ou redécouvrir les recettes traditionnelles au Marché des Spécialités régionales.

Pour la 1ère fois cette année, la marque régionale Sud de France sera présente sur le SISQA : un stand d'information dédié permettra au grand public et aux professionnels de mieux connaître la marque, les produits régionaux labellisés, ainsi que les modalités d'adhésion.

Et aussi au programme, des expériences sensorielles inédites et originales comme des dégustations en couleurs à l'aide de lunettes polarisantes, un atelier de créativité pour imaginer son restaurant loufoque ou encore une battle autour du vocabulaire des sens. Les secrets de la fabrication du pain seront dévoilés aux visiteurs qui pourront façonner eux-mêmes leur pâton de pain sur place. De nombreuses animations et démonstrations seront aussi réalisées par les 400 lycéens et apprentis des établissements de la région qui seront présents pendant toute la durée du salon. Espace historique et incontournable du SISQA, la Ferme fait également son retour et amènera petits et grands à la rencontre des animaux et des cultures de nos campagnes.

Organisé par la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée en coproduction avec l'Institut régional de la qualité agroalimentaire (IRQUALIM), la Chambre régionale d'agriculture (CRA) et le Centre de Culture Scientifique « Science animation », en près de 15 ans, SISQA est devenu un rendez-vous emblématique et incontournable de l'alimentation et des produits de qualité.

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Le 6e forum Jobs’TIC Aveyron se tient ce 17 novembre après-midi, à la salle des fêtes de Rodez, avec pour ambition de faire se rencontrer les professionnels du numérique qui recrutent et les personnes à la recherche d’emploi, stage ou contrat en alternance.

Jobs’TIC Aveyron est organisé par l'association SisMiC, grâce à la participation active de la Communauté Rodez Agglomération. Cette rencontre est ouverte à l’ensemble des entreprises, collectivités, organismes de formations, étudiants et demandeurs d’emploi du secteur. Afin de répondre à la demande croissante des entreprises confrontées à la rareté des compétences dans ce domaine, ce forum a également pour finalité d’attirer et de fidéliser de jeunes diplômés en informatique en Aveyron. Pour la première fois cette année deux conférences se tiendront en fin de journée, à 17h, pour appuyer sur l’importance du numérique dans les phases de recrutement.

Depuis ses premières éditions, le forum Jobs'TIC Aveyron fait se déplacer chaque fois une centaine de candidats qualifiés ; quelque 110 CV sont enregistrés au cours de ces journées, auxquelles participent bon an mal an une quinzaine d'entreprises. Chaque candidat voit en moyenne 3 entreprises et chaque entreprise reçoit une quinzaine de candidats, parmi lesquels un à deux ont droit à un entretien de pré-recrutement.

Le forum s'ouvrira à 15h par les interventions de Simon Bretin, président de Sismic, et Christian Teyssèdre, président de Rodez Agglomération. Les contacts et échanges commenceront à 15h30. A 17h seront proposées deux conférences : Laetitia Routaboul, directrice de Link Consulting, sur le thème : Comment agir avant, pendant et après son entretien de recrutement ? Quelques techniques à adopter ? Anne Andrau, consultante APEC, sur le thème : Recruter à l’heure du Digital. Quels sont les impacts du digital sur les pratiques RH ? Quelle est la place de l'offre d'emploi à l'heure du digital ? Quelles sont les nouvelles stratégies pour recruter digitalement ?

Renseignements et inscriptions :

http://www.sismic.org/jobstic/

https://www.facebook.com/JobsticAveyron

https://twitter.com/AssoSismic

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L'agence web de Rodez, Septime, lance une application inédite qui permet aux clubs de sports collectifs, quelque soit leur taille, de faire vivre la communauté de leurs supporters et de mettre en avant leurs sponsors. Elle sera présente, bien sûr, au salon de l'innovation Oninnov à Onet, du 25 au 27 novembre.

Septime n'a plus grand chose à prouver de ses capacités à développer des applications multimédias haut de gamme, au designs uniques et aux fonctionnalités au top de la technologie, pour des clients aussi exigeants qu'Ubisoft, Lacoste, Bourjois, Renault, SFR... Mais l'agence n'avait pas, jusqu'à présent, franchi le pas de l'édition de produits propres. « C'est une chose qui nous manquait et à laquelle nous pensions depuis un bon moment », explique Ulysse Lacombe, le fondateur et dirigeant de Septime, qui doit en parler au passé. Car voilà Live Sports Manager, la première application originale pour smartphone, sortie de l'imagination de l'équipe de Septime et dédiée aux petits clubs sportifs. Live Sports Manager comprend deux applications : l'une qui permet de publier facilement et en temps réel des informations sur un ou plusieurs matchs (score, évolution du jeu, moments forts de la rencontre...) ; l'autre qui permet de recevoir toutes les informations et notifications concernant le club et ses différentes équipes (commentaires de matchs, scores, agendas, photos...). L'application permet également d'établir des statistiques sportives pour une gestion plus efficace des performances de chaque équipe du club. Live Sports Manager permet enfin au club d'améliorer la visibilité de ses sponsors et soutiens à chaque lancement de l'appli.

Pour développer son application, Septime a travaillé en partenariat avec le club de rugby de Decazeville, le SCD, afin d'étudier les attentes et besoins réels d'un club, mettre au point les fonctionnalités les plus pertinentes. C'est la raison pour laquelle la première version de Live Sports Manager à être commercialisée est dédiée au rugby. Viendront prochainement des versions pour le football, le basket-ball, le handball et le volley-ball. « La commercialisation en est à ses balbutiements et nous avons déjà vendu l'appli au SCD et au Stade Rodez Aveyron Rugby », se réjouit Ulysse Lacombe, pensant aux milliers de clubs de sports collectifs que compte le pays.

Avec Live Sports Manager, Septime s'engage donc sur une nouvelle voie, celle de l'édition de produits numériques, qui va lui permettre d'élargir son marché à de nouveaux clients. « Nous avons quatre ou cinq autres idées dans nos cartons », explique le jeune patron, précisant toutefois que la prestation de service pour le compte de clients extérieurs reste l'activité première de l'agence.

Il est vrai que dans ce domaine-là, Septime s'est déjà fait un nom national, que l'on sollicite pour créer des sites internet de toute nature (vitrines, e-commerce, web marketing, advertgaming -jeu promotionnel-, animation 3D...), et des applications pour tous les écrans mobiles. De deux personnes à sa création en 2000, les effectifs de l'entreprise sont aujourd'hui d'une quinzaine de salariés qui couvrent tous les besoins métiers de l'agence. « Compte tenu que certains de nos principaux clients nous imposent des clauses de confidentialité, nous ne pouvons pas sous-traiter, explique Ulysse Lacombe. Nous avons donc dû intégrer toutes les compétences nécessaires : développement en mode natif, 3D, design, illustration, son, vidéo... Au cours des quatre dernières années, nous avons investi massivement dans les compétences pour applications mobiles. » D'ici trois à quatre ans, l'objectif de Septime est de doubler son chiffre d'affaires. Cette croissance lui est nécessaire pour atteindre un autre objectif : dupliquer toutes les compétences au sein de l'équipe pour plus d'efficacité, ce qui amènerait les effectifs à une vingtaine de personnes.

Savoir plus : live-sports-manager.com

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Le leader aveyronnais des métiers de la voirie viendra au salon Oninnov avec une véritable révolution : la route solaire qui produit de l'électricité. Le public pourra découvrir cette curiosité à Onet, du 25 au 27 novembre.

Chaque année, Colas Sud-Ouest entretient ou aménage plusieurs centaines de kilomètres de routes et de parkings en Aveyron. Le célèbre losange jaune sur fond orange, emblème de l'entreprise, est partout présent dans le paysage local. Et il sera présent au salon Oninnov avec un produit nouveau que le groupe a rendu public voilà un an, après cinq ans de recherche et de développement. Wattway, c'est son nom, est un concept de revêtement routier photovoltaïque unique au monde. Les dalles Wattway comprennent des cellules photovoltaïques enrobées dans un substrat multicouche. Ces cellules captent l’énergie solaire au travers d’une très fine feuille de silicium permettant de produire de l’électricité. Les dalles sont adaptables aux routes du monde entier et capables de supporter la circulation de tout type de véhicule, y compris les poids lourds. Très fines (quelques millimètres d’épaisseur) et pourtant résistantes, antidérapantes, conçues pour durer, les dalles sont posées et collées directement sur la chaussée, sans travaux de génie civil.

Dans les zones urbaines, Wattway est au cœur des enjeux de transition énergétique et repré­sente une solution pour les « smart cities ». Cette technologie solaire de rupture apportera une énergie renouvelable au plus près des lieux où la consommation d’électricité est la plus élevée et où la demande est en croissance constante. Dans les régions isolées, où la faible densité de population rend les coûts de raccordement au réseau électrique élevés, la route solaire permettra de créer des infrastructures de production d’énergie locales et pérennes, en circuit court.

En Aveyron, Colas est présente depuis 1929, ce qui en fait la plus ancienne entreprise de travaux publics du territoire. Depuis son siège d'Onet-le-Château, l'entreprise occupe la place de leader départemental des métiers de la route : voirie, réseaux divers, aménagements urbains... Environ 85% de son chiffre d'affaires relève de commandes publiques, mais elle travaille également pour des privés, entreprises de production ou de service, commerces, ainsi que pour des particuliers. Colas Sud-Ouest propose même aux agriculteurs un enrobé spécial conçu pour réaliser les sols des stabulations et les zones de manœuvre des engins agricoles.

Il faut s'attendre à voir aussi arriver en Aveyron, un ces jours, la route solaire Wattway.

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Le nouveau bureau de la Chambre de commerce et d'industrie a été officiellement installé. L'occasion, pour le nouveau président, de dessiner la feuille de route de la mandature qui commence.

La liste élue le 7 novembre, qui compte pas moins de 20 nouveaux venus, peut désormais se mettre au travail, à la suite de ce que le président sortant, Manuel Cantos, et son équipe ont réalisé durant une mandature particulièrement longue et animée. Afin que chacun sache ce qui l'attend, Dominique Coste, le nouveau chef de file, âgé de 61 ans, dirigeant de l'agence Aveyron Express à Rodez, passionné de sport automobile et de randonnée, n'a pas tardé à donner l'orientation qu'il entend donner à la CCI. « Nous avons devant nous un contexte politique et financier modifié fortement par rapport au mandat engagé en 2010, avec une grande région politique et consulaire qui va peser sur certains choix, sur les pratiques et sur les marges de manœuvre », a-t-il rappelé. Dominique Costes fait là allusion à la nouvelle CCI régionale « renforcée, incontournable » et qui peut faire « craindre une méconnaissance de ce qu'est la réalité économique de l'Aveyron. »

 « Nous nous engagerons pour défendre et promouvoir notre territoire », a-t-il insisté. « Nous devons préserver et structurer notre action économique de proximité. C'est la première priorité, avec un souci affirmé de relayer l'intervention économique et d'agir en faveur de l'entreprise en tous points du département. »

Le nouveau président a aussi identifié comme axe de travail important la nécessité de travailler en partenariat avec les intercommunalités et la région, auxquelles la nouvelle organisation territoriale a donné la compétence de l'action économique. « Nous devons exprimer auprès de ces partenaires les attentes des chefs d'entreprises et leur proposer nos services et nos compétences », explique Dominique Costes.

Autre point essentiel aux yeux du président : la régionalisation. Il propose, pour créer une ouverture entre le bloc toulousain et le bloc littoral Montpellier-Nîmes, de travailler à la création et à l'acceptation d'un bloc Nord-région, avec les départements limitrophes de l'Aveyron, le Tarn, le Lot et la Lozère. « Là, dans cette stratégie d'alliance, nous pesons 900 000 habitants », remarque-t-il. Et quelques belles entreprises industrielles et agroalimentaires qui comptent pour beaucoup dans la balance de l'économie régionale...

« Nous devons donc aborder cette mandature en conscience de cet environnement beaucoup plus contraint, d'une marge de manœuvre moins favorable, d'une exigence partenariale plus forte, d'un cadre régional incontournable dans lequel nous devons exister, nous imposer en tant que CCI Aveyron, mais plus encore dans une dimension nouvelle Nord-Occitanie », résume Dominique Costes.

La nouvelle équipe a choisi de fonctionner avec un bureau resserré de 10 membres qui se réuniront mensuellement. Le bureau : Président, Dominique Costes ; Vice-Président Délégué Industrie, Bernard Dalmon ; Vice-Président Commerce, Benoît Bougerol ; Trésorier, Jean-Paul Bouyssou ; Trésorier adjoint, Serge Clamagirand ; Secrétaire, Christiane Martin ; Secrétaire adjoint, Marc Sévigné ; Membres, Jean-Louis Albouy, Jean-François Boyer, Jean-Pierre Servant.

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Chambre de Métiers et Chambre de Commerce organisent conjointement une nouvelle édition du Forum de la transmission et reprise d'entreprises le 28 novembre, à Rodez.

La transmission des entreprises dans tous les territoires représente un enjeu majeur au niveau national. En Aveyron ce sont 2 000 chefs d’entreprise de plus de 55 ans du Commerce, de l’Industrie, des Métiers et de l’Artisanat qui vont progressivement cesser leur activité dans les années à venir.

Afin de faciliter la transmission de ces TPE, la sécurisation des parcours des créateurs/repreneurs, et ainsi soutenir la pérennité des emplois et de cette économie, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Aveyron et la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Aveyron co-organisent le Forum de la transmission et reprise d’entreprise. Il se déroulera le Lundi 28 novembre, de 9h30 à 17h dans les locaux de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l’Aveyron à Onet-le-Château.

A double vocation, ce forum permettra aux cédants, au travers de mini conférences et de rencontres d’experts, d’être sensibilisés et informés sur les modalités de transmission, d’évaluation et de calculs des retraites... Pour les repreneurs, un accent particulier sera mis sur la diffusion des 160 offres de reprises gérées par les deux organismes ainsi que sur les mesures d’accompagnement proposées par les Chambres Consulaires (financements, etc…) Ateliers, informations, entretiens individuels, les conseillers CMA, CCI Aveyron et Pôle Emploi seront à l'écoute des des visiteurs de ce « Forum de la transmission et reprise d'entreprise ». De plus, cette année, une présentation sera réservée aux Communautés de Communes afin d’étendre l’accès à ces dispositifs d’accompagnement proposés par les chambres consulaires.

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Carole Delga, présidente de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, a réuni à Montpellier, les élus de la Commission permanente. Près de 170 M€ ont été votés pour soutenir des projets sur l'ensemble des 13 départements de la région.

Un ensemble d'aides a été accordé à l'Aveyron, en faveur de l'emploi, l'attractivité et la solidarité du territoire. Dans le cadre de son Plan pour l'emploi et le BTP, lancé par Carole Delga en mars dernier, la Région intensifie ses efforts et accorde de nouvelles aides pour le lancement de chantiers prioritaires. La rénovation énergétique des bâtiments publics est au cœur de ce plan. 2 nouveaux chantiers sont soutenus dans le département, pour un montant total de 58 000€,  avec la réalisation de travaux de rénovation énergétique à la Maison des services de Cornus et à la Salle des associations de Drulhe. La Région accompagne également les projets exemplaires en matière de développement des énergies renouvelables. L'Association hospitalière Sainte-Marie est soutenue pour la réalisation d'une étude de faisabilité pour la réalisation d'une chaufferie bois. Cette opération s'inscrit dans le cadre de la restructuration de l'ESAT (Etablissement et Service d'Aide par le Travail) Sainte Marie, situé à Rodez. La Commune de Laguiole a également reçu une aide régionale pour la mise en place d'un réseau de chaleur fonctionnant au bois sur la commune.

Par ailleurs, une série de chantiers de mise en accessibilité de bâtiments publics est soutenue par la Région, notamment pour les équipements suivants : la bibliothèque de Saint-Affrique, le château de Castel Crémat à Saint-Jean D'alcapies, l'école de Saint-Laurent-D'olt. Au total, plus de 140 000€ de travaux seront financés.

Booster la compétitivité des entreprises régionales et l'emploi est la grande priorité de la Région. Lors de cette commission permanente, une aide de 90 000€ a été accordée à la Société de construction métallique du Rouergue, implantée à Rieupeyroux, pour la réalisation d'un programme d'investissement visant à augmenter ses capacités de production. Une extension de 2 300m2 de ses ateliers est notamment prévue.

La Communauté de Communes Millau Grands Causses a, quant à elle, reçu une enveloppe globale de près de 100 000€ pour accompagner le projet immobilier des entreprises Julien H et Bleu de Chauffe. Spécialisées dans la maroquinerie, elles se partagent actuellement un local devenu trop exigü. L'opération concerne la construction d'un nouveau bâtiment de 800m2, sur une superficie de 18 200 m2 sur la zone d'activités de Millau Ouest, qui permettra d'accompagner la croissance  de ces deux entreprises aveyronnaises.

La Région soutient également la création ou requalification de zones d'activités économiques de qualité et adaptées aux différents besoins des entreprises. La Commission permanente a voté une enveloppe de plus de 500 000 € afin de financer la 2ème phase de la requalification de la zone du Centre à Decazeville. Le projet consiste notamment à poursuivre les actions suivantes, sur la partie Ouest de la Zone du Centre : aménagements paysagers et liaisons douces avec le centre-ville, reprise du mur des Hauts Fourneaux, création d'un nouveau parking public, création d'un mail piétonnier dans le prolongement du mail créé dans la zone Ouest, réalisation d'une place publique sur une partie de l'emprise « Bétons du Rouergue ».

Par ailleurs, afin d'aider les éleveurs du département à réaliser des investissements pour moderniser leur exploitation, la Région a également a accordé une série d'aides, pour un montant total de plus de 231 000€, qui permettront d'accompagner 69 projets de modernisation.

Photo : Dans l'atelier Bleu de Chauffe de Saint-Georges de Luzençon

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Propre, c'est la marque lancée en juin dernier par Fabien, Odile et Mathieu, qui proposent des T-shirt bio, éthiques et fabriqués localement. En attendant que la garde robe Propre ne s'étoffe de nouveaux produits... A découvrir au salon Oninnov à Onet.

Parce qu'ils trouvent aberrant de faire faire près de 50 000 km à un simple T-shirt, entre le champ de coton et la boutique du coin de la rue ; parce qu'ils trouvent scandaleux d'utiliser un coton produit à grands renforts d'eau et de pesticides dévastateurs ; parce qu'ils sont pleins d'idées et d'idéaux, trois jeunes entrepreneurs aveyronnais ont inventé Propre. Tout le monde connaît la marque aux trois bandes, il faut maintenant compter avec la marque aux trois éthiques : environnementale, économique et sociale. C'est Propre. Pour l'environnement, Propre a opté pour un coton bio produit en Turquie (le pays producteur le plus proche). Pour l'économie, Propre a choisi le made in France, voire le made au plus près de l'Aveyron. Pour le social, Propre préfère la fabrication artisanale, dans de petits ateliers qui perpétuent des savoir-faire traditionnels et respectent les règles sociales françaises. Et pour les consommateurs, Propre a imaginé une collection de T-shirts pour femmes et pour hommes, vendus par internet.

« Nous avons cherché le chemin le plus court pour des textiles, raconte Fabien Burguière, l'un des trois jeunes fondateurs de l'entreprise, avec sa sœur Odile et leur ami Mathieu Lebreton. Le coton produit en Turquie est filé en Grèce. Ensuite, tout se fait en France : le tissage, la teinture, la confection, les étiquettes, le packaging... Parmi nos partenaires, nous avons deux ateliers situés dans le Tarn. »

Propre n'a que quelques mois d'existence et ne propose, pour l'heure, que des T-shirts. Mais le succès dépasse déjà toutes prévisions de la jeune équipe. Dès le lancement, la couleur avait été annoncée : Propre tablait sur 100 pré-ventes dans le cadre d'un financement participatif Ulule, il a reçu près de 1100 commandes. Puis les choses se sont emballées, au point que l'équipe a dû lever le pied sur la commercialisation pour ne se consacrer temporairement qu'à la production, afin de satisfaire toutes les commandes. Aujourd'hui, 4000 T-shirt Propres, environ, ont été produits et la petite entreprise peut de nouveau penser à son développement commercial. « Nous avons trouvé le bon rythme de production et le succès nous encourage maintenant à mettre en place un réseau de diffuseurs, en complément du site internet », projette Fabien Burguière. De la même manière, la petite équipe peut aussi penser à de nouveaux produits. « Nous allons commencer à dessiner une collection de sous-vêtements qui seront confectionnés avec toutes les chutes de fabrication des T-shirts que nous avons gardées, explique le jeune entrepreneur. La commercialisation devrait commencer en 2017. Avec les sous-vêtements Propre, on devrait pouvoir trouver des idées marketing amusantes pour se faire connaître et vendre nos produits. » Fabien, Odile et Mathieu en rigolent d'avance.

Savoir plus : le-tshirt-propre.fr

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A Rodez, la filiale électricité du géant du BTP s'appuie sur une équipe particulièrement innovante, qui ne cesse d'explorer de nouvelles voies technologiques, dont la robotique adaptée à la plupart des secteurs d'activités ou encore les objets connectés. A découvrir ce week-end au salon Oninnov.

Pour tout un chacun, Eiffage, ce sont ces équipes qui construisent des routes, de grandes infrastructures ou des viaducs gigantesques à Millau... Eiffage, c'est aussi Eiffage Énergie, 3e acteur du marché français dans les métiers du génie climatique et électrique, des télécommunications et de l’exploitation et maintenance des installations multitechniques. Et au sein de la direction régionale Occitanie, l'agence Eiffage Energie QRG (comme Quercy Rouergue Gévaudan) de Rodez joue un rôle un peu particulier, avec une forte propension à l'innovation.

Certes, le premier métier des 150 salariés d'Eiffage Energie QRG est de concevoir et mettre en œuvre tout type d'installation électrique et de système de génie climatique pour l'industrie et le tertiaire. « Il n'y a que dans le logement et le résidentiel que nous n'intervenons pas », résume Edmond Privat, responsable d'exploitation. En revanche, pour l'industrie, l'équipe ruthénoise s'est fait une spécialité des automatismes et des process de fabrication robotisés. Pendant des années, dans ce domaine, Eiffage Energie QRG s'est contenté du rôle de partenaire d'entreprises de mécanique de précision, telles SOFOP à Olemps, par exemple, pour lesquelles elle réalisait le câblage, la programmation et la mise en service de machines spéciales destinées à l'industrie automobile, à l'aéronautique ou à l'agroalimentaire. « Ces machines spéciales et lignes de production automatisées, intègrent de plus en plus des robots agiles et polyvalents que l'on peut réutiliser à d'autres fonctions selon l'évolution des fabrications, explique Edmond Privat. Dans ce domaine nous avons acquis de nouvelles compétences et, aujourd'hui, nous sommes en capacité de concevoir et de livrer nous-mêmes, clé en main, des solutions de process automatisés, après étude de faisabilité. » C'est pour répondre, en particulier, aux demandes de plus en plus nombreuses d'automatisation de certaines tâches dans l'agroalimentaire, qu'Eiffage Energie QRG a développé cette expertise. « L'industrie du roquefort, par exemple, nous sollicite beaucoup pour trouver des solutions de robotisation adaptées », souligne le responsable d'exploitation.

Fort de ces succès et confiante dans les capacités de son équipe de recherche et développement, l'entreprise a également conçu un prototype de distributeur automatisé d'aliment pour veaux en batterie. Le système a récemment été présenté au monde agricole, qui a semblé être très convaincu par la technologie imaginée à Rodez. « Jusqu'à présent, ce type d'automatisme provenait essentiellement des Pays Bas, explique Edmond Privat. Il n'y a pas de raison que nos éleveurs n'utilisent pas du matériel français. C'est ce que nous souhaitons leur proposer. »

Emportée par son élan innovateur, Eiffage Energie QRG s'intéresse aussi de plus en plus aux objets connectés, que l'entreprise commence à intégrer avec succès dans ses solutions.

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Dans le cadre de la semaine pour l’emploi et le handicap, le comité départemental de tennis et le club aveyronnais de la Fondation Agir contre l'Exclusion ont organisé conjointement une journée visant à rapprocher employeurs et personnes handicapées.

Près de 200 personnes ont assisté à cette après-midi conviviale animée par CFM Radio, à l'Amphithéâtre de Rodez. Elle a débuté par une table ronde autour du parrain de l’évènement, Eric Molinié, Secrétaire général de Dalkia, ancien président de la HALDE, du SAMU social et du Téléthon.

Ensuite, pendant que se déroulaient les rencontres de tennis de table et que des personnes valides tentaient de jouer en expérimentant des situations de handicap (déficience visuelle ou mobilité réduite), l‘espace dédié a permis de rapprocher recruteurs et public. Trente-cinq partenaires et  entreprises avaient fait le déplacement pour rencontrer les personnes en situation de handicap et demandeurs d’emploi d’échanger, échanger des informations et faire circuler les CV.

Fin juin 2016, près de 480 000 demandeurs d'emploi handicapés (DEBOE) étaient inscrits à Pôle emploi, représentant 8,6% de l'ensemble des demandeurs d'emploi. Outre le handicap, ils présentent toujours des difficultés particulières d’insertion - âge élevé (47% ont 50 ans et +), plus faible niveau de formation (74% ont un niveau inférieur au bac) - se traduisant notamment par une ancienneté moyenne d'inscription au chômage supérieure à 800 jours. Le handicap concerne 12 millions de Français. Entre 2011 et 2016, le nombre de personnes handicapées au chômage a augmenté de 65%, ce qui donne un taux de chômage des personnes handicapées (21%) deux fois supérieur au taux de chômage des personnes valides.

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Dans le cadre de son projet de mandat, la Communauté de Communes souhaite utiliser le numérique comme véritable outil d’attractivité. Pour ce faire la Communauté de Communes va investir pour relier l’ensemble des foyers de son territoire à la fibre optique d’ici 2020.

Dans quelques années, la communauté de communes du Lévezou (dix communes et 5500 habitants) sera l’un des seuls territoires ruraux en France à proposer ce type de desserte numérique par la fibre optique. Ce projet va tout d’abord répondre aux attentes des entreprises et habitants du Lévézou.

Nombreux sont les exemples qui démontrent l’omniprésence du numérique dans la vie des habitants des territoires ruraux et le besoin de connectivité optimale qui y est associé  : l’agriculteur qui déclare en ligne son dossier PAC, l’identification de son cheptel ou qui s’équipe d’un système de vidéo surveillance pour veiller en direct sur son exploitation, l’ensemble des télédéclarations des entreprises, la télémédecine rurale pour répondre aux besoins des professionnels de la santé, les entreprises qui travaillent en réseau, le e-commerce qui se développe, les professionnels du tourisme qui dispose d’une centrale de réservation en ligne, la promotion d’une activité, du territoire, d’un évènement,  etc… Le web, qui a depuis longtemps dépassé le statut de gadget pour geek urbain, devient et deviendra dans de nombreux cas l’unique possibilité pour déclarer, se renseigner, s’informer …

Dans ce monde numérique qui évolue rapidement, la qualité de la connectivité est un défi majeur. Le Lévézou, pionnier en la matière, aura une longueur d’avance sur les autres territoires et pourra ainsi accueillir des entreprises, professions libérales et populations nouvelles à la recherche d’une connexion internet digne de ce nom.

Afin d’introduire la réflexion, la Communauté de communes Lévézou-Pareloup organise une soirée-débat, autour d’un buffet, le Jeudi 1er décembre, à 20h30, à Vezins-de-Lévézou (Espace vézinois).

Des interventions d’acteurs du territoire et du Département, mobilisant le numérique, rythmeront la soirée qui sera clôturée par la diffusion en avant-première du clip de promotion Lévézou-Pareloup.

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La première édition du salon de l'innovation à Onet-le-Château a démontré la pertinence du concept et devrait connaître une suite dans les prochaines années.

Au terme de trois jours d'exposition, d'échanges et de découvertes, le salon Oninnov, premier salon aveyronnais consacré à l'innovation technologique, industrielle, sociale et environnementale, s'est terminé sur l'impression d'un succès qui en appelle d'autres. Durant la manifestation, la salle des fêtes d'Onet a accueilli quelque 2000 visiteurs curieux de voir ce que les entreprises aveyronnaises, les établissements de formation et les collectivités ont à montrer en matière d'innovation : robots, usine connectée, applications digitales, fabrication additive, dématérialisation, domotique, énergie propre, habitat écologique, smart ruralité...

Au-delà de sa fréquentation, la spontanéité avec laquelle les partenaires et entreprises (une cinquantaine) ont adhéré au projet, constitue une autre preuve de la pertinence du concept. Et tous les exposants de cette première édition peuvent aujourd'hui témoigner que ces trois journées furent fructueuses en échanges, contacts, voire affaires.

La présence d'un public étonnamment nombreux aux multiples conférences programmées tout au long du salon confirme également le sentiment d'une bonne idée qui mérite d'être reconduite dans les années à venir, tout comme l'implication des candidats au premier concours App'Challenge, consistant à présenter un prototype d'application mobile au service des usagers de la ville, du lien social ou du tourisme urbain.

Il est désormais probable que cette première expérience, souhaitée par la mairie d'Onet-le-Château et mise en œuvre par l'agence de communication PAC, aura une suite. Le challenge, dès lors, sera pour Oninnov, d'innover à chaque nouvelle édition.

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La communauté de communes du Pays Baraquevillois dispose de nombreux atouts pour devenir un grand pôle économique près de Rodez : des zones d'activités, des axes routiers structurants et, bientôt, une nouvelle dimension territoriale.

Didier Mai-Andrieu ne participera pas activement à la mise en route et au développement de la future grande communauté de communes du Pays Ségali. Mais l'actuel président de la « petite » communauté de communes du Baraquevillois, parie pourtant sur le succès économique du futur territoire à 23 communes. « Le développement économique restera au cœur des compétences de la future communauté et je suis convaincu que ce territoire, situé à proximité de Rodez, le long de la RN88, avec de grandes zones d'activités comme celles de Calmont, de Manhac et de Naucelle, est l'un des plus prometteurs en matière économique », assure Didier Mai-Andrieu. « Avec la RN88  et la RD 911, Baraqueville se situera à 1 heure de l'A75, à 1h15 de l'A20 et à 1h30 de Toulouse », ajoute André Bories, vice-président de la communauté de communes du Baraquevillois.

En attendant cette révolution territoriale (en janvier 2017), le Pays Baraquevillois a repris la commercialisation de la zone d'activités du Puech 2, sur la commune de Manhac. Sur un terrain de 9,5 hectares, 22 lots de 1700 à 8100 m2 sont proposés à des activités commerciales ou artisanales. L'essentiel des aménagements est déjà réalisé : électricité, gaz, eau potable, internet haut débit, station d'épuration, voirie principale ; il ne manque plus que la voirie définitive et l'éclairage public. « Cette zone d'activités devrait se remplir assez vite », estime le président de la communauté de communes, qui doit avoir « plusieurs touches » d'entreprises locales en quête de place pour assurer leur développement.

La communauté de communes du Pays Baraquevillois, aujourd'hui, c'est 9000 habitants, 300 entreprises et 3300 emplois.

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Discrètement mais sûrement, l'entreprise baraquevilloise Progré occupe une place de choix dans les rayons plats cuisinés des magasins de détail et de la grande distribution, avec ses marques haut de gamme Les Garibotes, La Cassagnole et les Recettes d'Amélie.

« Notre choix, ce sont les recettes de nos grands-mères ; notre procédé, c'est la cuisine telle qu'elles la faisaient, sans chimie ni produits préfabriqués. Quand nous avons besoin d'une gelée, nous faisons fondre des pieds de porc, nous faisons nos sauces nous-mêmes, nous n'utilisons que des épices simples et non transformées... » Telle est la règle chez Progré (comme PROduits Gastronomiques Régionaux), à laquelle le patron Jean-Luc Reynié tient par-dessus tout. Depuis sa création en 1988 par Maurice Reynié (le père), l'entreprise de Baraqueville élabore des recettes du terroir occitan, de l'Auvergne à la Provence, commercialisées sous différentes marques : Les Garibotes, bocaux de verre destinés à un réseau de détaillants et petits magasins, les Cassagnoles (bocaux) et les Recettes d'Amélie (boîtes) pour la grande distribution. La société fabrique également quelques recettes spécifiques sous marque de distributeur. Au total, Progré cuisine ainsi une soixantaine de recettes différentes : tripous, pieds et paquets, jambonneau, tête de veau, , blanquette de veau aux champignons, daube de bœuf Aubrac au vin de Cahors, sauté de cerf sauce forestière, mitonné de canard braisé aux haricots, potée d’Auvergne aux choux braisés, canard aux olives et une multitude de terrines de porc, de volailles et de gibier...

Outre des procédés de fabrication qui respectent scrupuleusement les règles de cuisine des grands-mères, Progré s'est aussi fixé pour principe de s'approvisionner auprès de fournisseurs locaux. Ainsi, la grande majorité des viandes proviennent d'entreprises aveyronnaises ou, en cas de besoin, régionales. Car il en faut, de la matière première, pour produire bon an mal an 750 à 1000 tonnes de plats cuisinés.

Les recettes de Progré sont aussi celles du succès puisque, depuis sa création, l'entreprise a beaucoup évolué. De 850 m2 en 1988, elle occupe aujourd'hui 3500 m2, où a été développé un outil de production moderne, performant et très automatisé. « Il n'y a pas de contradiction entre la tradition de nos recettes et la modernité de nos outils, assure Jean-Luc Reynié. La plupart des machines et des automatismes dans lesquels nous investissons régulièrement sont destinés à réduire la pénibilité de certaines tâches. « Le bien-être au travail est une préoccupation quotidienne sur laquelle nous réfléchissons beaucoup », ajoute le patron à la tête d'une équipe de dix-sept salariés.

Cet outil moderne et bien utilisé permet en outre à l'entreprise de prétendre à la certification IFS (International Food Standard) par laquelle jurent tous les grands opérateurs mondiaux du secteur alimentaire.

Savoir plus : www.garibotes.com

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